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| Cube x Cursed x Curioous [PV : Lou.] | |
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Sujet: Cube x Cursed x Curioous [PV : Lou.] Sam 6 Oct - 16:03 | |
| Invité '' La curiosité est mère de tout les vices. '' '' J'aurais du continuer à dormir.. '' Ah. Les jours passent et se ressemblent. Parfois, certaines surprises peuvent pimenter le quotidien, d'autres fois, la routine s'installe durablement dans le ménage ou la vie d'une personne. Ces gens là se demandent comment changer leur vie pour qu'elle viennent un brin plus palpitant que celle du voisin. Et puis, y a des gens qui aiment que leur vie soit rodé comme une horloge, quitte à exécuter les mêmes actions tout les jours. Après, on aime ou on aime pas, mais chacun son style de vie, après tout. Mais vouloir mettre trop de piment dans sa vie, c'est prendre des risques souvent pour rien et inconsidéré. Personne ne sait ce que nous réserve l'avenir, alors tout bougé sur un coup de tête, ça peut devenir dramatique, comme cela peut devenir quelque chose dont on a toujours rêvé. Tout dépend de comment on s'y prend. Il suffit de se lancer parfois..
Assis sur une chaise, un homme se réveilla d'un sommeil qui semblait tellement profond que malgré le brouhaha qui était à porté de ses oreilles, il avait réussi à trouver le sommeil au plus profond de lui. Après avoir compris qu'il était de retour sur le plancher des vaches et donc, la vie réelle, il étira lentement ses bras pour venir étouffer un bâillement avec sa main. Le pauvre n'avait pas dormi pendant plus de deux jours, en raison de certains problèmes qui le tourmentaient. A commencer par les incessantes disputes avec son ex-compagne de chambre. Était-ce un acharnement ? Allez savoir, mais depuis peu, il ne pouvait plus dormir en sa présence. C'est comme si son corps refusait de s'endormir quand elle était dans la même pièce que lui. Qui plus est, le divorce avec son ex-femme lui posait des problèmes, car elle réclamait plus d'argent qu'il n'en avait/gagné. Une ribambelle de problèmes donc, comme on n'en fait plus à l'heure actuelle. La situation n'était guère fabuleuse pour le professeur de sport qui, en repensant à tout ses événements, venait de se lever pour ouvrir la porte de la classe et sortir de celle-ci, tout en baillant. Plusieurs élèves furent légèrement surpris mais aucun ne posa des questions sur le pourquoi du comment.
Soudainement, alors qu'il pensait avoir fini sa journée, vu l'heure, il fut appelé d'urgence par le proviseur de l'établissement. Le Russe poussa un léger soupir avant de prendre la direction de son supérieur. Généralement, cela ne présageait rien de bon. Était-il au courant du fait qu'il avait dormi dans une salle de classe ? Allez savoir. Quand il arriva dans le bureau du proviseur, celui-ci semblait plutôt inquiet, plus qu'autre chose. :
« Mr Marchenovitch, j'ai lu votre CV et je n'irai par quatre chemins : J'ai besoin de vous pour que vous assuriez le cours d'histoire pendant deux semaines, en l'absence du professeur habituel. Si vous le faites, je fermerai les yeux sur le fait que vous utilisez les classes vides pour vos '' besoins ''. » L'enflure.. Il venait de piéger notre russe. Celui-ci fit la grimace. Il est vrai que sur son CV, c'était noté que Lovren avait participé à la Guerre Russo-Nippone et que ses '' informations '' sur l'histoire mondiale étaient conséquentes. Mais dans un sens, quelle plaie de faire ce boulot. L'homme était professeur de sport et pas historien changé en professeur d'histoire-Géographie. De toute manière, il ne pouvait pas repousser l'offre de son supérieur. Il hocha la tête en grinçant des dents, notant les informations sur les classes qu'on lui attribuer et sur le programme de ses deux semaines. Aussitôt, on lui remit son emploi du temps. Une fois que tout cela fût passé, Lovren fermât la porte dans un claquement sourd et poussa un léger grognement en dévalant les escaliers pour retourner vers sa chambre. A l'heure actuelle, il avait peine à croire que pendant deux semaines, il allait devoir expliquer ce qu'il s'est passé dans le monde lors du dernier siècle.
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Le lendemain, sa première heure de cours allait débuter. De ce qu'il voyait sur sa liste, il connaissait la plupart de ses élèves. Heureusement, comme ça, on passera les présentations inutiles et ça sera plus simple pour tout le monde. Lorsque son réveil sonna, il donna un coup du revers de sa main pour l'envoyer contre le mur en grommelant. Encore une nuit à passé dans la cabane abandonné de l'établissement. C'était un cabanon où il n'y avait qu'un matelas pourri sur un sommier qui tomberait tôt ou tard à force. Malheureusement, ce cabanon est pour l'instant, son seul moyen de dormir un temps soit peu. Quoiqu'il en soit, l'homme prépara soigneusement ses affaires pour ne pas être pris pour un bouffon, une fois en classe. Oubliant sa tenue de '' sportif '', il enfila une chemise rayé par des colonnes noirs. Une fois son '' cartable '' en main, il prit la direction de sa salle de classe pour s'y installer avant que les élèves n'arrivent. Au même moment que son soupir s'échappa de ses lèvres, la première vague d'élèves arrivèrent, surpris et plutôt anxieux de voir le professeur dans cette classe. Puis ce fut le tour de la seconde vague et enfin, de la dernière. Une fois que tous furent installés, un peu perplexe par ce qu'il se passé, il prit la parole :
« Ouais je sais. Pour vous, comme pour moi, c'pas la joie d'être là. J'suis pas doué pour faire des cours d'histoire, mais ce pu.. votre proviseur à voulu que le soit en l'absence de l'autre vieille. Donc, vous me connaissez et moi aussi au final, pas de besoin de présentation. Des remarques ? »
De ses yeux légèrement cuivres/rouges, il fixa la salle du regard, regard qui imposait le respect mais qui trahissait une certaine lassitude quand à l'avenir de ses deux prochaines semaines. Il poussa un soupir sous le silence, fouillant dans ses affaires pour ouvrir son cahier avant de s'avancer vers le tableau et de poser son dos dessus. :
« La Guerre des voisins. Qui en attendu parler ? Personne ? Bien. La Guerre des voisins est le nom donné à la guerre qui a opposé la Russie aux forces Japonaises. Cette guerre à duré 4-5 ans. On peut l'assimiler à une guerre froide, puisqu'aucun des deux pays n'avait, officiellement, ouvert le feu. Le nerf de cet affrontement, c'était la petite île qui abritait des ressources inestimables. Officiellement, au début de cette guerre, l'île est dans les eaux japonaises. Mais la Russie réfute cet argument et déclare une '' Guerre Froide '' au Japon. »
Il marqua une pause pour reprendre son inspiration, avant de noter '' Cobra-85 '' au tableau. Si il était encore Lieutenant, il n'aurait jamais oser dévoiler ce code si important pour l'Armée Russe. Cependant, il n'est plus en fonction et cette guerre est fini depuis plus de 7 ans maintenant. Il donna une tape de la main sur le tableau en s'asseyant sur son bureau.
« Cobra-85. Nom de code pour la première offensive sur l'île, des Russes. 05h41 du mat', l'Armée Russe lance ses bombardiers et ses croiseurs sur ce bout de terre. Les japonais répliquent par une attaque de chasseurs, mais malheureusement, la flotte Russe était en embuscade. Les premiers déstroyeurs furent opérationnels et toute l'avion Japonaise est détruite. Je fus.. Les soldats furent envoyés ensuite à la frontière chinoise pour contourner le Japon. Mais là, une embuscade conduit toute l'équipe d'un Lieutenant à se faire littéralement exploser. Seul le Lieutenant à survécu, perdant l'usage de son oeil droit, à cause d'un fragment de grenade. »
Il se stoppa, pensant en avoir trop dit. Au final, il se retourna vers ses élèves une dernière fois, murmurant d'une voix assez éteinte. :
« Des questions ? » |
| | | Sujet: Re: Cube x Cursed x Curioous [PV : Lou.] Dim 7 Oct - 16:38 | |
| Invité Chapitre second. {PV Lovren K. Marchenovitch A eu je cache mon cœur et je me refuse le bonheur. Si j'étais ce quelqu'un d'autre, pouvoir expier toutes mes fautes. Je plongerai ce monde dans le noir afin de le noyer dans mon désespoir.
« - Vous m’épuisez tous. » Une apparence mignonne, une ressemblance à une délicate poupée, un visage semblable à de la porcelaine, deux opales scintillant, des lèvres semblables à des pétales de roses, des dents d'ivoire, un sourire angélique. Douce manipulation. Douce stratégie. Dans un monde en train de pourrir autant en profiter. Qui voudrait encore d'elle ? Elle ne sait faire que du mal. Elle aime voir les autres pleurer. Elle aime tellement les voir se torturer. Sa plus grande réussite ? Avoir conduit une fille en dépression, elle s'auto-mutilait au quotidien grâce à la princesse ténébreuse. Elle ne cherche plus à comprendre le monde dans lequel elle vit. Elle est comme elle est et cela lui suffit nettement. Jamais elle ne s'arrêtera de blesser, de détruire. Si elle venait à se tromper, faire un faux pas, elle se briserait aussi facilement que l'on arrache l'herbe sur une pelouse. Plus aucun regret, elle les jette tous au feu et peint son univers d'un noir flamboyant.
Un matin, encore un autre. Noir. Sombre. Emplit de ténèbres, comme toujours. A quoi bon espérer de voir un soleil balayer un monde sans étoiles. Elle se refuse de croire que quelqu'un puisse, un jour voir au fond d'elle, une jeune fille tourmenter. Elle ne veut pas penser à cela. Un inéluctable destin. Sans jamais personne à ses côtés. Toujours seule. Toujours plus. Elle voudrait un jour, non, une seule seconde être normale. Lou ne cherche plus à sentir la chaleur d'un sourire. Elle ne veut plus de réconfort. Elle a perdu toute sa vie. Elle l'a jeté dans des marrées d'écume. Elle ne veut plus jamais changer. Elle se le promet. Elle a trop peur de cela. Peur de finir par se briser. Peur d'être une jeune fille innocente comme elle pourrait l'être. Allez, petit pion, entre dans la danse. Entre dans sa danse.
Lentement, sortant de son lit, cela faisait une semaine environ qu'elle était entrée au pensionnat. Elle commençait à s'habituer aux autres. Elle cherchait déjà sa première cible. Bien que sa première rencontre avec Eléna aurait pu être basé sur le commencement de la fin, elle avait fini par abandonné pour être aimable. Agréable ? Laissez moi rire. Lou ne peut pas l'être. Ce n'est qu'un mensonge. Ca pourrait paraître facile, simple, futile, enfantin mais non. C'est trop difficile. Trop compliquée pour cet ange déchu. Qui n'a jamais voulu tenir les ficelles du monde entre ses mains ? Pour elle, c'était une forme d'ambition. La jeune fille s'avança jusqu'à son armoire, elle sortit de cette dernière un jean foncé et un pull large beige. Elle se baissa sur l'étage inférieur et saisit sa serviette de bain ainsi que ses affaires de beauté et d'un pas délicat et lent elle pénétra les sanitaires. Posant tout ses vêtements sur une petite commode elle se dénuda vu qu'il n'y avait personne. A vrai dire, elle était assez matinale, 5h35 du matin. Le ciel était clair, par delà la vitre où de la vapeur s'installait lentement on voyait une lune lumineuse éclairant au loin un arbre ainsi qu'un manteau de neige commençant à tenir. La poupée se lavait avec un shampoing sentant la fraise et son gel douche avait le même parfum. Elle s'adossa contre l'une des parois, posant une main contre le mur, les yeux clos, elle ne ressent rien. Rien du tout. Légèrement, la jeune fille esquissa un léger sourire. Et se laissa tomber à terre, son souffle se stoppant. Elle murmura d'une légère voix, n'ayant aucune crainte étant entièrement seule. « - Si éloignée du jour, il n'y a pas de retour, aucun ange ne me verra. Le vent emporte la pluie dans son envol. Je fais semblant de sourire, mais deviendrai-je folle ? » Les gouttes d'eau s'écrasaient sur la peau douce et délicate de la jeune fille. Elle secoua la tête négativement, prenant appuie sur un mur afin de se relever. Elle arrêta les vannes, sortant doucement elle enroula sa serviette de bain autours de sa poitrine, frissonnant légèrement. Ses yeux se baissèrent machinalement en s'avançant jusqu'au miroir. De là, elle coiffa ses longs cheveux de lapis lazuli, appliquant une lotion afin de les faire scintiller encore et encore. Lou vint ensuite au maquillage, prenant tout son temps, elle en avait encore à dire vrai. La petite poupée se mit un trait d'eye-liner et du mascara et termina cette touche de beauté par un peu de rouge à lèvre vermeille.
Après une bonne heure dans les sanitaires, la jeune fille sortit de ses derniers, caressant ses petits bras par dessus son pull large. Elle regagna sa chambre, soupirant. Toutefois, elle ne devait pas paraître faible. Sinon, son plan échouerait, alors, en relevant la tête, elle dessina sur ses fines lèvres un délicat sourire angélique. Se forçant à lâcher un bonjour ou un salut aux quelques passant qui se dirigeaient à leur tour aux douches. Saisissant la poignet de sa porte et la faisant tourner elle retourna dans cette dernière. Lou s'approcha de sa boîte à bijoux, sortant un collier long avec une horloge comme pendentif. Nouant ses cheveux en une tresse tombant sur l'une de ses épaules. La jeune fille s'approcha de son miroir et se regarda un instant. Se forçant à sourire. A quoi bon s'inventer ce magnifique sourire rayonnant si la personne qui l'offre n'est pas bien. « - Putain Lou ! T'es pas dépressive. Allez. Redresse toi petite princesse. Retourne sur ton échiquier et fait les tous tomber, un par un grâce à tes créations. » La jeune fille hocha la tête, s'installant sur son lit, elle regarda son téléphone portable, regardant l'écran, timidement. Une photo de Naomie et sa mère. A dire vrai, c'était les seules personnes qu'elle aimait réellement. Ce sont les seules filles que Lou ne veut pas détruire. Ce sont ses mamans. Celles qu'elle aime plus que tout. Certains ont déjà critiquer la vie de la jeune fille mais peu lui importe. Ce n'est que mascarade. Se cachant sous ses draps, regardant par la fenêtre les quelques flocons, perles des nuages, glisser le long du ciel, dansant timidement, tournant en rond comme des danseurs lors d'un ballet. Ce spectacle arracha un fin sourire à l'adolescente. Cette dernière se recroquevilla sur elle même, encerclant ses jambes de ses bras et déposant doucement son menton sur ses genoux. Son regard scintillant ne lâchait pas le ciel.
Aussi envoûtante qu'était la plante carnivore, aussi seule qu'elle était tout autant, Lou pouvait se comparer à cette espèce de plante. Elle sécrète un parfum attirant toutes ses proies et une fois que ces dernières sont suffisamment proche, elle referme l'étau sur les pauvres créatures s'abandonnant, se débattant comme elles peuvent et finalement, le prédateur leur assène un ultime coup fatal et de ses forces, toutes puisées, les pauvres martyrs disparaissent, emportés par le regret d'avoir succombé au charme de la sorcière envoûtante.
Lou regarda son téléphone une nouvelle fois, il était déjà sept heure et demi. Qu'avait-elle fait durant tout ce temps ? Pensée. Elle s'était évadée. Elle se leva, se mordant la lèvre inférieure et prit son flacon de parfum, s'en aspergeant timidement sur son cou, remettant légèrement du rouge à lèvre. Elle prit son sac et quitta sa chambre, prenant soin de bien la refermer derrière elle. Elle se retourna en voyant tout ce monde se diriger vers les salles de cours. « - Tous des moutons. Ils m'épuisent tous. » La jeune fille haussa les épaules. Elle avait histoire, de ce qu'elle avait pu voir de la prof ce n'était rien qu'une vieille chouette, inutile. Elle braye beaucoup, crie parfois, s’énerve facilement mais elle ne doit pas être si méchante. L'adolescente leva les yeux au ciel, regardant sa montre marron, l'heure s'affichant l’inquiéta toutefois. Elle était en retard. « - Et merde. » Pesta-t-elle. Elle chercha l’amphithéâtre du regard. Non. Pas ici. Normal. Elle était remontée au deuxième étage. Elle chercha tant bien que mal de se remémorer ce qu'on lui avait dit. Les douches, premier étage. Pareil pour la bibliothèque. Alors bon. Ca doit être ça. Soupirant une nouvelle fois, elle se mit en marche jusqu'au premier étage. De toute façon, elle n'avait rien à perdre, elle avait déjà pratiquement un quart d'heure de retard. Descendant les marches doucement, prenant tout son temps, elle envoya un message à sa mère, lui disant qu'elle l’appellerait le soir venue et qu'elle n'avait pas à s’inquiéter. Que tout se passait merveilleusement bien. Oui. Bien sûr. Plus ou moins. Moins que plus.
Enfin. Elle vit alors une grande porte. Cette porte lui apparut comme une illumination. Elle était enfin arrivée à destination. Il ne fallait plus s'inquiéter. Prenant soin de ranger son téléphone portable dans sa poche, de réajuster sa natte ainsi que son pull, elle s'humecta timidement les lèvres, souffla un grand coup et simula une nouvelle fois, comme toujours, un resplendissant sourire angélique. Elle frappa deux fois à la porte, n'entendant rien, elle l'ouvrit avec gêne. Se refusant de rougir bêtement elle s'avança, lançant un regard en direction du professeur, ne prêtant d'abord aucune attention au fait qu'il ne s'agissait pas de la femme qu'elle surnommait la chouette en temps habituel. «...Mais là, une embuscade conduit toute l'équipe d'un Lieutenant à se faire littéralement exploser. Seul le Lieutenant à survécu, perdant l'usage de son oeil droit, à cause d'un fragment de grenade. » « - Bonjour, excusez mon retard, je me suis perdue dans les dédales des couloirs. Pardonnez moi, Monsieur.. » Monsieur ? Elle fronça les sourcils en gagnant une place, admirant le jeune individu. Un nouveau prof ? S'interrogea-t-elle. Non mais non. Elle ne comprenait plus rien là. Se serait-elle trompé de cours ? Pivotant sur elle même, elle regarda le visage de ses camarades de classe, secouant négativement la tête, soupirant. Non. C'était bien ça. Ils étaient tous dans sa classe. En quoi s'était-elle trompée ? Peut importe. Sans aucune gêne, elle interromprait le cours afin d'avoir les explications dont elle avait besoin. « Des questions ? » Parfait. Il venait de lui tendre une perche, et la jeune fille allait la saisir. Qu'est ce que cela allait lui coûter ? Rien. Sauf peut être une petite honte et bien entendu le rouge écarlate lui montant aux joues. Joyeux masques innocent qu'elle s'était confectionnée. Elle se racla la gorge, levant une main afin d'interroger d'une voix délicate et mélodieuse le professeur face à elle. « - Hm.. Pour commencer, vous êtes qui ? 'fin. Elle est où la prof habituelle. Et puis.. Vous êtes sûr d'avoir les compétences pour nous enseigner l'histoire ? Parce que voilà. Vous avez absolument rien d'un prof d'histoire. Mais je peux me tromper. » Déclara la douce. Premier déplacement de pion ? Non. Pas encore. Il faudrait attendre, le jouet le plus dur à manier c'est bien les professeurs. Elle attendrait. Elle avait tout son temps. Que la partie commence. |
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