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 « Toute action dépend de la situation. »

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MessageSujet: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyVen 4 Jan - 17:59

Caden Minagawa

Caden Minagawa

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« Toute action dépend de la situation. »


Il le savait. Il fallait respecter la loi, que ce soit pour n'importe quelle cause. Mais jamais il n'aurait pensé qu'ils se seraient fait prendre aussi facilement que cette fois-ci. Caden n'avait jamais été arrêté par la police, et être emmené au commissariat aurait été impossible en temps normal. A côté de lui, il y avait une fille. Alice. Il ne la connaissait pas vraiment. Mais il était au courant de ce qui les attendaient, là, assis sur le seul banc de la pièce, au beau milieu du commissariat. L'atmosphère était glaciale, et le silence régnait dans la salle. Qu'est-ce que les commissariats pouvaient être tristes. Ici, il n'y avait aucune décoration, pas un seul tableau, pas une seule plante, et les murs de couleur béton étaient complètement vierges. C'était dire, si, lorsqu'il relevait la tête, il pensait tout de suite à la rebaisser pour fixer le sol, où les marques des coussinets d'un chat ou d'un chien avaient été laissées, sûrement lors de la construction du bâtiment. Caden avait gardé son manteau sur lui. Il faisait aussi froid ici qu'au dehors, lorsqu'il y songeait. A côté d'eux, derrière une table en bois, un policier pianotait quelque chose sur son ordinateur. Il savait que ça ne les concernait pas, car les hommes qui les avaient pris en flagrant délit étaient allés discuter dans un autre bureau. Discuter de quoi ? Il n'avait même pas envie de savoir. Sentant qu'il allait se mettre à ricaner, il fixa Alice, assise à côté de lui, sur le banc elle-aussi. Il n'avait pas l'air de se rendre compte de la véritable situation. En vérité, ils avaient fait quelque chose de "grave", mais de "normal" à ses yeux. « Toute action dépend de la situation. » . Ce devait être sa phrase fétiche, car c'était tout ce qu'il trouvait à dire lorsqu'on lui reprochait quelque chose. La jeune fille ne disait rien, et, personne n'avait le courage de briser le silence. Pourquoi personne ne parlait ? Caden aurait bien voulut prendre la parole, mais ça n'aurait strictement servi à rien, puisqu'il n'avait strictement rien à dire. Il allait sûrement devoir parler tout à l'heure, alors à quoi bon user sa salive pour souffler des choses inutiles. Le jeune homme leva les yeux au ciel, pour réfléchir à ce qu'ils avaient vraiment faits. Ça ne paraissait finalement pas si grave. C'était pour Alice qu'il avait fait ça. Tout avait commencé lorsqu'elle lui avait proposé d'aller faire du lèche-vitrines avec elle. Sans réfléchir, Caden avait accepté. Il aimait bien Alice, et ne semblait pas pouvoir s'empêcher de la suivre partout où elle allait, sans raison apparente. Il ressentait toujours le besoin d'aller la protéger, même quand il ne devrait pas y avoir de problème. Mais, cette fois-là, il n'aura vraiment servi à rien. Il aurait même peut-être mieux valu qu'il ne vienne pas, tout simplement. Ils étaient tous les deux, en train de se balader en ville. Ils s'amusaient bien, mais sans aucun sou sur eux, ils n'avaient que le plaisir de regarder les vêtements, les accessoires et les objets qu'ils convoitaient. Et puis, ce fut le coup de foudre. Alice remarqua une peluche, un petit ourson, avec des noeuds roses. Il était vraiment à croquer, cet ourson, et Caden fut terriblement attendri par la petite Alice qui sautillait devant la vitrine, comme une enfant à caprices. La pauvre. Elle avait vraiment l'air de vouloir acheter cette peluche. Par un mouvement de tête, Caden lui avait clairement expliqué qu'elle n'allait pas pouvoir l'avoir, aujourd'hui, et qu'il faudrait revenir une autre fois. Mais elle ne l'avait pas écouté, et avait désespérément cherché une idée pour obtenir de l'argent. Lui, il s'était mis à observer une grand-mère, très petite et beaucoup trop maigre. Il l'avait regardé bizarrement. Avec un sourire sadique aux lèvres. Lorsqu'il y repensait, Caden aurait aimé retourner dans le passé et changer ça. Mais qu'est-ce qu'il lui était passé par la tête, franchement ? Jamais ils n'auraient dû faire ça. Jamais Alice n'aurait dû l'écouter. Ce n'était même pas sa faute. C'était lui qui lui avait proposé de voler cette grand-mère. Oui, la voler. Ils s'étaient d'ailleurs mis d'accord. Elle ferait la jeune fille sérieuse qui distribuerait des tracts, et lui, derrière, piquerait le sac de la grand-mère. Certes, elle allait évidemment s'en rendre compte, mais il n'aurait qu'à attraper rapidement le porte-feuille ou de l'argent liquide à l'intérieur. Tout ça à cause de cette peluche. Elle ne coûtait rien. A peine vingt euros. Et ils étaient obligés d'en venir aux mains. Qui sait, peut-être qu'ils avaient eu besoin de violence, ce jour-là ? Alors que le jeune homme tentait de se re-mémoriser tout ce qu'il s'était passé il y a à peine une heure, la porte du bureau où s'étaient enfermés les deux policiers qui les avaient attrapés s'ouvrit. Une petite brise se fit sentir, alors que toutes les fenêtres étaient fermées. Peut-être était-ce plutôt la brise de l'angoisse, de la peur. Caden exécuta un dernier geste, juste un, et souffla à l'oreille d'Alice.
« Alice. Qu'est-ce qu'on va leur dire ? »
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MessageSujet: Re: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyVen 4 Jan - 18:52

Jaïna Steadworthy

Jaïna Steadworthy

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Si dans le passé on m'aurait dit que j'allais aller dans un commissariat, je n'y aurais pas cru. Pourtant c'est ce qui arriva. Cette journée, il faisait ni chaud, ni froid, il ne pleuvait pas, il ne neigeait pas. Une journée tiède et nuageuse, une journée typique que celle que j'aime, jamais je n'aurais du aller en ville aujourd'hui aussi, jamais je n'aurais du voir Caden : jeune garçon avec qui je m'entends bien, il est très gentil. Si je ne lui avait pas proposer de venir avec moi se promener en ville pour faire du lèche vitrine, on ne serait pas là en cette heure.
Il faisait froid dans le commissariat, et cette ambiance oppressante me déplaisais, un policier tapait sur son clavier, je ne savais pas vraiment quel cas il traitait, peut être le nôtre ou peut être pas, je ne sais pas vraiment en faîtes, peut être que les deux flics qui nous avaient attrapé lui avait transmis les information et que lui ce policier a l'uniforme bleu nous faisait notre casier judiciaire. Je tremblais légèrement sûrement de froid, et de peur. Qu'allait-il nous arriver? Et si il prévenait le pensionnat et qu'on était viré, je n'avais plus de famille et pour rien au monde je ne veux revenir dans un orphelinat. Et le pauvre Caden, après tout c'était à cause de moi, oui c'était moi qui avait sauté devant cette vitrine, c'était moi qui l'avait poussé à trouver cette idée insensée qui nous avait conduit là. En même temps l'ours en peluche avec des petits noeuds rose était tellement mignon que je n'ai pu résisté, j'aurais du l'écouter, et on n'en serais pas venus là. Comme aucun de nous deux avait de l'argent sur lui Caden trouva une solution solution certe elle était bête mais il l'avait fait pour moi... Je m'en veux tellement, tout ça c'est à cause de moi, je culpabiliserais un bon bout de temps si on s'en sors pas...
Volé une petite mamie sans défense, j'avais le rôle de faire la fille qui vends des tracts et lui devait volait le porte-monnaie ou le porte feuille de la vielle dame... Mais ça n'avait pas vraiment marché, tout ça pour une peluche surtout que j'en ai déjà une bonne dizaine sur mon lit, les deux policiers nous ont attrapés et maintenant nous voilà dans cette pièce silencieuse, les murs étaient gris bêtonneux, mais le pire c'était bien le silence, j'aurais bien voulus cassait ce blanc mais je n'osais rien dire de peur d'attirée l'attention du policier au crâne rasé qui tapait à toute allure sur le clavier du gros ordinateur fixe..
J'étais assis à côté de Caden, sur le banc blanc, il y avait du vent. D'ailleurs il venait d'où? Je ne saurais le dire... Ce qu'on avait fait été grave, très grave, et donc il faudrait assumé, mais arriverais-je au moins a assumé. Aussi, il faudrait que je m'excuse auprès de Caden... Des larmes perlaient au coin de mes yeux, il faut que je m'empêche de pleurer je ne suis plus une gamine qui a à peine huit ans j'ai seize ans et il ne faut pas que je pleure! Mais je ne réussi pas à m'empêcher de pleurer, les larmes coulaient sur mes joues comme de la pluie, mais cette fois c'était de véritable larme. Caden me souffla à l'oreille quelque chose, j'espérais de tout coeur qu'il n'avait pas vu que je pleurais... Il lâcha en un souffle.

« Alice. Qu'est-ce qu'on va leur dire ? »
Bonne question, qu'est-ce qu'on vas leur dire... A vrai dire je n'en sais rien. J’essuyai d'un revers de manche mes larmes et tenta de me reprendre. Je le regarda les joues rougis par la honte ou la colère ,qui m'abritait, j'étais en colère contre moi même et honteuse d'être ici et en plus être avec Caden, il n'aurait jamais dû céder... Je répondis, essayant d'être sûre de moi, même si je ne l'avais jamais été, ni là ni avant.
« Il faut que tu leur disent que c'est entièrement de ma faute, que c'est moi qui est eu l'idée, ça en vrai c'est de ma faute...Caden, je suis vraiment désolée. »







683 mots...


Dernière édition par Alice Emitsu le Sam 5 Jan - 15:42, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyVen 4 Jan - 20:39

Invité
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J'étais tranquille dans ma jolie infirmerie, bien au chaud. Bon c'est vrai je m'embêtais grandement, mais soudain le téléphone sonna, il m'enlevait de mes penser. Je rêvais d'ile paradisiaque avec une mer bleue turquoise « Ah le rêve ! » Le téléphone brisa ce doux rêve, je répondais d'une voix froide comme toujours.

« Infirmière De Massari a l'appareil »

« Gendarmerie, nous avons deux pensionnaire de votre établissement pouvais vous venir les chercher et payait leurs cautions. »

Hein ! Pourquoi c'est moi qui devais aller les chercher, je soupirai, « C'est vrai que le directeur n'est pas la » Je pris un style et une feuille, pour noter l'adresse du commissariat. Je notais l'adresse, l'autre bout de la ville, quartier des commerce. Je pris ma veste et je partis chercher les petits diables, je ne savais pas ce qu'ils avaient fait au juste, mais tant pis je devais aller les chercher. Je sortie de la douceur et de la chaleur de mon infirmerie, pour me retrouver dans la froideur. « Il ne fait pas aussi froid que cela » Je marchais dans les rues de la ville. Mais avant, je passais au distributeur automatique pour retirer de l'argent pour libère ses diable de l'enfer. J'étais arrivé devant ce commissariat, un peu sinistre il me fessait penser à celui que j'avais fréquenté quand Eric me frappait. Je me dirigeais vers l'accueille pour demander ou était les deux élève. La dame ressembler à une gardienne de prison qu'ont voyaient dans les films.

« Bonjour je viens payer la caution de Caden Minagawa et de Alice Emitsu »

« Ah les deux voleurs de vielles dames ! »


« Hein, ils ont volé une vielle dame ? »

J'étais un peu choqué « Non mais ils ont quel âge 15/16 ans je crois, des délinquants à leur âge », je sortie de la monnaie pour payer la caution des jeunes prisonniers, puis je regardais la dame, « Mais c'est un gouffre, j'ai usés tout l'argent que j'ai retiré » Soupire, c'est ce que je fessais.

« Ils sont en salle d'interrogatoire, le chef va leur faire un peu peur pour qu'il évite de recommencer. Ils ont de la chance que cette grand-mère n'est pas porté plainte. »


« Les interrogé comme des criminelles, ne serait-ce pas un peu trop ? »


« Chez nous c'est comme ça qu'on fait, si vous n'ete pas contente, faillais bien éduqué vos gosse »

« Mes gosses ? Bien les éduqué ? Attend, mais elle va se calmait cette policière de mes deux » C'était pas mes gosse, j'étais juste leur infirmière, je la regardais avec noirceur et froideur. « Pour qui se prenais t-elle ». Je préfère ne rien dire face à la policière, je ne veux pas me retrouver à mon tour en garde à vus et puis moi je ne savais pas qui payerait ma caution. Puis je me dirigeais vers la porte de la salle d'interrogatoire et je puis je m'assieds et pris un bouquin en attendant que le chef de brigade est fini son petit jeu. Que je n'aimais pas du tout, les jeux des policier étaient vraiment vicieux.


Hors RP : J'ai utiliser la couleur black pour interprété les policiers.
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MessageSujet: Re: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyDim 6 Jan - 11:40

Caden Minagawa

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Les paroles d'Alice résonnèrent beaucoup trop faux dans la tête de Caden. Lui ? Dire qu'il n'y était pour rien ? Il savait que c'était faux, et elle le savait aussi. Alors pourquoi raconter des mensonges ? Cela ne ferait qu'aggraver leur cas, supposait-il. Il valait peut-être mieux attendre qu'on leur dise quelque chose avant de se ruer sur les policiers afin de défendre leur propre cause. Malgré cela, le jeune homme ne put s'empêcher de se mettre à réfléchir à ce qui allait se passer ensuite. C'était impossible d'expliquer de but en blanc «Nous avons volé une innocente grand-mère pour acheter un ours en peluche avec des noeuds roses sur la tête.». Ça n'avait pourtant pas eu l'air égoïste un instant, lorsqu'ils avaient manigancé leur plan machiavélique afin de soutirer de l'argent à cette pauvre vieille femme. Mais là, lorsqu'il y repensait, il avait vraiment honte de ce qu'il venait de faire. Jamais il n'avait eu aussi honte de sa vie. Et il n'était pas au bout de ses surprises, car, finalement, il ne se rendait pas encore compte de tout. Les deux policiers étaient juste devant eux, et continuaient à discuter, toujours à voix basse. Tournant légèrement la tête, Caden s'aperçut que l'homme assis derrière le bureau en bois était parti à la machine à café. Ce n'était pas que cela le préoccupait tellement, mais il aimait ce genre de détails qui pouvaient considérablement changer le cours des choses. Mais, franchement, dans un moment pareil, ce n'était pas quelque chose qui devrait attirer son attention. Surtout qu'un café ne pourrait jamais les aider à sortir d'ici sans amende ni rien d'autres. Est-ce qu'ils avaient appelé le pensionnat ? Le Directeur allait venir ? Ils allaient être renvoyés ? Ce scénario tourna une bonne dizaine de fois à l'intérieur du crâne du garçon, qui aurait pensé qu'il allait exploser, lorsqu'enfin un policier prit la parole. «Eh, petits garnements. Regardez-moi lorsque je vous parle.» Caden leva les yeux, se sentant horriblement inférieur face à deux tas de muscles et d'intelligence qu'étaient les policiers. Ses lèvres sèches auraient voulu s'ouvrir, sa voix aurait voulu parler, dire quelque chose, mais les remords qu'il avait étaient beaucoup plus forts que tout cela réunis. «Nous avons appelé le Directeur de votre lycée, il va vous venir vous...» Son sang se glaça lorsque le mot "le Directeur" fut prononcé. Ils allaient être renvoyés. C'était clair et net. Il l'avait vu venir depuis longtemps. Mort de honte, le garçon baissa le regard sur le sol, à ses pieds, sans vouloir détourner le regard sur Alice, ne voulant surtout pas la troubler ou quoi que ce soit. Il se demanda si elle avait aussi peur que lui. Des pas se firent entendre, et une voix coupa le policier. «Attendez ! Nous avons appelé le lycée de ces jeunes gens, et nous n'avons pu tomber que sur une infirmière. Elle vient payer la caution, m'a-t-elle dit. L'infirmière... De Massari.» Il se tourna instinctivement vers la jeune fille à côté de lui, et sourit. Oh. Caden n'en était pas sûr, mais elle semblait avoir pleuré, car des larmes sèches collaient à son visage. Alice avait sûrement eu encore plus peur que lui. Elle venait d'arriver, c'était normal d'être terriblement hors d'elle si elle s'était faite virée du pensionnat. Mais si c'était une infirmière sympathique, ils arriveraient peut-être à la convaincre de ne rien raconter. De Massari. Le jeune homme n'en avait jamais entendu parler. Une nouvelle infirmière, sans doute. Ses bras crispés se détendirent légèrement, mais se raidirent lorsque le policier reprit la parole. «Néanmoins, un autre policier a fouillé vos casiers judiciaires. Il n'y a rien, heureusement pour vous. Autrement, nous n'aurions pas accepté la caution de cette jeune femme venant vous chercher.» Les gros yeux de ce policier faisaient terriblement peur. Même Caden ne semblait pas rassuré, et, lorsqu'il se baissa à la hauteur où les deux adolescents se trouvaient, il n'en fut pas plus consolé. La voix rauque de l'homme se fit plus basse, comme s'il leur faisait une confidence ou leur annonçait quelque chose. «Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait, les gosses... ? A votre âge. Vous vous en rendez compte ?!» Il avait élevé la voix si fort à sa dernière phrase que le garçon crut qu'il allait tomber sur le sol froid. Ne pouvant regarder nul part, il décida de se tourner à nouveau vers Alice, pour essayer de percevoir sa vision des choses. Rien n'était sorti de sa bouche jusque là. Et rien n'arrivait à sortir de celle de Caden. Le policier se redressa en poussant un long et fort soupir. «Bon. Les gars. On va chercher la sauveuse de ces pauvres enfants aux mines si tristes. On l'a déjà fait attendre beaucoup trop de temps.» L'infirmière était déjà là ? Le jeune homme esquissa un petit sourire à l'attention d'Alice, comme pour la rassurer et lui dire qu'à partir de maintenant, tout allait bien se passer. Et même s'il aurait réellement voulu raconter que lui n'y était pour rien dans l'affaire, il n'aurait même pas eu le courage de placer un seul mot au milieu de tout ça. Les deux policiers repartirent au fond de la pièce, et, derrière eux, la porte se referma en un bruit sec. Ils allaient sûrement chercher cette infirmière De Massari. Espérons qu'elle était gentille.
«Alice ! Je crois qu'on vient d'échapper à un truc auquel on ne se rend même pas compte.», souffla-t-il après quelques instants de silence.
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MessageSujet: Re: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyDim 6 Jan - 12:47

Jaïna Steadworthy

Jaïna Steadworthy

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Caden ne disait rien, ce qui m'inquiétait encore plus, le silence, le silence, et encore le silence, mon coeur battait plus vite que jamais, j'étais terrorisé, quand je pense qu'on a fait ça pour un ours en peluche, je cru un instant que j'allai mourir de honte. Les policiers les regardaient d'un œil sévère, je suis sure d'ailleurs que si on avait été leur gosses on se serait pris une raclée, dont on se souviendrait sûrement... Mais heureusement pour nous ce n'était pas le cas. J’essayais de ne pas penser à ce qui allait nous arriver, j'avais très peur d'être renvoyer, peut être que pour un vol comme celui ci ce n'allait pas être si grave que ça mais mon cerveau repassé en boucle la scène qui pourrait arrivé. Je serrais mes doigts accrochés au banc blanc et regardait par terre, évitant le regards des policiers. C'est derniers discutés, leur voix était grave et il y avait une pointe de mépris. Ils chuchotaient presque et je ne pus comprendre pas un seul de leur mots. Le policier se trouvant juste à côté de l'autre homme à l'uniforme, soupira et alla chercher un café en leur lançant des éclairs, ce qui me fis frissonnais. Je le suivis des yeux tout en réfléchissant ce qui allait nous arriver, dès mes premiers jours se faire expulsés... Je luttais pour oublier, mais en veine. Le policier qui était partit quelques secondes plus tôt revint un café à la main avec une pièce de monnaie. Je sentis le regards de l'autre flics sur moi, il dit d'une voix tout aussi grave que la précédente quand il parlait avec l'homme au café, le surnom que j'avais donné au policier qui avait été chercher un café, ce qui me permettait de les différencier même si ceci ne servait pas à grand chose.
«Eh, petits garnements. Regardez-moi lorsque je vous parle.»
Je leva les yeux complétement intimidée n'osant dire un mot, comme si que ça allait causé ma mort, chose absurde mais terrifiante. De toute façon quoi dire? Si je disais quelque chose qu'il prenait mal notre situation serait encore pire, et là on risquerait encore plus le renvoient... Car les policiers pouvaient dire au directeur qu'on leur avait manquait de respect... Je les regardais tel des assassins qui allaient nous tués dès qu'on seras presque mort de peur. L'autre enchaîna.
«Nous avons appelé le Directeur de votre lycée, il va venir vous...»
Venir quoi? Le directeur? Je suppliai intérieurement qu'il ne nous renvoie pas, oh pourquoi avait-on fait ça? Jamais je n'aurais du poussé Caden à trouvé cette stupide idée, par ma faute on allait se faire renvoyés... Je regardais maintenant le policiers qui venait de dire ça avec, presque, un regard suppliant. De leur côtés eux ils devaient bien se marrait.... J'hésitais à regard Caden pour m'excusais, mais des excuse ne suffiraient sûrement pas. Des bruits de pas rapide approchèrent et une voix un peu plus aiguë coupa celle du policier.
«Attendez ! Nous avons appelé le lycée de ces jeunes gens, et nous n'avons pu tomber que sur une infirmière. Elle vient payer la caution, m'a-t-elle dit. L'infirmière... De Massari.»
Je soupira, soulagés, peut être que on pourrait la convaincre de ne rien dire, peut être que cette infirmière pourrait nous évitait des embrouilles supplémentaires? Caden me regarda, avec un fin sourire dessinait sur son visage, je le regarda tristement avant de portait mon regard sur les deux aux vestes bleu, je passais du visage à celui au café puis à l'autre, et à celui qui venait de dire la nouvelle qui allait peut être nous sauvé, et l'inverse.
«Néanmoins, un autre policier a fouillé vos casiers judiciaires. Il n'y a rien, heureusement pour vous. Autrement, nous n'aurions pas accepté la caution de cette jeune femme venant vous chercher.»
Combien de policiers avaient été prévenus de ce vol de grand mère? Il y en avait bien une dizaine ou quoi? Je ne perdais pas une miette de ce qu'ils disaient, une infirmière, je ne connaissais presque personne et donc ce nom : De Massari ne me dit rien. Le policier se baissa à leur hauteur et dit d'une voix toujours aussi sévère.
«Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait, les gosses... ? A votre âge. Vous vous en rendez compte ?!»
J'arrêta presque de respirais, j'avais l'impression qu'il avait crié la derniers phrase mais, ceci n'était que le fruit de mon imagination, même si se n'aurait pas été étonnant qu'il le fasse. Caden tourna à nouveau son visage vers le miens qui était pâle, lui aussi semblait avoir très peur. Je le regardai sans rien dire. L'homme à la voix rauque se redressa et lâcha un soupire.
«Bon. Les gars. On va chercher la sauveuse de ces pauvres enfants aux mines si tristes. On l'a déjà fait attendre beaucoup trop de temps.»
Oh, elle était déjà là l'infirmière De Massari, j'avais un peu peur de voir son visage aussi sévère, que celui des policiers... Un policier partit et alla sûrement la cherchai pendant que le policier au café buvait tranquillement le liquide noir. Caden souffla doucement.
«Alice ! Je crois qu'on vient d'échapper à un truc auquel on ne se rend même pas compte.»
J'hochai lentement la tête et lui adressa un demi sourire.
Deux minutes plus tard, l'infirmière était là, elle était belle, du moins je trouve. Un serpent était sur son bras, un grand et long tatouage, je la détailla sans faire aucun bruit, de la colère avait marqué son visage, les policiers la regardait. Elle avait de beau yeux doré-vert. C'était une très belle femme. L'infirmière De Massari nous regarda, je baissa immédiatement le regard. Et lacha en chuchotent.

"Oui, espérons..."

936 mots...
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MessageSujet: Re: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyDim 6 Jan - 14:35

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J'en avais un peu marre d'attendre, les minutes passaient, les unes après les autres. Jusqu'aux moments ou un policier sorte de la salle, il me regarda fixement, je me levais pour le saluer. « Il est grand ce mec pire qu'une armoire à glace. ». Je baissais la tête en signe d'excuse, comme il était conforme au Japon.

« Je suis désolé pour ce qu'on fait les enfants, je payerais les dommages et les intérêts que la dame demande. »

Je ne regardais pas le policier, je gardais la tête baisser, il était vraiment très grand et moi je paraissais si petite face à lui. Je regardais le sol, pendant que lui me regardais fixement avec des yeux aussi glacial que les miens quand je suis de mauvaise humeur, heureusement aujourd'hui j'étais de bonne humeur, enfin presque.

« Redressais vous, ce n'est rien. La dame n'a rien dit, elle n'a pas porté plainte. Il faudra juste lui remboursé son sac à main. En tout cas redressé vous. »

J'allais vraiment être ruiné, j'ai payé leurs cautions et maintenant je dois remboursé un sac à main d'une vielle dame, je soupirais un instant. En sortant le dernier billet que j'avais « Au moins la vielle dame sera contente, par contre mon banquier moins ». Je révélais la tête et je m'aperçu que le policier avait déjà pris son café et était déjà retourné dans la salle avec les deux pensionnaires. « Ce mois si va être dur Maria, tu vas devoir faire des économies » J'attendis encore quelque minute avant que les deux policiers ne sorte, cette fois j'avais deux baraque devant moi, même deux immeubles.

« Madame De Massari celle qui doit ramener ses voyou ? »

Quelle voix glaciale, ça se voyait que c'était le chef des interrogatoire, même a mis il me fessait peur, j'en frissonnais. « Courage, il ne va pas te manger et puis je pense qu'il a déjà manger les deux gosse » je le regardais, je ne montrais aucune expression face à lui.

« Vous pouvez reprendre les deux voyous, mais donnez leur une bonne leçon pour ne pas que cela se reproduises à l'avenir. Que je ne les revoie pas ici de ci-tôt, ou cette fois ça sera leurs parents que j'appelais »

« Chef vous y allez un peu fort. Cette infirmière n'y est pour rien. »

« Tu à raison pardonner-moi, on est un peu à cran en ce moment, bon vous pouvais les reprendre. »

Les deux policiers partaient, en tout cas celui qui m'avait parlé aussi froidement me fessait peur, juste au son de la voix, je soupirais une nouvelle fois, mais la c'est un soupire d'apaisement, car les deux armoires à glace sois partie, je me dirigeais vers la porte pour aller chercher les deux petits pensionnaires ou les jeunes bandits, « Pas le temps pour des jeux de mots, prend les, ramène les, fait leurs passés un savon et surtout sort de ce commissariat. ». Je rentrais dans la pièce, en regardants les deux petits voyous qui me fessait dos, ils avaient l'air apeuré. « Je pense que le savon n'est plus de rigueur »

« Vous venez on rentre au pensionnat. Ah moins que vous vouliez dormir ici, je peux demander aux inspecteurs de vous accorder cette faveur »

J'avais dit cela pour les faire bouger, pour détendre l'atmosphère, j'avais tout de même laissé ma voix qui d'habitude est glacial au vestiaire, cette fois c'était une voix chaleureuse qui parlait aux deux jeunes élèves. « Je pense que je vais être gentille avec eux, vu les deux inspecteurs qu'ils avaient eus ça sera la moindre des choses. »

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HORS RP = les phrases en noire et qui son en gras c'est le policier qui es rester avec vous tout l’interrogatoire, les autres c'est le policier au café.
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MessageSujet: Re: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyLun 7 Jan - 19:06

Caden Minagawa

Caden Minagawa

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Un tatouage. Elle avait un énorme tatouage sur le bras. En forme de serpent. Caden trouvait les tatouages horribles. Alors ce ne fut pas sans s'étonner qu'il fronça les sourcils lorsqu'il remarqua cette jeune femme parmi les policiers. C'était... L'infirmière ? Qui cela pouvait-il être d'autre, en y réfléchissant ? Oui, ce devait être elle. Le garçon l'observa de la tête aux pieds, la mine renfrognée, laissant sa honte derrière lui pour faire place à une certaine colère. De la colère ? Simplement à cause d'un tatouage, d'une mauvaise première impression ? Avec lui, c'était sûrement possible, mais vraiment trop exagéré pour certaines personnes. Il faillit lâcher un gros soupir, mais détourna simplement son regard sur Alice, pour voir comment est-ce qu'elle réagissait jusque là. Juste intimidée. Un petit sourire en coin, il tourna la tête, ayant entendu une voix douce et chaleureuse. C'était une voix qu'il aurait voulu suivre, toujours, toujours. Elle était avenante et elle rassurait. C'était bien l'infirmière. Elle leur avait parlé. « Vous venez on rentre au pensionnat. Ah moins que vous vouliez dormir ici, je peux demander aux inspecteurs de vous accorder cette faveur ». Caden ne put s'empêcher de ricaner face à cette remarque. Alors, c'était effectivement l'infirmière qu'ils avaient devant eux. Et pourtant, la seule sympathie qu'il éprouva pour elle fut qu'elle ne leur passe pas de savon et ne prévienne personne. Ou du moins, jusqu'à preuve du contraire. Ses jambes étaient restées si longtemps sans bouger qu'elles en devenaient engourdies, et bouger tout de suite aurait presque été impossible. Rentrer au pensionnat ? Et les élèves, étaient-ils au courant de tout cela, finalement ? Il n'y avait qu'eux dans la pièce. Tous les policiers étaient sortis se boire un café ou travailler dans leurs bureaux respectifs. Qu'est-ce qu'ils attendaient, alors ? S'ils avaient le droit de partir, qu'ils le fassent, sans réfléchir. Caden aurait tout donné, rien que pour sortir d'ici. Il faisait tellement sombre et froid. Et ce vent, il était toujours là. Aucune trace de fenêtre ouverte non plus. Mais cette brise était devenue un peu plus chaude, à tout bien y penser. Le jeune homme se leva, les mains dans les poches, l'air décidé. Quittes à perdre un petit peu de temps, pourquoi pas ? Finalement, s'ils rentraient au pensionnat dès maintenant, personne ne se serait encore rendue compte de l'absence de deux autres élèves. Mais s'ils les faisaient s'inquiéter, languir, attendre, rien qu'un quart d'heure de plus. Leurs amis commenceraient sans doute à se demander ce qu'ils fabriquaient. Et là, tac. Ils se mettraient en route pour le chemin du retour, et la moitié des élèves du pensionnat leur demanderaient à chacun ce qu'ils avaient fait. A ce moment-là, il pourrait bien se vanter d'avoir été enfermé dans un commissariat de police. Oh, et en rajouter un peu pour pimenter le tout, bien sûr. Avec des dizaines de gardes et leurs fusils de chasse, l'obscurité totale de la pièce, des petites bougies en guise de lumière. Et tout le monde le féliciterait, car il dirait qu'il avait réussi à s'échapper, avec Alice.
Vivement, Caden secoua la tête de gauche à droite. Pourquoi est-ce qu'il ferait ça ? Il fallait vraiment s'enlever toutes ces mauvaises idées, ça ne lui ressemblait pas du tout. Son regard était maintenant fixé à l'intérieur de celui de la jeune femme qui se disait être l'infirmière. Par déduction, il supposa qu'elle avait déjà payé leur caution et qu'il ne restait plus qu'à rentrer au pensionnat. Ce n'était donc pas si horrible que cela de se faire attraper sur le fait lorsqu'on avait l'intention de voler une vieille femme sans défense. Il y repensa, à celle-ci. Où était-elle ? Etait-ce important de s'excuser ? Aussi loin qu'il s'en rappelait, on avait toujours appris au jeune homme de demander le pardon à quelqu'un lorsqu'on lui avait fait du tort ou du mal. Et c'était bien ce qu'il venait de se passer, n'est-ce pas ? N'est-ce pas. Le doré des yeux de cette femme déstabilisait un chouïa le pauvre Caden, qui ne savait plus du tout quoi dire. Il s'était lancé, il ne fallait pas qu'il s'arrête en chemin. Debout devant elle, il continua à la scruter, de toute part. Elle devait sûrement se sentir étrangement observée, mais c'était comme ça avec lui. Lorsqu'il avait bien analysé la situation, il savait toujours quoi dire. Sur le ton de la moquerie, il chantonna en penchant la tête de gauche à droite.
«Comme ça, vous êtes notre sauveuse, De Massari. Une infirmière.»
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MessageSujet: Re: « Toute action dépend de la situation. »   « Toute action dépend de la situation. » EmptyMar 8 Jan - 12:12

Jaïna Steadworthy

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Je ne disais toujours rien, et Caden non plus. Le silence était totale, les policiers qui s'impatientait partir du commissariat nous laissant seule avec cette personne, elle avait un énorme tatouage ce qui me surpris. Je n'avais pas vraiment l'habitude de voir un serpent faisant tout le long du bras de la personne. L'infirmière avait l'air plutôt froide, mais gentille. Après tout elle avait accepté de venir payé notre caution, alors que ce n'était pas à elle de le faire. Oui. Je pense qu'elle devait être plutôt gentille. Je regarda vaguement Caden puis finir par regarder mes mains. J'avais terriblement envie de me lever et me mettre à courir, pour partir de cette pièce sans couleur, sans fenêtre. Mais je ne pouvais pas trop le faire. La dame De Massari dit d'une voix, qu'elle avait dû vouloir "chaleureuse". Ce fut réussi mais on sentait de l'impatience.
« Vous venez on rentre au pensionnat. Ah moins que vous vouliez dormir ici, je peux demander aux inspecteurs de vous accorder cette faveur »
Je réfléchis un court instant à ce qui fallait répondre, mais aucune phrase ne me vînt à l'esprit. La blague n'était pas super, je n'appréciais pas vraiment ce genre de blague, l'humour noir ça n'allait pas du tout avec ma façon de pensée. Et encore moins quand on est dans une situation pas très cool....Caden avait l'esprit pensif, il ne disait rien mais regarder l'infirmière qui avait eu la gentillesse de venir nous libérer de cette prison au sens propre et figuré. J'essaya de sourire pour la remercier mais en vin, l'envie de sourire s'était dissipé, envolé... Je pensais bien ce que pourrait dire le directeur si il apprenait ça. Aussi, l'infirmière devait être contente finalement de s'être déplacé car elle pourrait être favorisé. Sauf si elle ne le disait pas, ce qui ,nous arrangerait bien mais elle y perdait.
J'avais envie de partir au plus vite, je ne savais même plus où était la porte, c'était tellement grand enfin d'après ce que je voyais. Mon esprit, devait sûrement en ajoutais un peu, la peur m'avait tellement hantait pendant cette demi heure ou peut être plus ou moins. En tout cas, il faut absolument que je parte, une minute de plus dans cet endroit non accueillant et la crise cardiaque m'attendais. Je me leva, et dit sans aucun ton.
" Sa vous gênerais qu'on parte d'ici?"
Une boule au ventre, j’appréhendais la réponse comme si que l'infirmière était en faîtes une complice des flicks et qu'elle n'était là que pour nous faire croire à un espoir, pourtant ces pensée était bien bête. Je secoua la tête, attendant une réponse. Je regarda Caden, puis De Massari. Je les regarda fixement. Et pensa, je suis vraiment idiote... Penser que nous allions rester bloqué ici jusqu'à la nuit des temps était bête. Très bête. Mes professeurs disant que je suis mature, et bien je ne pense pas...
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