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Sujet: On se rencontre.. Jeu 3 Jan - 14:03 | |
| Invité On se rencontre.. Chambre 107 Tsukasa Mayurin & Mikoto Arakawa & Mégara Himo & Sayuri Hanari & Izumi Sahashi & Iris Meetle
Le son de la voix de Keane, qui chantait Somewhere Only We Know me berçait tranquillement alors que j'observais par la vitre du bus la vie exterieure, dans cette ville si poupulaire, Tokyo. Sa douce voix me guidait dans la nouveauté, dans ce monde inconnu. Le bruit était barré par la voix pleine de sentiments de Keane, mais j'imaginais déjà le bruit de moteur des voitures, les téléphones qui sonnent, les personnes qui se parlent. Tout ce qui consiste le monde actuel, en quelques sortes, m'étaient indispensables. J'avais le besoin d'entendre les autres, même si je ne leur parle pas. J'avais besoin d'entendre pour me sentir à l'aise. Et alors que je réfléchissais, que j'écoutais, je remarquai que le bus s'arrêtait, il était devant un établissement : Pensionnat Hina. Voilà, j'étais arrivée, et je découvrai. Les murs blancs et propres, les vitres sans aucunes traces de doigts. J'étais dans un état d'émerveillement. Jamais, de mes 16 ans de vie, je n'avais vu plus beau bâtiment.
Je poussai la grande porte, essayant de ne pas laisser de traces de doigts. Et je découvrai. De nombreux élèves étaient arrivés, attendant patiemment que la femme qui gérait une sorte d'accueil - enfin pas une sorte C'était l'accueil de la Pension - ne les appellent. C'est là que de nombreuses questions se bousculèrent dans ma tête. Que dois-je faire ? Où dois-je allée ? Et toute sortes de question du même genre. Un garçon arriva derrière moi et alla s'installer sans faire quoi que soit, sans hésiter. J'aurais tellement voulu être aussi téméraire et insouciante que lui ! Alors je l'imitai, alla m'asseoir dans un coin pas trop rempli, comme à mon habitude. Dans ce coin, une fille ne quittait des yeux son télephone, un autre jeune garçon somnolait dans son coin, et un autre lisait un manga. Keane continuait de me bercer, j'avais mit sa chanson en répétition. Voilà au moins cinq fois que je l'entendais depuis que j'étais entrée dans le bus, qui avait roulé sur une longue et interminabe route jusqu'à destination.
Puis la femme commença a appeler. Elle énumérait les chambres, puis donnaient les noms de leurs occupants. Mon nom arriva pour la chambre 107. Comme par hasard, j'étais la première appelée, donc je devais me rendre jusqu'à la chambre, sans discuter. J'entendis le nom de l'un de mes colocataires, une fille. Seulement j'étais déjà trop loin pour bien entendre. Ce que je savais, c'est que c'était une fille. J'arpentais les escaliers pour rejoindre le premier étage. Les marches carrelées étaient comme protégées par un filme de propreté, que rien ni personne ne pouvait enlever, sauf peut-être les femmes de ménages, qui sait ? Utilisaient-ils une sorte de magie pour protéger l'établissement ? Bien que la magie soit pour moi quelque chose d'impossible, cette pureté me donnait envie d'y croire. Cela me rappelait un autre moment de ma vie où j'avais voulu croire que la magie était bien réelle, ma rencontre avec Iris. C'était vraiment magique. Voilà. J'arrivais porte 102, puis 103 jusqu'à 107. Je fis glisser mes doigts sur la pognée, lisse. Et délicatement, je fis pression sur elle, pour l'ouvrir. Mais elle ne s'ouvrit pas. Elle était fermée à clé. J'avais rangé mon Ipod, je ne voulais pas le déchargé, pas encore. Je fis glisser mon sac de mon épaule et le laissa s'écraser par terre avant de m'asseoir à son côté. Cela me donne l'impression d'avoir un sac pour ami. Etrange, non ? Mais je ne pouvais plus attendre en silence. Déja, des voix arrivaient jusqu'à moi. Les bruits de pas aussi. J'ai des colocataires, enfin, je ne sais pas quel autre utiliser. Je suis une éleve du Pensionnat Hina. Je suis Izumi Sahashi, tout simplement. Code par Eol,(ici, Iris M.) uniquement pour Izumi Sahasi. Tu touches, j'te bouffe.
Dernière édition par Izumi Sahashi le Ven 4 Jan - 18:27, édité 1 fois |
| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Jeu 3 Jan - 14:43 | |
| Invité Il était 5h03 du matin, quand son réveil sonna. Elle se recroquevilla dans sa couette, et écouta désespérément le "Bip, bip" incessant de son réveil. Prenant son courage à deux mains, elle posa sa main sur le bouton qui permettait d'arrêter son réveil. Cette jeune fille allongée sur le lit s'appelait Mikoto Arakawa. Elle s'est inscrite récemment au Pensionnat Hina, et elle avait hâte d'être à la rentrée. Et là, c'était le "Jour J". Mais la motivation n'était pas là. Qui a envie de se lever à 5h10 du matin.
- "Déjà 5h10 ?!" s'exclama-t-elle.
Elle se leva, mit sa montre, enleva ses chaussettes de nuit, et mit ses chaussons. Elle ouvrit sa fenêtre et son "vélux", et éteignit la lumière. Mikoto avait peur du noir. Elle descendit les escaliers sans faire de bruit, car sa mère encore souffrante dormait encore. Elle ouvrit les placards, et prit ses céréales préférées : les Lions. Et les versa dans un mug. Il était blanc avec des vaches dessus. Après avoir prit son petit-déjeuner, Mikoto alla dans la salle de bain pour se laver, s'habiller, se brosser le dents, mettre son bain de bouche etc... Elle finit aussi de préparer sa valise, en rajoutant des chaussures, des livres, son téléphone, son Ipod rose nano, et quelques peluches.
Elle alla ensuite réveiller sa mère, et lui apporta son petit-déjeuner. Elle avait encore légèrement de fièvre, mais ça allait mieux.
- "Maman, j'y vais, prends-soin de toi, et n'oublie-pas d'utiliser le téléphone à côté de toi s'il y a un problème. Normalement, Akemi viendra aujourd'hui, au pire, appelle-moi, d'accord ?"
- "Oui. C'est gentil de t'occuper de moi. Passe une bonne rentrée au Pensionnat, et prends bien soin de toi."
- "T'inquiète pas !" dit-elle en faisant un clin d'oeil à sa mère.
Elle se dirigea vers la porte d'entrée, et mit des baskets. Elle courut jusqu'à son arrêt de bus. Attends, elle rêvait ou son bus était à l'heure ? Elle monta, passa sa carte NAVIGO dans la petite machine prévue à cet effet, et s'installa sur un siège. Elle avait une valise à la main, et elle était bien remplie. En plus l'arrêt où le bus allait l'a déposer, n'était pas à côté du Pensionnat. Elle devrait alors encore marcher quelques mètres avant de pouvoir atteindre le bâtiment. Le trajet était long. Elle finit son manga avant même d'être arrivé à l'arrêt demandé. 10 minutes plus tard, le bus arriva, et Mikoto sortit, en traînant sa valise derrière elle. Elle marcha jusqu'au Pensionnat, et s'installa sur une chaise à l'accueil. Une jeune fille nommée Izumi Sahashi fut appelée, et se dirigea vers la chambre 107. 5 minutes plus tard, Mikoto fut appelée également à la chambre 107. Elle porta sa lourde valise, qu'elle ne put faire rouler dans les escaliers, et arriva en traînant un peu des pieds à la porte de la chambre 107. La jeune fille était déjà là. Elle l'a vit assise devant la porte, en se demandant pourquoi elle n'était pas entrée. Mikoto lui adressa la parole :
- "C'est fermé ?" |
| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Jeu 3 Jan - 15:24 | |
| Invité Mon père en avait eu marre de mon comportement puéril dés lors, sans me demander mon approbation. Il m'avait envoyé ici espérant que j'allais changer et arrêter de ruiner le nom de sa famille et par la même occasion de son entreprise pharmaceutique. Mais il espérait cela en vint, car je ne comptais plus changer. Je lui avais trop obéi par le passé et maintenant, je ne cherchais que ma liberté. Ce qui m'avait poussé à changer ? Cela était uniquement dû à l'histoire de mariage arrangé. Ainsi, monsieur le directeur voulait marier son fils par intérêt. Je pouvais le comprendre, mais il ne m'en avait jamais rien dit avant. Si il m'aurait prévenu dés mon plus jeune âge, je suis sûr que cela aurait changer toute mon histoire et que probablement, je ne serais jamais devenu celui que je suis actuellement. C'est fou quand même comme une seule chose peu influencer toute une vie...
Au moins, je n'avais pas trop à me plaindre, mon père ne me fit pas prendre le transport en commun pour aller à la pension. Il tenait dans un sens à m’accompagner jusque là, mais dans un sens j'aurais préférer un voyage silencieux. Au lieu de ça, j'avais droit à ses derniers reproches sous forme de questions. Il me demandait qu'est-ce qu'il avait fait pour mériter un tel fils, pourquoi je ne répondais plus à ses attentes, pourquoi est-ce que je brisais nos rêves,... Tant de questions aux quelles je ne répondais plus depuis bien longtemps. Il me les posait tellement souvent attendant de ma part que je lui dise je suis désolé ou pardonne moi père. Mais cela, je ne comptais pas lui dire. J'étais là, assis à côté de lui a regardé par le fenêtre espérant que bientôt nous serions bientôt arrivé à destination.
Finalement, la voiture s'était arrêtée devant un grand bâtiment. J'aurais pu faire comme tout le monde est m’extasier devant celui-ci, mais j'avais un peu trop l'habitude des grands bâtiments qu'ils soient beau ou moche. Ainsi, pour ma part, je m'étais simplement contenté de prendre mes affaires dans le coffre de la voiture. Il s'agissait d'un sac a dos et d'une petite valise, je n'avais pas vraiment besoin de grand chose donc j'avais pris le strict minimum et si jamais il me manquait une chose ou l'autre, j'utiliserais l'argent que mon père verserait sur mon compte. Donc voilà, j'avais uniquement un sac pour mettre mes cours et une valise avec mes vêtements, mes affaires de toilette,... J'étais prêt pour survivre ici.
Ignorant les dernières paroles de mon père, je m’engageais dans l'allée centrale du bâtiments pour rejoindre l'accueil. Enfin, si bien entendu, il se trouvait bien à l'endroit que je supposais. Néanmoins, je ne m'y précipitais pas. Une fois que la voiture de mon père avait quitté le devant du bâtiment, j'avais sortit un paquet de cigarette pour m'en griller une avant de commencer cette nouvelle vie ici. Une fois fini j'entrais dans le bâtiment, qui lui était bondé. Soupirant, je m'avançais en silence pour me taper dans un coin seul.
« Mayuri pour la troisième fois, est-ce qu'il y a une jeune fille du nom de Mayuri Tsukasa ? »
Non mais je rêve où quoi ? C'est quoi cette organisation, pourquoi on me traitait de fille. Surtout qu'ils avaient massacré mon nom de famille. Je crois que si mon père aurait été là, il aurait éclaté de rire enfin non... C'est moi qui rigolais là, même si cela m'ennuyait un peu. Lui, il aurait pété un câble sur la bonne femme en disant que je m'appelais Tsukasa Mayurin. Enfin, je m'approchais donc de la bonne femme avec un sourire charmant dessiné sur mes lèvres.
« Effectivement, il y a un Tsukasa, mais il n'est ni une fille et ne s’appelle pas Mayuri, mais bien Mayurin. Je vous prierais donc charmante dame, de modifier cela dans vos registres, car je ne tiens pas à me travestir en femme pour suivre les cours. »
Sur ces mots, je m'éloignais de la femme surprise et aux joues légèrement rosée par mon baise-main. Je m'aventurais donc maintenant en direction de la chambre où se trouvait deux jeunes filles devant la porte. Il devait probablement s'agir des mes colocataires étant donné la question que l'une d'elle posait à l'autre sur la porte. Mais venant d'arriver, je ne pouvais répondre à cette question, cependant, je me devais de me présenter à ces jeunes filles.
« Enchanté ravissantes demoiselles. Je me présente. Tsukasa Mayurin votre compagnon de chambré semble-t-il.»
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| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Jeu 3 Jan - 16:03 | |
| Eden KakinoMORE ? Messages : 109 Réputation : 27 Date d'inscription : 31/12/2012
Carte d'identité Chambre: 107 Orientation: Hétérosexuelle Friendlist: *la veille de la rentré* - Je ne comprends toujours pas ton choix de l’envoyer là-bas, Maika ! Elle est très bien parmi nous, elle pourrait travailler au café, tu le sais ! - C’est pour elle, tu lui as fait suffisamment de mal depuis ça naissance Ren !!
Et les coups tombèrent. Mégara, assise à son bureau à l’étage finissait sa valise, elle partait très tôt le lendemain matin et avait une boule dans le ventre. Elle descendit pour essayer de distraire son père, agacée qu’il lève la main sur sa gentille belle-mère qui lui sauvait la peau en se sacrifiant. Il vit sa fille et lui dit de partir parce qu’il « parle » comme il dit. Elle s’exécute, apeurée. Le temps passe, le repas arrive. Les trois membres de la famille mangent, silencieux, tout est tendu.
Le soir arrive, Mégara boucle ses affaires. Elle part se coucher, comme chaque soir, stressée, apeurée, voulant déjà être le lendemain, c’est toujours la même chose. Et puis un grincement retentit, la porte s’ouvre en criant, il entre, il recommence, encore, encore, une dernière fois. Une heure environ pour cette fois, il repart, satisfait. Elle pleure. Elle pleure de colère, de peur, de joie, de tristesse. La joie d’avoir tenue jusqu’à ce soir-là, le dernier. Elle sert contre elle le vieux lapin rose que lui avait offert sa mère.*bip bip bip bip…* Il est 4 heures du matin, le réveil de Mégara hurle dans ses oreilles. Elle l’éteint et se lève puis court à la douche. Elle sèche ses cheveux rapidement à l’aide d’une serviette et descend. Maika à fait son déjeuner et est partit s’habiller. Après un rapide brossage de dents, elles partent dans la nuit noire jusqu’à la gare en voiture. Maika lui donne un papier avec les lignes de bus à prendre une fois arrivée. Mégara monte dans le train et écoute ses chansons préférées. Quelques heures plus tard, après s’être assoupie, Meg sort du train à Tokyo. Elle tire sur sa valise qui la suit sans difficultés et regarde autour d’elle, émerveillée. Tout est si grand, si beau, tout est nouveau pour elle. Elle avance et cherche l’arrêt de bus, elle y arrive quand le bus s’arrête. Coup de chance. Le temps passe dans les bouchons puis l’arrêt enfin désiré arrive. Elle descend, en face de l’immense Pensionnat. Elle entre et observe les lieux, tout est magnifique et propre. Elle se laisse guider par le bruit des voix des élèves. Elle arrive à un lieu où tout le monde ou presque est assit, et où une femme tient un micro. Elle appelle des personnes pour des chambres et tout le monde rit quand un garçon se lève. Meg n’a pas écoutée, elle ne sait pas ce qu’il se passe. Puis son prénom retentit dans le micro. Elle prend sa valise et part, découvrant les lieux. Elle trouve facilement l’internat et cherche la chambre 3 bonnes minutes. Elle arrive dans le couloir où se trouvent trois personnes dont le jeune homme appelé avant elle. « Au moins je suis sûre d’être au bon endroit… » Se dit-elle. Elle s’avance d’un pas peu assuré, vêtue d’un jean noir, sa veste violette, de baskets violettes également et ses cheveux blancs remontés en queue de cheval. - Hum… Salut, je…Je suis Mégara, je suis nouvelle ici… ; murmure-t-elle timidement, peur de pas être acceptée par ces nouveaux camarades. |
| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Jeu 3 Jan - 17:19 | |
| Invité On se rencontre.. Chambre 107 Tsukasa Mayurin & Mikoto Arakawa & Mégara Himo & Sayuri Hanari & Izumi Sahashi & Iris Meetle Je regardais la nouvelle venue qui s'arrêta devant moi en me dévisageant. Ses longs cheveux châtains, magnifique descendaient jusqu'à se genoux. Elle avait une couleur d'yeux totalement splendide et la formes de ses pupilles uniques en son genre. Elle faisait à peu près ma taille. Puis j'entendis sa douce voix. " C'est fermé ? " Elle avait dit ça simplement, sans rien ajouter d'autre. Elle parraissait sûre d'elle, pleine de vie. Je l'enviais. Je la trouvais unique. Chacun de nous est unique. Iris est unique, cette jeune fille est unique. Je voulais lui répondre. je le voulais vraiment. J'entrouvris la bouche mais aucun son s'en sortit. Je me haïssais. Je haïssais cette timidité, ce manque de confiance en moi. Je voulais changer. Je voulais retrouver cette insouciance que j'avais uniquement partagé avec Iris. Je voulais des amis. J'en voulais vraiment. Et aujourd'hui, j'en aurais. Je pris mon courage à deux mains et arrondit un peu plus la bouche. " O.. " C'est déjà un son, c'est bien continue ma vieille ! m'encourageais-je intérieurement. J'allais reprendre, mais un garçon, très grand, peau très pâle et cheveux blancs, arriva devant nous, nous observa avant de se présenter. " Enchanté ravissantes demoiselles. Je me présente. Tsukasa Mayurin votre compagnon de chambré semble-t-il. " Un gars dans une chambre de fille ? Sont-ils fous, dans ce Pansionnat ? me-dis-je, en perdant l'aspect exemplaire à classer les filles et les garçons par genre que je me faisais à mon arrivée. Bon, au pire c'est qu'un garçon, et il m'a l'air bien élevé. Il est bien élevé, n'est-ce pas ? La question que je posais à ma conscience était, bien évidemment sans réponse. Bon allée, il est temps de retenter ma chance. Pas le temp. Une seconde jeune fille arriva, de ma taille à peu près elle aussi, avec des cheveux très clairs. Mais dire s'ils étaient blonds ou blancs, je ne pouvais pas.Je trouvais ses yeux rouges attirants, comme ceux de ma première interlocutrice l'étaient. Et elle prit la parole. " Hum… Salut, je…Je suis Mégara, je suis nouvelle ici… " Je baissai la tête puis me rappelai que j'avais mis un vent à la fille aux cheveux châtains. Je voulus la regarder, mais je n'en avais plus le courage. " Je..Je suis enchan..chantée de vous..vous.., je rougissai, perdait mes mots, vous.. rancontrer ?, et comme une idiote, j'élevai la voix, mais ce n'était pas une question. Je..Désolée..La porte est..vérou..fermée..Je crois que c'est..l'une des deux autres..personnes..qui l'a..en sa posse...ssion. Je m'appelle..., comment je m'appelle, déjà ? Ah, ça me revient, euh..Ah oui.. Izumi Saha..shi. Je m'appelle Izumi Sahashi. " Et morte de honte, je baissai encore plus la tête, les larmes aux yeux. Je pleurai. Pourquoi je pleurai ? Je suis idiote non ? Franchement pleurer parce qu'on a pas une clé... Y a pas plus con comme raison de chouiner non ? Mais est-ce vraiment pour ça que je pleurai.. ? Code par Eol,(ici, Iris M.)uniquement pour Izumi Sahashi. Tu touches, j'te bouffe. |
| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Jeu 3 Jan - 17:48 | |
| Invité Mikoto vit très bien que la jeune fille qu'elle venait de rencontrer était très timide. C'est un peu la timidité qu'elle avait quand elle était petite. Mais maintenant, elle avait légèrement changée. Mikoto regarda la jeune fille, qui réussit à échapper un léger :
- " O.. "
Mikoto avait très bien comprit, mais elle n'eut pas le temps de lui répondre. Un garçon qu'elle trouvait assez mignon arriva. Elle le regardait, figée.
- " Enchanté ravissantes demoiselles. Je me présente. Tsukasa Mayurin votre compagnon de chambré semble-t-il. "
Et une autre fille fit son entrée et dit :
- " Hum… Salut, je…Je suis Mégara, je suis nouvelle ici… "
Elle courut à l'autre bout du couloir, où se trouvait la jeune fille blonde aux yeux rouges. Elle s'accrocha frénétiquement à elle, et ses yeux se remplirent légèrement de larmes. Et oui, pour ceux qu'ils ne le savent pas encore : elle a la phobie des garçons qu'elle ne connait pas. Mais, attends, si un garçon était dans la même chambre que toutes ses filles, il allait certainement en profiter non ? Paniquée, elle se mit à trembler. Mikoto se présenta tout en restant accrochée à la jeune fille :
- "Je... Je m'appelle Mikoto Arakawa, ravie de vous rencontrer. Ah et puis, je suis désolée pour ma réaction, mais j'ai eu un mauvais passé avec un inconnu... Alors, pardon..."
Elle le regarda, d'un air désespéré. Elle va devoir dormir dans cette chambre, avec un homme ?! Espérons que les lits sont séparés en plusieurs salles. La jeune fille nommée Izumi reprit la parole :
" Je..Je suis enchan..chantée de vous..vous.. vous.. rencontrer ? Je..Désolée..La porte est..vérou..fermée..Je crois que c'est..l'une des deux autres..personnes..qui l'a..en sa posse...ssion. Je m'appelle... euh..Ah oui.. Izumi Saha..shi. Je m'appelle Izumi Sahashi. "
Soudain, Izumi se mit à pleurer. Je lâcha alors la jeune fille aux yeux rouge, et m'approcha d'elle.
- "T'inquiète pas, tu n'as aucune raison de pleurer. Il y a des choses plus grave dans la vie que de bégayer, crois-moi... Et je pense que la fille qui doit posséder la clé, ne va pas tarder à arriver."
Mikoto se plaça à côté d'elle et s'assit. Elle toucha alors ses cheveux, et sortit sa brosse, pour qu'elle puisse se détendre, et avoir pleine confiance en Mikoto. La pauvre, elle avait les cheveux électriques. Ca doit pas être facile tous les jours...
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| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Jeu 3 Jan - 20:16 | |
| Invité Le réveil n'avait pas encore sonné. Comme toujours, ce premier jour lui nouait l'estomac. Aussi s'était-elle levée plus tôt. La seule fois de l'année où elle arrivait à se lever vraiment toute seule, sauf lors d'un exploit. Ainsi, couchée au fond de son lit, elle attendait qu'enfin, il se déclenche. Un simple soupir, tandis qu'elle faisait un demi-tour dans ses draps. Finalement, elle abandonnait. Déjà se levait-il et sortait de sa chambre pour se préparer pour cette rentrée. Aujourd'hui saurait-elle sa chambre et ses colocataires pour l'année.
Passant un moment dans sa salle de bain, se préparant soigneusement, évitant de trop penser qu'elle risquerait de le croiser à nouveau, elle descendit bientôt rejoindre ses parents, déjà affairés à la table. Le déjeuner servi, la discussion prit la tournure habituelle. Comment se sentait-elle ? Qu'espérait-elle pour cette année scolaire ? Chaque année, le même refrain. Chaque année, elle souriait et se disait stressée. Et cela, c'était bien vrai. Bien sûr, elle cacha sa grande crainte de retrouver Tsukasa. Ainsi, laissant transparaître un grand calme, elle fit bientôt la bise à ces derniers avant de prendre le métro pour se retrouver jusqu'au Pensionnat où elle passerait maintenant les dix prochains mois. Juste idée la rendait triste. Elle ne verrait que peu sa famille et si les cours et l'éducation était plus que correct, les temps libres étaient exécrables. Un soupir et déjà, le métro s'arrêtait à sa station.
Comme toujours, elle était en avance. Comme toujours, elle attendrait paisiblement. Assise sur l'une des chaises, tandis que la salle se bondait lentement. Bientôt, ce fut le tour d'une femme de s'installer au niveau de l'estrade et de commencer l'appel. A chaque identité, elle le répétait si la personne ne se levait pas la première fois. Ainsi la liste s'écoula selon les chambres et bientôt vint la sienne. Et les noms qui s'étaient succédés lui avaient glacé le sang. Elle serait dans la même chambre que lui, avec quatre autres filles. L'ambiance ne pourrait être qu'au rendez-vous. Un soupir. Elle était la dernière à devoir partir. Heureusement. Au moins, Tsukasa ne savait pas encore pour elle.
Traînant un moment dans les couloirs, elle finit par entendre les premiers échos d'une conversation de couloirs. Et dans celle-ci, elle entendit les bégaiements d'une demoiselle puis la réplique d'une autre. De lui, elle n'entendit rien. Et, silencieuse, elle s'approcha de la bande. Ils étaient quatre, sans la compter. Lui. Et trois filles dont elle ne connaissait ni le nom ni le visage. Pourtant, elle devrait vite les retenir. Se souvenir de qui serait dans sa chambre. Aussi, se postant assez proche pour se faire entendre, se laissant aller à un sourire aimable, elle se présenta aux autres, sans savoir s'ils feraient vraiment attention ou non.
« _ Bonjour. Sayuri Hanari. Je suis l'avant-dernière ! Je ne crois pas que nous nous soyons un jour rencontré ou même salué. Enchantée. »
Elle sourit, aimablement, tout en évitant soigneusement le regard de l'unique garçon. Son ex'. Elle ne voulait pas l'affronter. Pas maintenant. Pas devant les autres filles. Aussi, elle se contenta de cette courte présentation et attendit en silence, ne sachant même pas pourquoi chacun attendait devant la porte.
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| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Sam 5 Jan - 9:48 | |
| Invité On se rencontre. • Izumi Sahasihi • Mikoto Arakawa • Tsukasa Mayurin • Mégara Himo • Sayuri Hanari First - « Les clés ? Oui, c'est moi qui les aies. » Six heures du matin. . Iris serait bien restée au fond de son lit si l'insupportable sonnerie de son réveil ne l'avait obligée de quitter son sommeil paisible. Elle resta couchée deux petites minutes, afin de s'assurer qu'il était réellement nécessaire de se lever. Hélas ! Jour de la rentrée, elle devait se forcer. Les cours ne commenceront pas dans l'immédiat, mais le temps que les élèves s'installent, l'administration avait jugé utile de les faire venir en avance. Iris grimaça. Elle était encore claquée et aurait voulu se rendormir. Mais ça aurait été un acte irresponsable et ça lui aurait causé pas mal de problèmes. Elle s'assit finalement sur son matelas, fixant l'appareil qui l'avait tiré si brusquement de ses rêveries.
* Tu es jaloux de la relation que j'ai avec mon lit, c'est ça ? *
L'adolescente se leva et descendit dans la cuisine. Ce n'était pas sa première année au pensionnat Hina, et surement par sa dernière. Ses tuteurs lui avaient expliqué que cette école était d'un haut niveau et que de toute façon, comme aucun des deux adulte n'était là plus de trois moi par an, vacances comprises, il ne fallait pas qu'Iris s'habitue trop à la solitude. Du coup, depuis ses quinze ans, ils l'envoyaient dans cette pension. Au début, la jeune fille s'était fermée à cette proposition, certaine qu'y passer l'année serait un réel calvaire. Sa tutrice l'y ayant finalement poussée, elle avait rejoint le pensionnat peu motivé. À la fin de l'année, et demanda elle-même à s'y réinscrire. Et c'est ainsi, que ce matin-là, Iris devait se lever pour rejoindre les autres élèves là-bas. Elle mit la vaisselle sale dans l'évier, sachant que la femme de ménage passerait d'ici une semaine, se rendit dans la salle de bain où elle fit sa toilette et retourna dans sa chambre où elle termina sa valise puis s'habilla. Elle s'empressa de quitter son foyer; plus d'une heure et quart s'étaient à présent écoulés.
La voilà dans le bus. Le trajet devait durer environ une demi-heure. Les transports étaient quasi vides, elle avait donc de la place pour transporter sa valise sans encombres et s'assoir sans se faire chasser par une mamie grognonne. Elle se laissa donc bercer par le ronron du moteur et par les zigs zag du véhicule. Trouvant le temps long, elle sortit son téléphone et envoya un SMS à son frère, puis à ses tuteurs. Un texte banal, prévenant que c'était la rentrée et qu'elle leur souhaitait une bonne journée. Elle le fourra ensuite dans la poche de son pantalon, puis laissa le temps passer. Lentement. Si lentement. Trop lentement. Ennui. Fatigue. Questions.
Le bus s'était arrêté. Iris en descendit précipitamment. Elle courut vers le pensionnat, affolée. En retard. Elle était en retard. La circulation avait très bien commencé, puis les routes avaient été complètement bouchée. Ça faisait dix minutes que la distribution des chambres avait commencée. Elle continua sa course sans ralentir le pas, et arriva devant le large bâtiment. C'était là. Elle traversa l'entrée, commençant enfin à entendre une voix. Une voix aiguë qui disait de courtes phrases. La distribution des chambres avait bel et bien commencé. Iris s'assit sur un fauteuil de l'entrée, sachant qu'elle avait déjà été appelée. L'appel avait cessé, il ne restait qu'une dizaine d'élèves, peut-être un peu moins. Pourquoi autant d'élèves ? Au moins, elle ne sera pas la seule à se faire passer un savon. À moins que ...
« Bienvenue aux pensionnats Hina. Je ne vous ai pas encore appelée car chacun de vous devra donner leurs clés à vos colocataires. Commençons. Mademoiselle Meetle ? Chambre 107.» Iris se leva et s'approcha de la femme qui lui remit six clés, toutes réunies sur un anneau. Elle prit sa valise et se rendit dans sa chambre. En marchant, elle pensa que si personne d'autre qu'elle n'avait les clés, ça voulait forcément dire que ses compagnons de chambres étaient encore à attendre . Elle fit la moue, elle avait oublié que l'organisation des premiers jours laissait à. Elle traversa le couloir, sous les regards curieux des autres pensionnaires. Elle arriva enfin devant la porte de sa chambre. Ils étaient déjà cinq à y être. Il y avait un seul garçon. Il était adossé au mur, parlant avec une fille qui lui ressemblait pas mal. Ils avaient un physique original, ou plutôt, des cheveux de couleur originale : très clairs, presque blond. Par terre, il y avait trois autres filles, qui parlaient. L'une avait les yeux rouges, comme il elle venait de pleurer. *Ils ne m'ont toujours pas remarquée.* Iris sortit de sa poche les six clés et les fit tinter. *Cling, cling*. Ils la regardaient à présent. Elle sourit et dit simplement :
«Enchanté, je suis Iris Meetle. Désolée de vous avoir fait attendre. »
Sous les regards suspicieux des cinq autres adolescents, elle ouvrit la porte. Ils n'avaient pas encore bougé. Elle en profita pour vite analyser la chambre : elle était plutôt grande. Il y avait deux lits superposés, l'un à droite de la porte, l'autre à gauche, et deux lits en mezzanine sans voisin du dessous, un tout petit peu plus au fond. Il y avait aussi des armoires, sans serrure. Iris eut un soupir de soulagement lorsqu'elle repensa au cadenas qu'elle avait amené. Sans attendre l'avis de ses compagnons, elle se jeta sur un des lits en mezzanine, celui prêt de l'unique fenêtre. Elle prit soin d'en avertir ses colocataires :
« Je prends celui-là ! Donc l'armoire ici, c'est la mienne. »
920 mots.
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| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Sam 5 Jan - 14:03 | |
| Invité Ordre de post : Mégara, Izumi, Mikoto, Sayuri, Iris et moi. Merci de plus le changer.
Je venais de me présenter à ces deux jeunes filles, cependant, je savais que j'aurais du attendre encore un peu car d'autres personnes allaient venir et que je devrais à nouveau me représenter. Enfin, cela ne me dérangeait pas vraiment, car si jamais un autre garçon avait la malchance comme moi d'avoir une incompréhension dans le nom et qu'il devenait pour quelque instant une jeune fille. Il se retrouverait ici avec moi. Car si j'avais bien compris, j'étais ici, devant cette porte, à cause d'une faute d'administration et maintenant, il était trop tard pour changer cela. Mais par chance, je me retrouvais avec plein de filles, ainsi, je pourrais m'amuser facilement, car après tout, les sentiments des filles pour moi ce n'était qu'un simplement passe temps. Enfin, j'attendais en silence une réaction des deux demoiselles déjà présente quand finalement une autre arriva, elle se présenta également. Je l'écoutais attentivement, elle s'appelait Mégara et étrangement, elle me ressemblait assez. Peut-être que comme moi, elle avait des origines Nordique. Enfin, je lui demanderais plus tard, car avant de pouvoir prendre la parole. La réaction que j'avais attendu était enfin là. Regardant en silence. Un peu étonné des réactions de ses deux filles là. Autant Mégara avait été un peu timide de se présenter au groupe, mais autant l'une pris la fuite une fois qu'elle avait réalisé que j'étais un garçon, se planquant derrière le bras de la nouvelle arrivée. Encore une fois, on me coupa l'herbe sous les pieds et je dis rester silencieux car la dernière fille présente se présenta... Avec beaucoup de mal. Je pense bien qu'il fallut plusieurs minutes à celle-ci pour se présenter tellement elle était gênée. Déjà là. Ça promettait beaucoup de chose cette chambre. Pour le moment là seule fille qui sortait du lot c'était Mégara, car elle n'était pas si bizarre que cela.
« _ Bonjour. Sayuri Hanari. Je suis l'avant-dernière ! Je ne crois pas que nous nous soyons un jour rencontré ou même salué. Enchantée. »
Je ne l'avais pas vu arrivé et je n'avais remarqué sa présence uniquement quand elle avait prit la parole. A peine le bonjour prononcé, j'avais reconnu sa voix. Me retournant vers elle choqué, je la regardait se présenter. Non, c'était pas possible. Elle était là, dans la même chambre que moi... Et dire que je pensais que ça allait être un véritable plaisir d'être dans cette chambre, je tombais de haut. J'allais en baver avec elle. Je ne pourrais pas m'amuser comme je le voulais. Soudainement, je regrettais de ne plus avoir la possibilité de changer de chambre... Enfin, j’espérai aussi que la dernière personne qui arriverait serait un mec car lui me sauverait la vie. Enfin... en attendant son arrivé, je devais prendre la parole. Déjà, faire comprendre aux deux filles étranges que je ne les mangerais pas et faire comprendre à Sayuri qu'on en avait rien à faire d'elle... Enfin, que moi j'en avais rien à faire de sa présence ici. Prenant enfin la parole après autant de temps de silence, je m'adressais à toute ces demoiselles à l'exception de Sayuri. Je l'ignorais pleinement.
« Ravi de te rencontrer Mégara, je me nomme Tsukasa. J'espère que tu te plaira parmi nous. Ensuite Mikoto, tu verra très vite que je ne resterais pas un inconnu longtemps alors tu n'as pas à avoir peur de moi. Je ne compte pas vous manger. »
M'approchant d'Izumi, je la força à redresser la tête et du bout de mon index, j’essuyai une larme qui coulait sur ses joues. Je lui adressais un charmant sourire la regardant dans les yeux.
« Ma chère Izumi, Mikoto à parfaitement raison, tu n'as pas besoin de pleurer pour cela. Nous ne t'en voulons pas. Je dirais plutôt que j'en veux à l'organisation de cette établissement. J'aurais tant aimé que tu nous adresse un grand sourire en nous disant, j'ai les clefs au lieu de pleurer ainsi parce que tu ne les a pas. »
Finalement, je recula quand je vis que Mikoto sortit sa brosse et commença à lui brosser les cheveux. S'était un peu trop féminin pour moi, puis je ne devais pas les déranger dans un sens, Mikoto cherchait aussi à la rassurer et si cela permettait à Izumi de ne plus pleurer cela m'arrangeait également. Alors m'éloignant un peu de ces deux filles, je m'adossais contre le mur, près de Mégara et la regardant, je lui adressais la parole. Ignorant toujours Sayuri et dans un sens, tout le monde le faisait aussi car Mikoto et Izumi était occupée ensemble. Restait plus qu'a voir comment Mégara allait réagir. Mais bon, maintenant, je comptais lui poser ma question sur ses origines.
« Mégara, c'est un jolie nom qui vous va à ravir, mais je me questionne sur vos origines. Car tout comme moi, vous n'êtes sûrement pas Japonaise d'origine et je pense que vous auriez peut-être une origine Nordique. Est-ce que je me trompe ? »
C'est à ce moment-là que la dernière fille arriva avec les clefs car elle nous les montra avant même de se présenter. Enfin, elle s'appelait Iris et rapidement, elle rentra dans la chambre pour choisir son lit et son armoire en première. Enfin c'est ce que j'en déduis car je n'avais pas vu sur la chambre et je comptais bien jouer les hommes galant en laissant entrer les filles en première et dés lors, avoir le dernier lit et la dernière armoire disponible. Après tout, je ne serais là que le soir et cela ne représentait pas beaucoup de mon temps surtout si je comptais sortir pour profiter de la vie nocturne donc cela m'importait peu.
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| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Sam 5 Jan - 17:03 | |
| Eden KakinoMORE ? Messages : 109 Réputation : 27 Date d'inscription : 31/12/2012
Carte d'identité Chambre: 107 Orientation: Hétérosexuelle Friendlist: Quand une certaine fille comprit que le jeune homme en était un, elle sauta sur Mégara pour se cacher de peur en se présentant d’une voix tremblante. Elle s’appelait Mikoto, mais la surprise que ressentit notre jeune albinos le lui fit oublier presque immédiatement. Le garçon se présenta, Tsukasa. Il lui paraissait familier. Puis la jeune fille assise se mit à pleurer de timidité en se présentant à son tour. « Bon… Je ne suis pas la plus timide… » Pensa Mégara.
Tsukasa et Mikoto s’occupèrent d’Izumi qui pleurait quand une autre jeune fille arriva. Il y en avait vraiment trop et Meg aurait beaucoup de mal avec les prénoms. La nouvelle arrivante, Sayuri, se présenta naturellement, sans aucune gêne.
Etrangement, Tsukasa ne s’adressa qu’à Mégara, qui en fut grandement surprise. Elle lui offrit un sourire timide en guise de remerciement pour le compliment qu’il lui fit et l’écouta poser une question qui la surprise. Si elle venait du Nord ? Pas à son souvenir. Elle attendit quelques secondes avant de répondre.
- Eum… Oui tu te trompes… Je suis albinos… Elle murmura, gênée de devoir déjà l’avouer. Elle avait un problème avec ce côté de son physique. Pourquoi vous venez d’où ? Demanda-t-elle en relevant la tête.
Le fait de ne pas être aussi timide que les autres lui donnait confiance en elle. Sa voix ne tremblait plus et elle arrivait à articuler clairement. Mais cela ne suffirait pas à s’intégrer totalement, elle en avait peur.
Des pas, un bruit de clé, le son d’une douce voix. Enfin ils allaient pouvoir entrer. Et la détentrice des clés avait un prénom simple : Iris. Elle ouvrit la porte et choisit son lit sans se soucier des autres qui attendaient depuis plus longtemps dehors. Mégara entra derrière Tsukasa qui ne manifestait aucun choix pour le lit et l’armoire. Elle s’avança doucement et décida à prendre la parole.
- Je prends un lit en bas, si ça ne dérange personne… Et l’armoire la plus proche…
Elle s’avança vers le lit à gauche et posa sa valise à côté et son sac de voyage où se trouvait quelques livres, sa peluche et son MP4 eu à son dernier anniversaire. Elle s’assit sur le lit en observant la pièce. Ils n’allaient pas se gêner, c’était grand. Elle regarda les autres entrer dans la pièce illuminée par les grandes fenêtres.
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| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Sam 5 Jan - 19:35 | |
| Invité On se rencontre.. Chambre 1o7 Mégara Himo, Izumi Sahashi, Mikoto Arakawa, Sayuri Hanari, Iris Meetle & Tsukasa Mayurin. La petite fille aux cheveux bruns étaient debout sur le couvercle des toilettes, postées sur la pointes des pieds, avec seuls ses petites mains et ses yeux verts dépassant de la porte. Elle était là, cachée dans l'une des cabines, écoutant les murmures, les rumeurs basées sur elle. D'ailleurs, elle allait pas tarder à en entendre parler, de ces rumeurs. Trois filles, toutes plus âgées qu'elle, et déjà arrogantes, à jouer leur petite salope, en gros des filles en mode barbies. Elles avaient une dizaines d'années, la petite cachée dans la cabine, 8 ans. 10 ans, et voilà ce que ça se dit, les gamines de cet âge :
" - Vous savez, cette Izumi Saha-truc là.. Elle serait pas muette ? Quelqu'un a-t-il déjà entendu le son de sa voix ? dit la première, blonde.
- Il m'a semblé la voir parler à l'une des femme de ménage.. Une fois..., murmura la seconde, aux cheveux châtain clair.
- Je me rappelle, j'étais avec toi ce jour là ! En faite elle gesticulait plus qu'elle ne parlait.., dit la rouquine.
- Oui maintenant que tu le dis. On aurait dit un singe ! reprit la seconde. "
Izumi était descendue des toilettes, elle ouvrit le locket qui vérouillait la porte et sortit des toilettes, regardant les trois jeunes filles qui se retournèrent en entendant la porte grincer.
" - En parlant du loup.. dit la blonde.
- Tu veux dire, du singe, dit la rousse. "
Les trois gamines se mirent à rire aux éclats. La blonde, la plus grande, la plus forte, rigolait plus fort encore que ses amies, une main à revers devant la bouche, signe pour Izumi qu'elle était très snob. La châtain clair s'était pliée en deux. La rousse pouffait légèrement. Cette dernière s'arrêta de rire afin de reprendre.
" - Et ce petit singe, il paraît aussi que c'est une cafteuse.
- Tu crois qu'elle oserait nous cafter ? répondit la blonde.
- On ne sait jamais, ajouta la châtain clair. "
La blonde saisit Izumi d'une main en exerçant une pression sur ses joues, lui faisant imiter un poisson. Elle appuyait de plus en plus fort. Et Izumi, qui ne pouvait rien dire, ne faisait que gémir des plaintes inutiles. Personne ne l'entendrait. Voilà donc une gamine de 10 ans. Prétentieuse et a le malheur de se penser supérieur aux autres. Puis une main se posa sur le bras de la blondasse. Et une voix claire et douce résonna dans les toilettes des filles.
" Tu devrais la lâcher, Lucia. Ou je dis tout à tout l'orphelinat ce que je sais sur toi. "
Chose innattendue, cette Lucia lâcha immédiatement la petite aux cheveux bruns et grogna, puis elle fit signe à ses acolytes de partir. Izumi glissa le long de la porte et finit par s'asseoir par terre. Elle voulait dire merci, mais n'en trouvait pas les moyens. Elle vit une main se tendre vers elle. Un sourire, et une nouvelle fois, cette claire et douce voix.
" Enchantée, je suis Iris Meetle. Amies ? "
_________________ Enchanté, je suis Iris Meetle. Désolée de vous avoir fait attendre.
Elle se tient devant moi, devant nous. Elle secoue ses clés énergiquement, un sourire aux lèvres. Elle se dirige vers la porte où elle enfonce la clé dans la serrure. Je ne la quitte pas des yeux. Je crois qu'à ce moment là, alors que j'avais cessé de pleurer depuis quelques minutes, les larmes ont dévalé mes joues telles des gouttes de pluie glissant sur des feuilles d'arbres. Elle entre. Je la perd de vue. Je ne me rappelle pas ce que mes camarades de chambres viennent de me dire. Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je suis omnubilée par sa présence. Par sa voix. Elle crie quelque chose. Tsukasa se lève et entre, Mégara aussi. Tout le monde disparaît dans la chambre. Moi, je suis toujours assise dans le couloir. Je pleure. Je crois que l'on m'appelle. Je ne réponds pas. Je souris. Je pleure et je souris. Je plonge dans mes souvenirs. Je me revoit l'imaginer grandir. Je me revoit l'imaginer sourire. Je me lève. Mes jambes tremblent. Je rigole faiblement. Je n'aurais jamais pensé être autant touché que cela. Cela fait 8 ans que je ne l'ai pas vue. Mais je n'arrive pas à me précipiter dans la chambre. Je veux la serrer dans mes bras. Je veux la regarder encore une fois. Elle est grande maintenant. Elle est belle. Se rappelle-t-elle seulement de moi ? J'hésite à dissimuler ma joie. J'hésite à entrer et à faire comme si de rien était. Si je le fais, je me représenterais, pour tous. Et là, si elle se rappelle de moi, que fera-t-elle ? Non. C'est égoïste, cette façon d'agir. Que faire ? Que dire ? Tant d'émotions m'assaillissent. Je pleure de plus belle. De joie. De tristesse. De soulagement. Je lève la tête, non pas au ciel mais au plafond. Il est blanc, il est propre. J'attrape mon sac. Je soupire. Je me redresse. Je regarde la chambre. Je vois flou. Mes larmes ont brouillé ma vision. Je les essuie de ma manche. De même que j'avance. Je suis au seuil de la porte. Je contample toute la chambre. J'espère en mon for intérieur que le lit qui reste est celui à côté d'elle. Et qu'il sera à moi. Je ne sais pas pourquoi, j'ai l'impression d'être fixée. Je crois qu'elle me dévisage. Elle se rappelle donc de moi ? Tout à l'heure, je crois qu'elle s'est jetée sur son lit, du moins, c'est le bruit du matelas qui me l'a indiqué. Elle est descendue. Elle vide sa valise. Je veux me jeter dans ses bras. J'en ai l'irrésistible envie. Plus rien ne me retient maintenant. Je lâche mon sac, je cours vers elle. Je l'enlace. Et je pleure à nouveau. Code par Eol,(ici, Iris M.)uniquement pour Izumi Sahasi. Tu touches, j'te bouffe. |
| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Dim 6 Jan - 8:59 | |
| Invité Lorsqu'elle entra dans la chambre, Mikoto prit le lit superposé de gauche, au-dessus de Mégara (HRPG : Si je ne me trompe pas de lit). Mikoto lui adressa alors un joli sourire, et lui adressa la parole :
- "Ca ne te dérange pas si je suis au-dessus ?"
Elle sortit ses affaires de la valise, et vit une autre armoire, légèrement plus loin que celle que Mégara avait prise. Elle y rangea ses vêtements, et commença un installer son polochon. Oui, elle adore les polochons. Elle vérifia les draps s'ils n'étaient pas sales, et si le matelas était comme elle l'avait espérée. Tout était absolument parfait. C'était vraiment le paradis !
Soudain, son téléphone se mit à vibrer. Elle décrocha. C'était Akemi, la personne qui s'occupait de sa mère pendant son absence.
- "Allô ? C'est toi Mikoto ?"
- "Oui c'est moi. Maman va bien ?"
- "C'était justement ce-dont je voulait te parler. Ce matin, sa fièvre était descendue, mais elle est remontée. De plus, j'ai dû appeler les urgences, car ta mère est malencontreusement tombée en voulant t'appeler. Mais elle va mieux, ne t'inquiète pas trop."
Sur ce, elle raccrocha. Mikoto avait les larmes aux yeux. Sa mère était à l'hôpital ? Mais elle devait sortir du Pensionnat et aller l'a voir ! Au moment de passer la porte de la chambre, elle se ravisa. *Je suis sûre qu'ils ne voudront pas me laisser sortir, alors que ça fait à peine 2 heures que nous sommes là...* Épuisée, elle s'assit contre le mur, et attendit. Sa cicatrice était douloureuse. Mikoto avait eue un accident de voiture, et a eue une cicatrice lui traversant les deux cuisses. Quand celle-ci se "contracte", elle tombe automatiquement.
Elle regarda alors sa montre. 11h30. Quand allaient-ils manger ? Comment était organisé ce Pensionnat ? Les deux années précédentes, elle était dans un lycée à Tokyo, mais elle ne se faisait pas d'amis, et l'idée de finir tous les jours à 19h30 ne la ravissait pas autant que ça. Elle lut un journal, et vit que le Pensionnat Hina avait depuis des années, une grande réputation. Elle en parla alors à sa mère, et lui demanda si elle pouvait s'y inscrire. Quand elle eut dit "Oui.", elle apporta les documents d'inscriptions dans la chambre de sa mère, qui ne pouvait pas quitter le lit. Ces souvenirs de partage lui rappelèrent son père. Lui, qui avait disparut depuis plus de 2 ans, et dont elle n'avait jamais eu la moindre nouvelle. Elle perdu alors espoir, de le revoir un jour. Effectivement, son père était mort sur le trajet de l'avion, car celui-ci s'était crashé dans l'océan. Elle ne put son empêcher, les larmes coulèrent toutes seules... |
| | | Sujet: Re: On se rencontre.. Mar 8 Jan - 12:34 | |
| Invité Tout le monde l'avait ignorée, y compris Tsukasa. Personne n'avait posé plus d'une seconde son regard sinon même pas. Elle avait juste eu le temps de croiser celui de son ex' tandis qu'une seule avait tourné la tête. Personne ne lui avait répondu et même Tsukasa, qui venait de prendre la parole ne s'était pas adressée à elle. Et quand la porte s'était finalement ouverte et que chacun s'était grouillé de s'y rendre, elle n'avait fait que prendre l'un des lits disponibles. Elle s'était assisse et s'était mis à observer tout ce petit monde. En cet instant, elle était brutalement bien seule. Egarée.
Si elle pouvait comprendre l'ignorance de Tsukasa, qui certainement la détestait encore, elle n'arrivait pas à cerner les quatre autres filles. Des égoïstes ? Des empotées tombent sous le charme assassin de son ancien petit ami ? Seules ces deux réponses lui venaient à l'esprit. Serrant le poing sous le choc produit, cette blessure ouverte de se sentir seule à la rentrée, elle patientait là, assisse à son lit, sa valise sur le côté.
Remettant en place le nez qui cerclait son cou, bijou que ses parents lui avaient offert pour sa nouvelle rentrée, elle époussetait sa tenue blanche ainsi que sa jupe noire. Pourtant, ce qui la dérangeait bien davantage, c'était son sous-vêtement. Elle avait voulu essayé un nouveau truc ... Une belle erreur. Heureusement que sa valise n'était pas remplie de ces strings qui ne lui offraient que douleur. Ainsi, en silence, elle se tortillait pour déplacer ce tissu bien dérangeant.
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| | | Sujet: Re: On se rencontre.. | |
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