Je venais de finir ma journée de cours au conservatoire, cela avait été épuisant, mais j'aimais jouer du piano. Donc ma journée avait plutôt été bonne. Je rangeais mes affaires, pour le peu que j'avais... Enfin Bref ! J'allais sortir du conservatoire quand mon professeur de piano me rattrapa pour me dire que je devais beaucoup m'entraîne et surtout ne rien me casser surtout au niveau des doigts il m'avait dit que cela pourrait prisé tous mes rêves d'avenir dans le métier de pianiste. En clair il m'avait bien tenus la jambe et il n'avait pas arrêté de parler. La preuve je n'avais pas réussie à en placer une seule. Quand je regardais ma montre, je vu qu'il était vachement tard et je décidais donc de presser le pas pour rentrer ou du moins éviter que le pensionnat ne soit fermé. Mais bon vu l'heure je ne devais pas me faire trop d'illusion. Je préssa encore un peu le pas, mais pas trop quand même. J'étais presque arrivée devant le portail, mais de loin je pouvais voir qu'il était fermé. D'ailleurs il y avait Hitho devant le portail, je sens que cette nuit allait se passer à l'hôtel comme la plupart du temps que je sortais des cours à cet heure-ci. Je m'avançais vers lui est lui souri.

« Bah alors une fois de plus enfermé ? »
« Oui je crois. » Dit-je d'une voix douce et agréable à la fois.
« Beuh moi aussi… »

Je pense que lui et moi étions bons pour passer une nouvelle nuit, il faut dire que ce n'était pas la première fois. Ont devait avoir dormis plusieurs fois ensemble, ça commencer à être une habitude. Il est vraiment gentil, c'était vraiment un plaisir de parler avec lui. Bon bref en tout cas ont aller devoir aller à l'hôtel pour passer la nuit là-bas. L'hôtel n'était pas trop loin du pensionnat pour éviter que nous soyons en retard le lendemain matin, même si pour ma part j'arrive en retard au pensionnat. Je regardais ma montre et je fus surprise de voir l'heure, déjà 22h.

" On y va Hitho, il se fait tard " dit-je en lui souriant

Je le regardais en lui montrant le chemin vers l'hôtel ou l'on avait l'habitude d'aller. C'est un petit hôtel, mais il était plutôt sympa. De plus il était pas trop cher, dans la limite de nos bourses réciproque.

J'avais écouté Hitho sans dire un mot, juste qu'à ce qu'il parle du piano. Enfin jusqu'à ce qu'il me demande si un jour je pourrai lui en jouer un. Je marchais tout en réfléchissant. Je pouvais bien lui jouer un air de piano, mais lequel une de mes compositions ou un truc que je n'avais pas inventé. Si je me souviens bien dans cette rue il devait y avoir un bar avec un piano à l'intérieur, je pourrais peut-être lui en jouer un morceaux ce soir et puis cela détendrait l'atmosphère entre nous, je sentais bien qu'il était mal-alaise, en tout cas il y avait un malaise. Je regardais les alentours à la recherche de ce bar où j'avais travaillé comme pianiste pour arrondir mes fins de mois. En regardant sur ma droite de la rue, je vis le bar où je travaillais avant. Manque de chance quand je vue le bar où il y avait le piano était fermé, il faut dire qu'il était 23h. Je devais trouver un autre truc pour détendre atmosphère et enlevé le mal-aise qu'il s'était installé entre nous. Je voulais passer une bonne soirée avec lui comme nous le fessions d'habitude, j'aimais bien partager du temps avec lui.

"Je te promets de jouer un jour, une mélodie au piano pour toi. Et si tu veux je t'en créerai même une."

Je lui avais pris la main délicatement pour lui faire comprendre que j'allais tenir mes paroles, je le regardais dans les yeux avec un tendre sourire en espérant que cela aller détendre l'atmosphère qui cette crée entre nous. Mais, je sentis une légère douleur au cœur, mon souffle me rappelait à l'ordre. Je lui lâchais les mains et je lui souris encore plus tendrement qu'avant pour éviter qu'il sens rends compte. On était à deux ou trois mètres de l'hôtel a présent.

" On y va Hitho, l'hôtel n'est pas loin "

J'espère juste qu'à cet heure-ci il avait encore des chambres avec un lit et un canapé comme on la prenais d'habitude. Et puis s'il n'y en avait plus on fera avec une autre chambre, on s'adaptera. On verra bien arrivé là-bas.

Quoi dormir par terre, non Hitho n'allait pas dormir par terre ce soir. En tout cas pas tant que je serai là, même si on avais un grand lit double, je ne pouvais pas le laisser dormir par terre. J'avais légèrement rougit quand Hitho m'avais pris la main et m'avais emmené avec lui dans l'ascenseur, mais j'essaye de ne pas y penser. Mon cœur avait fortement battu quand Hitho m'avais prise par la main, une sensation étrange. Mais agréable je dois l'admettre je me sentais bien avec Hitho, mais il était un pensionnaire et moi j'étais une surveillant. J'appuyais sur le bouton de l'ascenseur pour que celui-ci nous conduisent a notre chambre. Puis je me tourna vers lui et le fixa.

" Tu ne dormiras pas par terre, ce lit est assez grand pour que l'on se le partage. Et puis je ne te laisserais pas dormir par terre. "

Je ne voulais pas qu'il dorme part terre, soudain je senti une douleur dans la poitrine une nouvelle fois mon souffle au cœur me rappelait à l'ordre. Je mis ma main sur ma poitrine au niveau du cœur et je pris une profonde respiration. Je ne voulais pas l'inquiète avec ça, en plus j'arrivais à gère ce style de crise. Je le regardais en souriant, j'avais l'impression que le trajet était de plus en plus long. Mais je me sentais tellement bien avec Hitho que je ne voulais pas gâché cela. Je repris une seconde fois une grande respiration. Un jour je devrai bien le dire a quelqu'un que j'ai un souffle au cœur, mais je ne voulais pas qu'on ai pitié de moi. Soudain la porte de l'ascenseur s'ouvrit, je pris la main de Hitho et je l'emmenai vers la porte de la chambre que nous avion pris pour la nuit.

" Allons voir comment est cette nouvelle chambre ! Et on est bien d'accord ce grand lit on ce le partage ! " Dit-je d'une voix agréable et avec un grand sourire.

Puis j'attendis qu'il ouvre la porte de la chambre, car lui seule avais la clé de la chambre.J'essayais tant bien que mal de détendre l'atmosphère entre Hitho et moi, je le regardais dans les yeux avec un sourire tendre et chaleureux à la fois.

« Tu es sûr que tu ne veux pas que je dorme par terre ? Non parce que d'après les autres filles, je suis pervers, surtout la nuit... »

" Oui je suis ! Tu ne dormiras pas par terre. " Dit-je.

Soudain il avait eu mal a sont œil, le voir comme cela m'inquiète un peu.

« Hurm, désolé... Des fois il fait des siennes ! Bon, on va se le faire ce dodo ?"

Je décidas de m'approcher de lui pour voir s'il allait bien. Sans m'en rendre bien compte je m'étais vraiment approché de lui, mais cela m'inquiéter de le voir comme cela. C'était la première fois que je réagissais de la sorte, avec une personne. Mais je n'aimais pas le voir dans cet état, je le regardais à nouveau et lui pris la main et l'emmena dans la pièce principale de la chambre d'hôtel autrement dit le lit. J'avais peur qu'il ait quelque chose de plus grave que cela, enfaîte je m'inquiète à un point que même moi je n'avais jamais atteint au part avant.

" Assied toi sur le lit, je vais chercher de l'eau froide pour calmer la douleur."

Je fermais la porte de la chambre derrière moi. Puis je décidais d’allée chercher un gant pour lui mettre de l'eau froide sur son œil, cela calmerait la douleur. Il était sans doute fatigué, mais cela ne changerait pas si on ne calme pas une douleur avant d'aller se coucher. Et côté douleur j'en connais un rayon, mon souffle au cœur m'avait entrainé pour cela. Je reviens vers lui avec un gant froid, enfin tiède. Je regardais son œil avant de lui mettre le gant, ça va il avait l'air de ne pas y avoir grand-chose.

" Je pense qu'avec un gant froid cela devrait calmer un peu la douleur Hitho, enfin un gant tiède." Dit-je d'une voix douce et délicate.

Je décidais de m'approcher de lui pour lui poser sur son oeil avec délicatesse, je ne voulais pas lui faire plus de mal. Encore une fois sans m'en rentre compte je m'étais rapproché de lui, mais vraiment rapproché. Quand je m'en rendis compte, je devenais toute rougit et mon cœur ce mit à battre fortement dans ma poitrine. Cette sensation était agréable, chaleureuse et douce à la fois. J'aimais vraiment cette sensation, je n'avais jamais éprouvé une sensation comme cela aussi douce et aussi agréable. D'habitude mon cœur me fessait souffrir, mais là avec Hitho c'était diffèrent. On aurait même dit que mon souffle au cœur avait disparue ou cette envoler juste pour cet instant où je m'étais rapproché de lui. Je ne sais pas vraiment pourquoi ni même comment cela était arrivé, mon cœur avait peut-être décidé de se calmer et de me laisser vivre un moment de joie. Je ne m'étais pas éloigner de Hitho, au contraire je m'étais encore plus approché de lui et de son visage. C'était comme si plus rien autour compté même mon souffle au cœur ne comptait plus. Je m'occupais de Hitho afin de ne pas le voir souffrir, mais j'étais peut-être allée un peu loin. Cela me rendais un peu nerveuse, je le regarde dans les yeux et je souris délicatement.

" Je pense que cela devrait aller maintenant. " Dit-je d'une voix vraiment très douce.

J'en avais même oublié que mon aptitude m'avait fait rougir, de plus je ne m'étais encore pas éloigner de lui que j’étais encore très proche de Hitho. J'étais toujours aussi proche de lui, mais a première vue il allait mieux et cela me rassure.

Il ne m'avait pas laissé le temps de dire quoi que ce sois, il m'avait embrassé et m'avais fait basculais sur le lit. Bizarrement je ne l'avais pas arrêté au contraire j'aurais voulu qu'il continue, mais il s'était arrêté.

« Je sais, j'aurais pas du !!! »

En entend-ans sa voix et en repensant à ce qu'il avait fait, ça à beau être un élève et moi une surveillante. Je n'avais aucune culpabilité de ce qui venait de se passer. Au contraire j'étais plutôt heureuse qu'il ait fait cela, mais a présent il devait sans vouloir. Et cette idée n'était inconcevable. Sans savoir pourquoi, je pris Hitho dans mes bras.

" Ce n'est rien Hitho " dit-je d'une voix douce.

Je ne voulais pas que cela s'arrête qu'il culpabilise et tout juste parce qu'il m'avait embrassé. De plus j'avais aimé ce baiser, je décidais de lui faire face à mon tour. Je mis mes mains sur les joue de Hitho et le regardais, mon regard était plutôt tendre. Soudai ment je l'embrassais avec une douceur sans faille, puis je décidais de le regarder à nouveau. Je l'avais sens doute surpris, je m'étais surprise aussi. Mais à vrai dire j'avais tellement aimé le baiser que Hitho m'avais faite que cela m'importer peu que ce sois un pensionnaire, j'avais même oublier cet aspect. Je mis mon front sur le sien et je fermais les yeux, j'étais tellement bien avec Hitho. J'avais peu-être fait une chose interdite avec Hitho, mais je ne m'en voulais pas, j'étais heureuse de l'avoir fait. Mais j'avais peur que Hitho prenne mal ce geste de ma part, j'étais rougi, mais je restais proche d'Hitho nos front était collé l'un contre l'autre. Mais la sensation que j'avais été tellement agréable que je ne voulais pas que cela s'arrête.

J'étais bien dans ses bras, j'aimais la chaleur que le corps de Hitho dégager. Une douce et agréable chaleur, je me collais contre lui pour sentir cette chaleur. J'étais tellement bien avec lui. J'aurais aimé avoir un pouvoir celui d'arrêter le temps pour être avec lui a chaque moment, je me sentais tellement bien. Je me levais un peu et je mis ma tête au niveau de Hitho, je n'avais pas oublié les paroles que Hitho avait dit il y a un instant. Le fait qu'il m'aimait et tous ce qu'il avait dit résonnais dans ma tête. Je l'embrasse tendrement une nouvelle fois. Puis je me re-colla à lui, pour à nouveau sentir sa chaleur.

" Hitho je crois que je t'aime aussi. " Dit je d'une voix douce.

Je me collais vraiment à Hitho, j'avais peur que tout cela s'arrête et que je me réveille de sous doux et merveilleux rêve. J'étais bien avec Hitho, mais là je me répète un peu. Si un jour ont pouvais m'accorder un seul vœux, ne serait-ce qu'un seul. Je ferai celui de rester avec Hitho, rester dans ses bras. Mais telle un rêve, une autre réalité s'ouvrait, ont avait commis un pêché que personne ne pourrait comprendre. Dans la société actuelle notre histoire était interdite, mais a vraie dire je m'en fichais d'avoir commis cette interdit, ce pêché était le plus doux et le plus bon des pêchés de ma vie. J'étais si bien, mais le répit fus de courte duré, une violente douleur parcourue ma poitrine toute entière. Je décidais malgré moi de me levais et de filer chercher mon ampoule d'adrénaline que j'avais en cas d'urgence dans mon sac, je devais inquiéter Hitho. Je le regardais avec un large sourire doux.

" Ne t'inquiète pas ça ira mieux dans quelques minutes." Dit d'une voix assez faible, mais qui restait tout de même douce.

Je pris l'ampoule d'adrénaline et je me l'injectais, j'avais sens doute inquiété Hitho. Et dire que la soirée avait si bien commencer. En tout cas mon souffle au cœur ce calma aussitôt que l'adrénaline fessait effet. J'avais sans doute gâché la soirée, ce souffle au cœur arrivé vraiment au mauvais moment. Je décidais de m'asseoir sur le lit et je soupirais, car ma douleur était passé.

" Je suis désolée de ce qui vient de se passer, cela arrive de temps en temps " Dit-je d'une voix un peu triste.

J'avais sans doute gâché toute la magie qui s'était passé entre nous. Moi qui ne voulais pas m'arrête d'être à côté de lui, s'était raté. En tout cas, il allait être au courant de mon souffle au cœur je n'avais plus besoin de lui cachait a présent de plus maintenant que nous étions ensemble de toute manière je ne pouvais plus lui cache. D'ailleurs je ne voulais tous simplement pas lui cacher, je l'aimais vraiment, je l'aimais de tout mon cœur. C'est pour cela que je ne pouvais pas lui cacher. Je décidais de me rallongeais à côté de lui et de regarder le plafond.

" Encore désoler Hitho. "

J'avais laisser quelque minute entre ma première phrase et celle la.

"Hitho enfaite je ne crois pas que je t'aime, j'en suis persuadé. Je t'aime vraiment, je t'aime de tout mon cœur. " Dit-je d'une voix douce et agréable.

Puis je me retourna vers lui et le regarda a nouveau.

C'est vrai que j'avais fait peur à Hitho c'était normal qu'il soit perdu, je restais allonger à regarder le plafond. J'allais tout lui dire sur mon état de santé, je ne voulais rien lui cacher surtout pas cela. Je me tournais vers Hitho et je le regardais, puis je me collais à lui . Je pris une grande respiration avant de tout lui avouais.

« Je suis atteinte d'un souffle au cœur, ce que tu avais vu dans mon sac est une ampoule d'adrénaline pour les crises éventuelle. Cette ampoule me permet de vivre en cas de forte crise, cela m'arrive de temps en temps de faire ses crises. Elles peuvent être plus ou moins forte et plus ou moins douloureuse. J'ai cette maladie depuis que je suis toute petite, mais elle s'est amplifier à l'âge de quatre ans. Pour le reste je sais que ma mère avant moi avais le même mal.... » Dit-je en me collant un peu plus à lui.

Je laissais un moment de silence pour que Hitho assimile toutes les données que je venais de lui révèle. Je lui avais tout révélé maintenant, il était au courant de ce que j'avais. Je ne savais pas comment il allait prendre de telles confessions. Généralement sois ont ne me prenais pas aux sérieux sois ont me fuiais de peur de s'attache à moi et de me perdre ensuite. Mais avec Hitho j'avais l'impression que c'était différent, qu'il n'était pas comme les autres., de plus je l'aimais sincèrement et je savais que je pouvais lui faire confiance. Je n'avais pas oublié la phrase que j'avais dit à Hitho cette phrase qui disait que je l'aimais, en y repensant j'avais été maladroite avec cette phrase, elle aurait puis être mal interprété. J'allais la re-formulais, mais Hitho me pris de cours.

« Ne me refait jamais ça ! Tu m’as fait peur ! Enfin je n’ai entendu qu’une partie de ta phrase et franchement c’était pas la meilleure… Mais moi aussi je t'aime! »

« Je ne le referai plus. » Dit-je avec tendresse.

Hitho avais raison, je ne le referais plus. Sur ce coupe j'avais était maladroite enfin mes parole avais été maladroite. Je me mis a califourchon sur lui et je le regardais tendrement, droit dans les yeux. Il était vraiment très beau comme garçons, je ne regrettais aucun de mes gestes avec lui. Je mis mes mains sur les joue de Hitho et je l'embrassais tendrement, je fis durais le baiser pendant plusieurs minutes. J'aimais vraiment le goût des lèvres de Hitho, ses lèvres étaient si douce. Je m'arrêtais et je le regardais encore une fois, il était vraiment beau.

« Hitho je t'aime ! » Dit-je d'une vois aimante.

Je l'embrassais à nouveau tout en me collant à lui. J'aimais la chaleur de son corps, j'aimais le goût de ses lèvres, en faite j'aimais tout ce qu'il dégageait.

Son histoire était triste tellement triste, je me collais à lui. Même mon souffle au coeur n'était rien face à ce que Hitho venais de m'avouai. Son passé était encore plus lourd que mon souffle au coeur, je me collais encore un peu plus à lui. J'avais écouté tout ce qu'il venait de me dire sans dire un mot, même mon souffle était silencieux, même les bruits de mon coeur avait disparus. Le silence entendre dans toute la pièce.

« Changeons de sujet, tu veux bien ? »

« Hitho je serai toujours-la pour toi » Lui dit-je en lui caressant la joue comme signe de compression.

Il devait avoir mal à son yeux à causse de la fatigue, il faudrait aller se coucher. Mais une question me trotta dans la tête. Notre amour était interdits, moi et lui risquons a tout moment l'expulsion et la justice n'était pas avec nous. Il fallait trouver un plan pour que personne ne s'aperçoit que nous étions ensemble. On pourrait peu-être en parler à nos meilleurs amis pour qu'il nous aide à nous voir en cachette. En tout cas, personnes ne devraient nous voir, ils ne comprendraient pas et passeraient leurs temps à nous rabaisser où je ne sais quoi. Je me levais un peu et j'embrassais Hitho tendrement avant de reprendre ma place dans ses bras.

« Dit Hitho tu penses qu'on devrait le dire à quelqu'un que nous sommes ensemble où ont devrai garder notre relation pour nous jusqu'à ce que tu ait finis tes études ? » J'avais dit cela d'une voix très douce.

J'avais envie de dire a tout le monde que j'aimais Hitho, mais on était dans l'interdis le plus total. Mais cette interdit je l'aimais plus que tout, c'était le meilleur de tous les interdit et je pourrais recommencer si on me le demande, tant que c'était pour lui et avec lui que je réalisais cette interdit. J'aimais Hitho et c'est tout, mais je ne voulais pas qu'il ait de problèmes avec l'internat et les autres élèves. Encore s'il n'y avait que moi qui aurait des problèmes pour notre relation je prendrais le risque sans hésiter une seule seconde, car j'aimais Hitho, je l'aimais de tout mon cœur. Je décidais de l'embrasser avant qu'il ne répondre, puis à nouveau je me recollais à lui pour sentir sa chaleur.

« Je pense que sa va être dur, même très dur de garder un tel secret. Surtout que je ne suis pas très douer pour garder des secrets pareil… Enfin je ne dis pas que je vais parler de ton souffle au cœur a tout le monde, pour ça sa va… je sais que je me tairais ! Mais le fait que je t’aime… Dur dur … »

Il avait raison, même moi je ne pouvais pas cacher le bonheur et l'amour que j'éprouve pour Hitho, j'avais laissé un moment de silence avant de lui répondre. Je l'aimais de tout mon coeur et je ne voulais absolument pas le cacher, je voulais le partager avec le monde entier.

« Tu as raison, même pour moi il serait dur de cacher que je t'aime a tout le monde, mes sentiments pour toi sont trop forts pour que je puis les cacher. »

Je décidais de l'embrasser tendrement pour lui montrer que mes sentiments étaient fort pour lui et que je n'allais pas cachait ce que je ressentais à son égare, puis je décidais de me remettre à ma place dans ses bras si fort et si doux à la fois.

« Tu es magnifique... Tu le sais ? »

« Merci, tu est toi aussi magnifique. » Dit-je d'une voix tendre.

Ses mots me fis rougir, je n'avais pas l'habitude de se gère de compliment. Je rougissais devant un tel compliment, de plus Hitho n'est également un magnifique garçon, il était très serfouissant et très doux et également une agréable personnes. Je l'aimais, j'étais bien avec lui. Dans ses bras je me sentais en sécurité et j'éprouvais un réel bonheur dans ses bras. Je lui souris à mon tour, avec tours cette rougeur sur mes joue.

« Han, je viens de me rendre compte que tu es la première fille que j'embrasse... »

Alors, comme cela j'étais la première à l'avoir embrassé, j'étais encore plus heureuse maintenant. Et je prenais plutôt cela bien, cela ce voyais que Hitho était gêné a causse de ces paroles, d'ailleurs il était rouge lui aussi.

« Hitho tu n'as pas à être gêne de t'ai paroles » dit-je en l'embrassant tendrement.

Je continuais à l'embrassai pendant un moment, j'aimais vraiment ses lèvres si douce et si agréable. Je l'embrassai avec tout mon amour, je l'aimais tellement. Ont avais déjà bien entamé la nuit lui et moi.

Hitho avait déjà couché avec d'autres mecs, je ne sais pas pourquoi, mais cela ne me fis pas réagir. J'étais très tolérante sur ce sujet, chaque personne à le droit de goûté a tout et toutes les expériences sont bonnes. De plus j'étais très curieuse, ma nature l'était du moins. Cela dérangeais par moment des personnes voulant cacher leurs petits secrets, car ma plus grande force était dans le regard. En regardant les gens dans les yeux je pouvais dire si une personne cache un truc ou non, si elle était gentille ou non. Hitho m'avais dit qu'il l'avait fait cela en état d'ivresse, il n'était sans doute pas conscient de ce qu'il fessait âpres tout cela arrive tous les jours. Il ne me laissa pas le temps de commencer ma phrase qui me fis basculer sur le lit et qu'il se mit sur moi, puis il m'embrassa. Mais ce baiser fus coupé brusquement par Hitho lui-même.

« HAN... Il est déjà Une heure de matin Nao' !!!! Tu travaille demain ? »

Je regardais le réveil toute en restant allongé, je n'avais vraiment pas envie d'aller au travail demain. Mais je devais y aller pour arrondir mes fins de mois et me permettre de continuer à étudier le piano. Quand j'y pense je venais de prendre une dose d'adrénaline, je n'allais pas pouvoir dormir de la nuit, telle sont les effets de cette substance qui me permet de vivre en cas de forte crise, une dose me permet de vivre sans crainte pendant plusieurs jours d'affilié. Mais là je n'étais vraiment pas prête a dormir, demain c'était sûr que j'allais dormir, car les effets seraient retombais, mais la c'était impossible.

« Oui je travaille demain, mais je ne suis pas prête de fermer l’œil avec la dose que je viens de m'injectai, d'ailleurs toi tu as cours non ? » Dit en me relevant légèrement.

Je repensais que Hitho avait mal à l'oeil surement dû à la fatigue, je décidais de me lever et je me dirigeais vers l'interrupteur puis je le coupais.

« Tu ferait mieux d'aller dormir Hitho, demain tu à cours et cela reposera aussi ton œil. » Dit-je en me re dirigeât vers le lit.

Je décidais de m'asseoir à côté de Hitho puis je l'embrassais délicatement. Puis je repassais derrière lui et je me collais contre son dos en l'enlaçant délicatement. J'étais vraiment bien avec lui, mon cœur aussi j'étais totalement abaissée par ça présence. Je me laissais tomber délicatement sur le lit, cette nuit ont allée devoir dormir toute habillé vu que ni lui ni moi n'avions nos affaires.

« Non, demain j’irais pas en cours… Pas question que tu passes la nuit éveillée et seule en plus ! »
« En fait faut aussi que tu sache que je ne suis pas un bon élève, pas au niveau de mes notes hein... mais au niveau de ma présence en cours... J'ai horreur de passer ma journée assis a écouter blablater un professeur... »

Ses mains sur mes hanches étaient si douce et si délicate, ce baiser était encore plus doux. Une fois de plus je n'avais pas eu le temps de parler, mais à vrai dire je n'aurais surement rien dit de plus. D'un coup Hitho arrêta son baiser puis ce leva. Il retira son tee-short, il avait vraiment un magnifique corps puis il reprit le baiser là où l'avait arrêté, il remit ses mains sur hanche. Un agréable chaleur avait remplie la pièce, j'aimais cette chaleur. Je passais mes mains derrières le cou de Hitho puis je décidais de me collais à lui. Ce baiser dura un long temps, mais il était délicieux encore plus délicieux que toutes les gourmandise que cette terre regorge. Je sentais la chaleur du corps de Hitho, il dégageait vraiment une tendre et agréable chaleur. Cette fois c'était à mon d'arrêter ce tendre baisé, je regardais un instant Hitho droit dans les yeux, sont corps était vraiment magnifique. Je le regardais puis je décidais de me mettre comme lui, en claire je décidais d'enlever mon haut, ce coup-ci c'était moi qui ne le laissa pas parler, je me collais à lui directement et je l'embrassais. Je crois que la chaleur de la pièce était montée d'un cran voir deux, mais tant pis je continuais d'embrasser Hitho, j'adorai ses lèvres, je ne pouvais plus m'en passer. Je décidais de me collais encore plus à Hitho, je voulais ressentir toute sa chaleur, mais je décidais d'arrêter afin de le regardai dans les yeux.

« Hitho, je t'aime ! » Dit-je d'une voix douce et agréable.