Je suis plutôt solitaire, je ne me fais pas beaucoup d'amis car souvent on a peur de moi par ce que je suis un type très bagarreur. Je fais paraitre un cœur de pierre, mais au fond il y avait un cœur remplie de peine à cause d'un évènement tragique mais on verras sa dans mon histoire. Sinon je suis silencieux et arrogant comme le dise parfois certaines personne, mais si je veux dire quelque chose, je le dirais sans me faire attendre. J'ai aussi une maladie très courante : la flemmardise.

Je mesure 1m78 pour 70 kilo. Ma peau et blanche mais pas aussi blanche que mes cheveux, ils m'arrivent aux milieu du dos et forme une sorte de crinière dans mon dos et quelques mèches longues se balade par si par la. J'ai les yeux rouges grâce à des lentilles de contact. Je m'habille souvent en noir comme si tout les jours que je vivais n'était que jour d’enterrement, je porte des jeans noirs et des hauts noirs, parfois je suis en blanc mais c'est très rares. Une musculature bien formé mais pas trop marqué. Je porte souvent une bague sur la quel on peut voir une tête de lion ornée d'un petit rubis dans la gueule, ainsi qu'un pendentif au quel je tient particulièrement ( voir vava ). Je n'aime pas vraiment que l'on s'occupe de moi.

Je suis née un jour de grand froid lors d'un hiver rude, le premier visage que je vu était celui de ma mère en pleure à cause de la douleurs que lui avait provoqué son accouchement. Je grandis dans une famille de riche mais je ne le fessais pas paraître, ils voulaient que je grandisse normalement et ces ce que je fis. Je n'invitait pas beaucoup d'amis car je ne voulais pas qu'ils découvre quel genre de personne j'étais, alors, je passais plus de temps chez eux que chez moi, mais il venu le jour ou je me fit une petite copine, elle avait 15 ans et moi le même âge, j'avais déjà les cheveux teint et les lentilles rouges. Forcé de l'emmené chez moi pour pouvoir dormir avec elle car ses parents ne voulaient pas que l'on copule chez eux alors nous allions chez moi. Quand elle découvrit mon secret, la première fois, je m'attendais à ce qu'elle me hurle dessus car je lui avais caché ce secret ou parte sans rien dire, mais ce n'est pas ce qu'elle à fait, elle à affiché un petit sourire timide et est rentré sans dire mots. Je l'a présentais à mes parents, ils étaient heureux de voir que j'avais une petite amis, qui m'aimait comme pour ce que j'étais et non pour ma richesse, et si vous vous posez la question suivant : "l'avez vous fais ?", et bien oui. Je partageais un amour commun avec cette fille dont le prénom égalait sa beauté ( belle phrase non ? ), son prénom était Alyzée, elle était brune, mesurait environ 1m65 pour 50 kilo, elle avait de belle forme, je l'aimais et elle m'aimait.

Plusieurs mois passèrent et elle était de plus en plus absente en cours, j'étais très à cheval sur les cours, je voulais qu'elle réussisse sa vie et qu'elle soit heureuse. Certains disait qu'elle était gravement malade d'autre qu'elle abandonnait les cours. ( je vous conseille de mettre la musique en haut à gauche ) Une nuit je reçu un coup de fil de sa meilleurs amis, je lui répondit sans hésiter, elle m'expliquait que Alyzée était gravement malade et qu'elle n'allait pas tardé à nous quitté, criant à la foutaise, je ne la croyais pas, mais au fond je savais qu'elle avait sans doute raison. Je lui raccrocha au nez et m'endormis en larmes. Le lendemain je ne partit pas en cours, je partis chez elles. Toquant à la porte de sa maison, sa mère en larmes m'ouvris et son père la rejoignit me demandant de partir je lui répondit sur un ton des plus violent :

- Non pas tant que je ne l'ais pas vu, je veux la voir tout de suite !

- Surement pas, me répondit de suite son père sur un ton plus fort, tu part et tu ne reviens jamais !

- Vous croyez vraiment que je vais partir sans la voir ?! Vous le croyez vraiment ?

Je commençais à laissé des larmes coulé sur mon visage et passa au travers de ses parents courant vers sa porte

- ARCOSS NE FAIS PAS SA JE T'EN SUPPLIE !! me hurla sa mère qui elle aussi pleurait. Mais il était trop tard j'avais déjà ouvert la porte, je la vit, celle qui me fessait chaviré mon cœur, elle respirait à peine. pourquoi n'était-elle pas à l’hôpital, son père me dis que les médecins ne pouvait rien faire pour elle, je fis sortir son père et sa mère de sa chambre pour resté seule avec elle. Je la regardais tout en attrapant doucement sa main droite, elle était gelée comme si elle était déjà morte mais je n'y croyais pas, je la vit bougé sa mains gauche vers son cou, elle décrocha son pendentif, il y pendait un petit rubis ( voir mon vava ) elle me le tandis et me dit sur une voix faible :

- Garde ce collier, je serait toujours avec toi, mais promet moi de refaire t'a vie avec une autre fille, je ne veux pas que tu reste bloqué sur ma mort alors promet le moi .... Je t'aime

-J-Je ... Je te ... Je te le promet ... moi aussi je t'aime ...

Puis j’entendis son dernier souffle, elle était morte devant mes yeux, je restais planté la sans rien dire, pleurants à chaude larmes. Je ne voulais pas la quitté les heures passèrent et je restait près d'elle, son père entra alors en larmes quand il la vu sans vie et il me demanda de partir, je mit le pendentif qu'elle m'avait remis, l'embrassa une dernière fois et lui demanda de reposé en paix. Sortant de chez elles pleurant à chaude larmes. Je ne partais plus en cours, je buvais de trop et resté assis dans un coin de ma chambre. Je sombrais dans les abysses d'une peine profonde, mais mon meilleurs amis était venu chez moi et en me découvrant entouré de cadavres de bouteilles d'alcool et de paquets de clopes il me hurla dessus et me dis de me ressaisir, il me frappa mais je ne répondais pas puis je stoppa l'un de ses coups lui demandant de partir et que demain je serais en cours mais que le premier qui me parlerait d'elle finirait à l'hosto. Il partit sans rien faire ni dire de plus.

Le lendemain j'étais la comme promis, mais en noir de la tête au pied sauf pour les yeux et cheveux bien sur. Je travaillais mais seulement un peut, la journé était calme puis à la sortit du lycée un autre lycéen, mais lui en première me lança

- Alors ? t'a pute de copine et morte ?! il éclata alors de rire.

- Tu veux bien répéter ? J'ai mal entendu je crois. Lui lançant un regard noir

Il répéta alors la phrase, je lui sauta dessus et l'enchaîna de coup de poing et de coup de genoux son visage commençant à saigné, mon meilleurs amis témoins de la scène m'attrapa par la nuque et me tira en arrière puis dis à l'élève qu'il avait fais une énorme gaffe, il me tenait éloigné de lui. Il attrapa mon bras et me dis qu'il valait mieux que je change de lycée car sinon j'allais me faire tué. Je soupiras sachant qu'il avait raison, j'en parla le soir même à mes parents qui eux aussi étaient d'accord. Plusieurs jours passèrent ou je me battais de plus en plus car tous les lycéen qui voulait se battre avec moi savait sur quel bouton appuyer mais je les éclatais à chaque fois. Puis venu le jours des adieux avec mon meilleurs amis, enfin plus un au revoir qu'un adieu car je partait dans un pensionnat, je le remercia pour tout ce qu'il avait fais pour moi, puis je monta dans le trains et lui fit un signe amical et partit vers une nouvelle école ou personne ne me connaissait.