Joviale; strict sur le bouleau, mais elle laisse passer quelques erreurs; gourmande; grande gueule; amusante; pas du tout gênante; quelque peu émotionnelle, mais sinon très rationnelle; quelque fois philosophique; fan de sport; aime les chats; aime se balader pour rien; parler pour rien dire; célébrer pour rien du tout; une fille de famille; attachante; charismatique; tête en l'air; parfois bête, d'autres fois trop gentille; extrémiste; rêveuse et, par dessus tout, impulsive!

1 mètre 67 centimètres! Oui monsieur! ; 120 livres; Peau assez pâle ; Yeux brun noisette avec des éclats rougeâtre ; Au naturel, je suis brune, mais je me teins rousse ; Cheveux longs jusqu'au milieu du dos, environ ; Je m'habille un peu n'importe comment, tant que ça reste joli ; J'ai un très grand sourire, et les gens me font souvent la remarque que je ressemble au joker (très drôle les mecs!) ; Je déteste mes cheveux qui ne se placent jamais comme il le faut! Raaah! ; J'ai cette manie de toujours mettre trop de mascara, du coup il s'estompe et ça devient du gros n'importe quoi mon maquillage; J'ai une poitrine assez proéminente, mais j'ai aussi un visage!; J'ai une taille de guêpe que je mets parfois vraiment en valeur, d'autres fois pas du tout!.

Franchement! Vous voulez savoir mon histoire?! Il n'y a rien de plus emmerdant que de m'entendre me plaindre sur ma vie. Vraiment? À et bien si vous insister. Je suis née en Australie, plus précisément dans une petite ville non-loin de la grande métropole de Sydney. Sautons les détails. J'ai été à l'école la-bas et inutile de préciser que j'ai passer haut la main les examens finaux! Bref, mon destin était celé, j'avais en idée de devenir infirmière. Ensuite pompière, ensuite endocrinologue, ensuite ballerine et pour finir, présidente. J'ai eu tellement de plans d'avenir dans tellement de disciplines différentes qu'au final je m'en suis retrouvée à être éboueur pour la petite ville dans laquelle j'habitais encore avec mes parents. Je continuais mes cours de ballets, mais je passais l'essentiel de mes journées la tête dans les tunnels souterrains, mieux connu sous le nom d'égout. C'était un job dégoûtant, je vous l'admet, mais on y gagne de l'expérience et une connaissance plus qu'importante. Je me suis fais de bon ami dans ce petit boulot qui semble minable. Beaucoup de mecs (âgés comme jeunes), quelques femmes (surtout vieilles et dans l'administration), mais particulièrement des frères que je n'ai jamais eu.

J'ai passée un an dans ce job jusqu'à ce que j'eu cette envie folle de voyager. Mes parents me disaient non non non, ma sœur essayait de me convaincre de partir (elle aurait ainsi me chambre, bien évidemment). J'étais déchiré entre deux choix : repartir à zéro dans une ville complètement différente, ou rester ici et tenter de faire mon bouleau de rêve, qui s'avérait à être dentiste (je m'en suis rendu compte au final). Toutefois, pour réaliser cette deuxième option, je me devais de recommencer les études, remettre mon nez dans les bouquins et remplir mon cerveau de maths jusqu'à ce qu'il implose. M'enfin bref. J'ai finalement choisi de partir à l'aventure! Quoi de mieux qu'un destination exotique? Les îles Fiji peut-être? La grande cité de Rome au mieux! Les alpes suisses, les montagnes de la Mongolie, les déserts du Sahara? Pourquoi pas les plages de Virginie ou les grandes places de Russie même! Malheureusement, mon budget était tellement limité que j'ai dû abandonnée l'idée d'un jour travailler dans un endroit paradisiaque. Ma mère, si pleine de sagesse, me proposa alors la Chine. Ce n'était pas si loin, c'était accessible et je n'allais pas trop voyager (disons plutôt qu'elle voulait être capable de me rejoindre en tout temps). Mon père lança alors la Thaïlande! J'avais entendu parler de cette endroit, et travailler sous payée ne faisait pas parti de ce que je voulais avoir dans mon bagage de vie. Bo, ma sœur, lisait, à ce moment précis, une revue japonaise. Il était clair qu'elle ne comprenait pas un traitre mot de ce qu'il y était écrit, mais j'y avait vu quelque chose qu'elle n'y voyait pas : mon ticket pour une nouvelle vie! Je m'informais pendant des jours et a l'aube de mes 20 ans, je pris le premier avion qui me menait vers cette île immense, et dis bye bye à ma ville d'enfance!

Même si le trajet fut long et, ma foi, assez déprimant, je réussis après un temps à me trouver un appartement. Il se situait non-loin de la station de métro, ainsi je pouvais me rendre en ville rapidement et économiquement (sérieusement, les taxis coûtent une fortune ici!). Je me trouvais un petit boulot dans une pâtisserie, non-loin de mon bloc appartement. Je m'occupais d'enfourner les petits gâteaux et de servir et desservir les tables, rien de bien compliqué et je n'avais, heureusement pas, besoin de communiquer. Car, oui, s'il y avait une chose que j'avais omis d'apprendre, c'était bien la langue. J'étais contente de ma vie jusqu'alors, puis un jour vint le coup de foudre. Et oui, on ne rencontre pas souvent un homme aussi charmant, drôle, romantique, aimable et beau dans un petit café comme le Ikiro. Bon, je pensais tout ça de lui, mais en fait je ne lui avais pas parler encore. Il venait tous les jours, chercher son même thé au jasmin. J'étais au ange quand c'était à mon tour d'aller ramasser les tables lorsqu'il était la. Je vivais cette amourette de 17 ans encore et encore à chaque jours. Il n'était pas comme les autres mecs que j'avais fréquenter, lui il était différent. Plus... Mystérieux. Je dû donc prendre mon courage à deux mains et aller lui parler. Mais j'avais besoin d'une situation, je ne pouvais pas simplement l'approcher sans avertissement. Ce pourquoi, comme une gamine digne des pires blockbuster américains, je suis aller le voir et, mine de rien, j'ai trébuchée a ses côtés. Aimable comme il était, il m'a aider à me relever, me souriant à pleines dents.

C'est en parlant un peu que je me suis rendu compte qu'il était exactement l'homme pour moi. Car, de son côté aussi il m'observait, mais en silence. Il réussi a me faire rire et ce fut le coup de foudre, comme je vous le disais. Paul Chewburn, qu'il s'appelait. Il était américain, mais ses parents immigrés au Japon il y a longtemps pour agrandir leurs horizons. Il était fascinant, tout simplement. Inutile de d'ire que nous nous sommes fréquenter pendant un bon moment. Il avait cette sensualité divine pour un jeune homme de 21 ans. Une intelligence qui dépassait largement la mienne, mais qui restait encore dans le niveau humain. C'est d'ailleurs lui qui m'a apprit le japonais de base, assez pour me débrouiller. Je n'aurais jamais pu prédire que c'était le sujet de l'école et du travail qui nous séparerait. Il avait été étudier à cette école, ce pensionnat, Hina je crois. M'enfin, il m'avait parler qu'il y avait souvent des offres d'emplois la-bas. Bon d'accord, ce n'était que pour être surveillante de classe, de colle et de couloirs, mais l'idée me plaisait bien. Ça faisait presque un an que je travaillais au Ikiro Café, je commençais littéralement à m'en lasser. Et puis, je n'avais jamais été surveillante, cette expérience pourrait être enrichissante! Ok! J'y donnerais un coup d'essai! On ne sait jamais.

J'allais donc porter mon curriculum vitae à ce fameux pensionnat et ils ont dût aimer mon style car il m'ont rappeler sans hésiter. J'étais engager'! J'en sautais de joie! Après plusieurs semaines a me faire ma place entre les murs de cet établissement, mon copain, Paul, insista pour venir me chercher et qu'on aille célébrer. Je l'attendais donc en voiture et, sans prévenir, il sortit de la voiture et son regard dériva sur une jeune femme qui sortait du pensionnat. Elle semblait trop vieille pour être une élève et je ne la reconnaissais pas en tant que professeur. Elle salua Paul, tout naturellement. Ils commencèrent à discuter et bientôt il l'invita à nous joindre pour le dîner. J'étais complètement outrée, mais préférais me la fermer.

Les jours qui suivirent, je n'entendais que parler d'elle. Elle était une ancienne amie qu'il côtoyait quand il fréquentait le pensionnat Hina. Dona qu'elle s'appelait. Dona ci, Dona ça. Elle revenait dans chaque situations, chaque discutions et même dans les moments dans lesquelles nous n'avions définitivement pas besoin d'elle. J'étais jalouse, oui. Mon mec avait très certainement une autre fille dans l'œil. Je lui ai piquée une crise de jalousie, qui, par cause de malentendu, nous mena à la rupture.

Ça fait maintenant un mois que mon ex fréquente sa nouvelle poule, Dona... J'ai fêter mes 21 ans avec mes collèges de travail, espérant me noyer dans l'alcool et oublier. Ça n'a pas marcher, mais eh, je n'y peut rien. N'y a-t'il pas une bonne chanson pour ça? Oubla di Oubla Da, nananana life goes on ~