Tsabaku souriait, ses lèvres auraient pu faire trois fois le contour de sa tête. Le soleil brillait au dessus d’elle, malgré la fraicheur de la saison. La jeune fille marchait sous l’ombre des arbres qui entouraient le pensionna, prenant de grandes respiration à chaque pas. Elle s’était toujours demandé si l’air qu’elle respirait au canada était différent de celui du japon. Techniquement, non. Mais Tsabaku ne pu s’empêcher de se creuser la tête pour pouvoir répondre à sa question. Finalement, elle en conclu que l’air des deux nations étaient identiques en tout point. Elle allait absolument devoir en parler à ses parents, dès qu’elle avait le temps de se procurer du papier à lettre ou une carte postale. La jeune fille avait beau être excellente en informatique, ça n’empêchait pas ses parents d’être de gros nul avec les ordinateurs. C’était pareil avec le téléphone, l’époque « peace and love » n’avait pas fait beaucoup de bien à ses parents. Son esprit divaguait peu à peu, se questionnant sur toutes sortes de choses que vous auriez trouvées stupide. Soudain, quelque chose attira son regard, quelque chose de VRAIMENT spécial. En fait, ce n’était pas si extraordinaire, mais avec Tsabaku, tout est vraiment génial. Son regard tomba sur un jeune homme, installé sous un arbre. Il tenait un livre en main, Tsabaku n’arrivait pas à lire le titre puisque celui-ci était écrit en kanji, c’était la seule chose qu’elle ne maîtrisait pas encore parfaitement du japonais. L’adolescente le détailla : des cheveux blonds, presque blanc, un visage fin et des yeux bleu tournant au violet. Sans oublier la petite rosette qui se trouvait tout près de son oreille qui rappelait à Tsabaku un personnage d’histoire. Ses yeux s’agrandirent de surprise et elle poussa une exclamation de joie. Se précipitant vers l’inconnu, elle s’arrêta juste à temps pour ne pas foncer dans l’arbre.

-Tu ressembles à Norway dans Hetalia. Dit-elle, l’admiration se lisant dans son regard.

Tsabaku gloussa en remarquant qu’elle avait obtenu l’attention du jeune homme. Il avait délaissé son livre pour la dévisager, ce qui ne dérangea pas la jeune fille pour autant.

Ah! La journée avait été terriblement longue pour cet élève qui avait un gros mal de tête. En effet, cet individu c'était réveiller avec un grand mal de tête qui s'empira plus la journée avançait. Si seulement il avait une classe comme il connut autrefois avant de venir suivre les cours dans cet établissement. Ce pauvre Akio a été confronter à une atsmosphère fracassante toute cette journée épuisante. Les gens qu'il avait rencontré aujourd'hui manquait cruellement de savoir vivre et ne connaissaient surment pas ce qu'était le Travail ainsi que le respect. Il ne pensait pas y survivre surtout avec se mal de crâne qui le faisait s'énerver de plus en plus bien que Akio soit quelqu'un de très calme. Il est passé terriblement proche de la crise de nerfs dans son deuxième cours mais la cloche tinta pour lui sauver la mise.

Pendant le diner, Il prit un calment qui appaisa légèrement sa douleur à la tête. Par la suite, tout le monde était bizarrement calme et cela fit énormément de bien à Akio. En fait, c'est parce que la majorité des gens avaient tous peur de l'enseignant du moment et personne n'osait parler. Depuis que était arrivé, il y a quelques, il avait entendu bien des rumeurs à propos de se professeur qui soit battait ses élèves ou qui avait soit disant tuer quelqu'un. De toute façon, oui il était froid et terriblement sérieux, mais la matière se rendait à presque l'unanimité des élèves. Bref, cela étant le seul cour qu'il se sentait bien.

La fin des cours avait sonné et Akio c'était rendu à la bibliothèque cherché un roman policier. Il en avait trouvé un pas trop mal qui faisait bien l'affaire du blondinet. Son mal de crâne s'était presque complètement dissipé. Il s'était assis dans son endroit préféré et avait commencé à lire.... À Peine eu le temps de lire une trentaine de pages qu'une fille fonça pratiquement dans un arbre tandis qu'elle voulait bizarrement s'approcher de lui. Pourquoi lui au fait? Il eut sa réponse:

-Tu ressembles à Norway dans Hetalia. Dit-elle, l’admiration se lisant dans son regard.

Il l'a dévisagea quelques instant pour l'avoir dérangé pendant qu'il s'était concentré dans sa douce lecture qui l'apaisait un peu. Pendant de longues secondes de silence, Akio la regardait d'une façon blasé. Mais qui était se Norway? Qu'est-ce qu'était Hetalia? Il soupira sachant qu'il allait regretter ses mots mais se lança:

- Qui est ce Norway au juste?

Lui qui voulait être tranquille, c'était raté.

La jeune fille trépignait d’impatience, espérant obtenir une réponse du jeune homme. Elle se mordit les lèvres alors qu’il ouvrait la bouche pour répondre. Tsabaku était si énervée que, si on avait transplanté la partie droite de son cerveau dans la tête d’un autre, celui-ci aurait explosé. Mais toute cette agitation retomba à zéro sous la question plutôt froide de l’inconnu.

-Qui est ce Norway au juste?

Tsabaku c’était déjà fait poser la question à maintes reprises, mais la dernière fois remontait à plusieurs mois de ça. Elle pencha la tête vers la gauche, signe de son incompréhension. Puis, elle analysa bien comme il faut les paroles du jeune homme, lentement. Au final, elle avait deux choix : déballer tout ce qu’elle connaissait sur le personnage ou encore laisser le pauvre garçon tranquille. Mais dans sa tête, l’adolescente n’avait qu’un seul choix, à savoir le premier.

-Et bien, Norway est un personnage représentant la Norvège dans un manga appelé Hetalia Axis Power. Son nom réel est Lukas Bondevik, il te ressemble comme deux goûte d’eaux. Il entretient une étrange relation avec Denmark, connu sous le nom de Mathias Kohler, qui se trouve à éprouver des sentiments d’amitié envers lui. Lukas le déteste et passe tout son temps à le frapper quand il le dérange…

Elle continua son monologue, elle était loin d’avoir fini. Tsabaku ne prêta pas attention au regard exaspéré du blond. Après quelques minutes d’explication, la jeune fille s’arrêta subitement de parler, n’obtenant aucune réaction de la part de l’inconnu. Elle reprit également son souffle, ayant retenu sa respiration pendant tout le temps qu’elle parlait (vous pensiez quoi? Qu’elle allait s’arrêter au moins une fois? Dans vos rêve!). Elle décida alors de changer le sujet de « conversation ».

-Alors, petite étoile. C’est quoi ton nom? Si tu ne veux pas me le dire je peux très bien t’appeler Lukas. Ça te plait Lukas? Parce que moi j’aime bien ce nom, Lukas.

Elle avait réussi à mettre trois fois le même nom dans une phrase. Stupide, n’est-ce-pas? Tsabaku attendait toujours une réponse du jeune homme.