On ne peut pas dire que le jeune Orion est une personne douce et chaleureuse au premier abord. Il semble froid et distant avec toutes les personnes qu'il croise pour la première fois. Mais une fois qu'il vous considère comme un proche, il commence à s'ouvrir et on peut découvrir que c'est un bon vivant.
Ne s'entendant pas avec son père, d'aussi loin que remonte ses souvenirs.
Orion est une personne douce, calme, aimant les plaisirs simple de la vie.
Peu enclin à se mettre en colère, mais quand il est, il ressemble à une tempête prête à s'abattre sur le pauvre malheureux qui a déclenché sa fureur.

Orion peut être qualifié de doué dans les arts martiaux même s'il n'est pas un pratiquant acharné, au grand damne de son ancien Maître.
Mais sa vrai passion, c'est la musique, surtout la musique classique. Et quand il a la chance de trouver un piano, son instrument de prédilection, il peut jouer des heures entières et il oublie tout ce qui se passe autour de lui. Malheureusement, le piano n'est pas un des instruments de musique qu'on peut prendre avec soi, Orion apprit à jouer de la guitare pour qu'il puisse s'évader dans son monde fait que de musique.
Il est aussi de nature passionné, surtout lorsqu'on parle de musique.

Orion fait près 1m80 pour un poids de 75kg. Il a une chevelure couleur jais et les yeux marrons. Il fut un temps où Orion avait les cheveux court, mais depuis peu, il se laisse pousser pour pouvoir se faire une tresse.

Il n'a pas de ''style'' vestimentaire à proprement parler. Il met se qui lui tombe sous la main et qui est propre. Mais tous ses vêtements ont un point en commun. Ils ont tous la même couleur, même si elle n'est pas dominante sur tous ses vêtements, ils ont tous du noir sur eux.

Orion parle, lit et écrit plusieurs langues correctement, en plus de sa langue maternelle. Il dut apprendre le français  le japonais et le chinois. Plus par obligation que par choix, étant fils de diplomate, il se devait de savoir parler un minimum des langues des pays où il se trouvait.

Mon nom est Orion Edward Howlett et je suis le fils de l’ambassadeur James Cygnus Howlett. Ma mère était Rose Élisabeth Howlett, elle est morte en me donnant la vie, mais d'après les rares photos que j'ai vu d'elle, je peux vous le dire elle fut une très belle femme.
On pourrait penser que mon père et moi nous avons une relation fusionnelle, comme c'est souvent le cas dans ce type de situation. Mais ce n'est pas le cas. En fait, je crois que mon père me hait dû fait que Maman est morte en me donnant la vie. Et on ne peut pas dire que je fais ce qu'il faut pour arranger les choses. Pour être honnête avec vous, on s'évite la majeur partie de temps. Ce qui est relativement facile
Ah oui, j'oubliais de vous dire un petit détail. Même si mon père et moi ont s'entend pas vraiment très bien, il me gâte les rares fois où il se souvient de mon anniversaire et de Noël. Lorsque j'étais enfant, j'avais droit à une montagne de cadeaux et depuis l'adolescence, il me donne de l'argent. Suffisamment pour subvenir à mes besoins matériels et me faire plaisirs sans regarder combien cela coûte. En terme plus simple, j'ai un compte en banque bien remplis, mais je ne suis pas un millionnaire, loin de là.

Mon père est ce qu'on appelle un mordu de boulot. Il passe plus de dix-huit heures par jour à travailler et les dimanches, il passe cette journée à voir des personnes relativement importantes pour pouvoir mener ses projets à biens.


Et moi dans tout cela? J'ai eux trois nourrices jusqu'à mes six ans, âge au quel je suis rentré dans mon premier pensionnat. Un des pensionnats les plus élitistes de France pour vous dire la vérité. Un pensionnat où on formait la future élite française. Les personnes qu'ont pourrait voir d'ici quelques années dans les hautes sphères de la finance ou de la politique. Et tout cela dans un cadre royal.
Le pensionnat était un ancien manoir qui fut transformé au cours de la révolution française comme orphelinat avant d'être racheter, durant le Second Empire, pour devenir l’établissement qu'il est aujourd'hui. Nous vivions dans le luxe. C'est là que je me suis découvert une passion pour la musique classique et pour le piano.

Alors pourquoi je ne suis pas rester là-bas? Disons simplement que la carrière de mon père passait et passe toujours avant tout le reste. Il eut une proposition pour un poste plus important dans l'ambassade en Chine et nous partîmes dès le lendemain. Bien entendu, je fus mis dans un nouveau pensionnat tout aussi chic et prestigieux que le précédent dans la campagne chinois.
J'ai pu continuer ma passion pour le piano et la musique classique et j'ai même appris à jouer de la guitare là-bas. Sous la tutelle d'un ancien musicien chinois qui avait fait une carrière internationale, avant que l'âge et les problèmes de santés ne mettent fin à sa carrière.
J'ai aussi appris les rudiments des arts martiaux. Et selon les dire du tyran qui fut mon Maître et accessoirement notre professeur de sport, j'aurais un don pour cette discipline sportive. Selon toujours lui, j'aurais pu devenir le plus grand Maître ds arts martiaux chinois si j'avais commencé à apprendre cela dès le plus jeune âge.

Ce fut aussi dans ce pensionnat que je fis l'expérience de la chair, avec deux sublimes jumelles chinois de toutes beautés. Elles s'étaient pris en affections pour moi dès mon premier jour au pensionnat et nous sommes devenus des amis avant de devenir des amants.

C'était la belle vie. Je m'adonnais à ma passion pour la musique à loisir. Mes professeurs me laissaient de temps libre et la classe de musique pour que je puisse jouer de piano, contre un petit service. Jouer deux à trois fois par ans devant leurs supérieurs et le ministre de l'éducation chinoise. Je pratiquais une à deux fois par semaine les arts martiaux pendant que mes camarades jouaient au football ou couraient sous la tutelle de notre professeur de sport.
Et plusieurs nuits par semaine, je partageais mon lit avec deux sublimes créatures. Juste pour le plaisir de dormir avec elles ou pour s'adonner aux plaisirs de la chair.

Et maintenant, vous vous demandez sûrement pourquoi je suis ici à Tokyo et non en Chine où j'avais une vie de rêve. Et bien la raison est la même. Mon père a encore eu une promotion et nous sommes partis. Au moins cette fois-ci, j'ai eu le temps de dire au revoir à mes amis et mes connaissances, en leurs promettant de leurs écrire une lettre régulièrement pour leurs donner de mes nouvelles