That photograph makes me think about you PV Tsabaku Rainboweug

Le soleil tapait fort en cette belle journée d'été au Japon. Pourtant la température était tout le contraire de ce que ressentait Light pour le moment, elle regardait le paysage défiler par la fenêtre de la voiture familiale qui faisait trop «regardez notre voiture on est riche!» à son goût avec un air triste. Sa sœur à ses côtés essayait de l'énerver comme d'habitude mais elle n'y portait aucune attention. (C'est dure d'écrire du sérieux pour moi :P)

La voiture s'arrêta enfin devant le grand bâtiment qui serait son nouveau toit, la pension Hina, une école réputée du Japon, là où ses parents strictes l'oubliait à rester à cause d'une crise de colère qui avait «fait honte à la famille devant des gens importants».

Light préférait de loin de Canada, mais elle n'avait vraiment pas le choix. Elle sortit de la voiture avec son sac sur les épaules qui contenait son portable et son appareil photo, Light étant passionnée de paysages n'allait pas rater l'occasion de prendre des photos! Et son ordinateur portable... il contenait toutes ses histoires qu'elle avait écrites.

«Pendant que t'est pas là c'est moi qui prend ton lit!» Dit sa sœur tout en envoyant son précieux bagage brusquement sur le sol.
«Snow! Conduit toi comme une jeune fille bien éduquée!» Répliqua madame Nekho. Elle prit le pauvre bagage sur le sol et le tendis à sa fille ainée.
«Soit sage Light!» Sa mère la prit dans ses bras un peu trop énergiquement à son goût et l'embrassa sur le front, Light rougit.
Son père ne dit rien sauf un bref : «Il faut y aller chérie»
Light détestait sa famille qui ne s'occupaient jamais d'elle, sauf quand elle fait quelque chose de mal.
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Light salua sa mère pour une dernière fois, c'était à peu près la seule qui s'emblait triste de son départ et soupira quand la voiture quitta le terrain. Et maintenant je fais quoi..? Light ce mit à prendre des photos de l'endroit qui offrait de superbes paysages quand soudain elle aperçu un petit chat blanc, la photo parfaite! Pensa-t-elle.

Le temps qu'elle ouvre son appareil le petit chat avait disparu, mais déterminée à prendre le petit chat en photo Light ce mit à sa poursuite sur le terrain qui lui était étrangé.

Light suivit le chat blanc pour le trouver en train de ce lécher la patte, trop mignon! Elle ouvrit son appareil photo puis prit sa photo.
«Une autre à ajouter à ma collection!» Light regarda la photo du petit chat blanc, tout en pensant à son amie d'enfance: Tsabaku Rainboweug... elle ne savait pas pourquoi mais cette photographie lui rappelait un paysage qu'elle avait prit photo quand elle était jeune, l'époque où Tsabaku vivait encore proche de chez elle et qu'elle lui montrait toujours ses nouvelles photos.
«Tsabaku... je me demande où tu es...» au même moment une jeune fille lui rentra dedans.

(à toi xP Et fait pas attention à ma fin botchée! C'est pas ma faute!)

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Look at this photograph
Every time I do it makes me laugh
How did our eyes get so red?
And what the hell is on Joey's head?

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Il faisait très beau aujourd’hui, la majorité des pensionnaires sortaient en ville pour pouvoir passer du temps avec leurs amis. Tsabaku avait préféré rester seule, faire un petit tour dehors puis retourner à sa couture. Le vent soufflait doucement, comme c’était agréable. Il était libre, le vent, fort et harmonieux.

-Pas comme moi, en tout cas. Pensa Tsabaku. Moi, je suis le feu.

Elle fixait les nuages avec un sourire doux, se rappelant de quelque chose. Une photo. Ce n’était peut-être pas grand-chose pour vous mais pour elle, la photographie avait pris beaucoup d’importance dans sa vie. Dans sa dixième année d’existence, elle avait rencontré une petite fille, Light. Oh, elle était une véritable artiste, ses photos étaient magnifiques. Elle avait l’impression qu’elles prenaient vie à chaque fois qu’elle les regardait.

-Light n’est pas comme le vent. Dit Tsabaku tout haut.

En y repensant bien, elle se souvenait d’un de ces soirs d’été. Light était revenue chez elle, accompagnée de Tsabaku, ses beaux habits plein de terre. Son père l’avait grondée et punie pendant plusieurs jours. Non, Light était comme l’eau. Calme et douce, mais dangereuse quand elle le voulait.

-Je me demande quand elle va craquer.

L’adolescente ne prêtait pas vraiment attention au chemin qu’elle prenait, si bien, qu’elle finit par entrer en collision avec quelqu’un. Poussant une exclamation de surprise, Tsabaku tomba au sol. Elle poussa un juron en se relevant, se retournant pour voir si elle n’avait rien de casser, puis, elle observa la personne qu’elle venait de percuter. Mais dit donc, ces cheveux tout aussi sombres que les siens lui disait vaguement quelque chose. Et se regard las et fatigué, ces yeux noirs ne pouvaient appartenir qu’à une seule personne.

-Hey, est-ce que c’est toi, le chat?

Tsabaku avait l’habitude d’appeler Light « le chat » à cause de son nom de famille. Ses yeux se posèrent alors sur le vieil appareil photo au sol, qui ne fit que confirmer ses suspicions. Cette fille devait absolument être Light, après tant d’années de séparations de son amie d’enfance.

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And this is where I grew up
I think the present owner fixed it up
I never knew we'd ever went without
The second floor is hard for sneaking out

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-Hey, est-ce que c’est toi, le chat?
Light regardait la jeune fille devant elle avec une expression confuse, elle ne savait si elle devait être contente ou simplement choquée de voir son ancienne amie en face d'elle, juste quand elle pensait à elle... c'était un peu étrange comme le destin marchait, elles allaient vraiment vivre dans la même école???

- Tsabaku! C'est vraiment toi ? Ses yeux se mirent à briller, LITÉRALLEMENT. Pourquoi tu m'as laissé avec ma sœur horrible pendant toutes ces années???? Elle ne laissa pas de temps à l'autre de répondre qu'elle la prit dans ses bras, si on écoutait bien on pouvait même entendre un crac produit par les os de la pauvre Tsabaku prisonnière de ses bras.

- Je suis désolée! Elle laissa Tsabaku après son excès d'émotions et se passa la main dans les cheveux d'une manière nerveuse. Je ne voulais pas te faire de mal! C'est juste que depuis que mes parents ne sont plus là je n'ai plus à surveiller mon comportement et cette liberté m'est encore un peu étrangère!

(Désolée pour la courte réponse, mais j'ai plus de temps d'ordinateur ^.^')

Tsabaku poussa une exclamation de joie alors qu’elle ouvrait les bras à sa meilleure amie, entrainée dans un vent d’affection pure. Que c’était bon de retrouver Light, cette sensation était… Étrange, étouffante, suffocante! Non, ce n’était pas un sentiment, c’était la jeune fille qui était entrain de l’étouffer, LITÉRALEMENT. Tsabaku toussota, alors que Light la relâchait, s’excusant. Tsabaku ne fit que sourire en observant sa meilleure amie. Elle n’avait pas changé du tout et elle portait toujours ce vieil appareil photo au coup.

- Je suis désolée. Je ne voulais pas te faire de mal! C'est juste que depuis que mes parents ne sont plus là je n'ai plus à surveiller mon comportement et cette liberté m'est encore un peu étrangère!

Oh, c’était arrivé. L’eau avait enfin détruit le barrage qui la retenait prisonnière. L’adolescente ne fit que sourire en prenant les mains de son amie, la faisant tournoyer avec elle.

-Ce n’est pas grave, petit chaton. Ici, tu apprendras bien vite que la liberté est ce qu’il y a de plus précieux dans la vie. Et puis, tu n’as pas vraiment besoin de surveiller ton comportement, sauf en classe.

Elle lui fit un clin d’œil. Tous les exhibitionnistes qui vivaient ici étaient presque tous considéré comme ordinaire. En sortant du pensionna, plus rien ne vous surprend. La vie semblait morte, c’est une idée dans ce genre que ce faisait Tsabaku. Elle prit le bras de Light et le serra avec affection, se tournant vers la grande horloge qui surmontait le bâtiment principale.

-Tu vois l’aiguille qui indique onze heures, Light? Et bien, ça veux dire que je dois retourner à mes affaires et vite, tu crois pas? J’ai un veston à terminer pour Lundi alors je dois vite retourner à ma couture! On se voit peut-être en classe!

La jeune fille relâcha à son tours sa meilleure amie pour pouvoir faire demi-tours et courir jusqu’en direction des dortoirs. Elle se retourna pour saluer Light d’un mouvement de la main.

-Et que la force de l’arc-en-ciel soit avec toi, mon chaton!