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 Alexander von Gewalt [Terminé]

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MessageSujet: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyVen 28 Déc - 16:00

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Alexander von Gewalt
" Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu plus de sécurité ne mérite ni l'une, ni l'autre, et fini par perdre les deux. "

ÂGE : 32 ans
NATIONALITÉ : Allemande
SITUATION AMOUREUSE : Nichts
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
STATUT : Professeur d'allemand

Caractères.
C’est peut-être là la partie la plus difficile à décrire. Parce qu'Alexander ne saurait être ni tout blanc, ni tout noir, il est à la fois essentiel et complexe de saisir ce qu’il est. Un délicieux paradoxe, dirais-je. Un individu aussi pervers, calculateur, manipulateur, influent et sadique que lui ne saurait être autrement qu’adorable en retour. En fait, s’il est un inlassable provocateur, s’amusant à jouer de toutes les situations, en usant des ficelles du langage et de tout ce que les relations humaines peuvent apporter d’original et d’attrayant, c’est tout simplement parce qu’il n’est mue que par une seule chose : l’intérêt. Je ne parle pas ici de l’intérêt financier, économique, charnel, matériel ou en quelque nature que ce soit. Non. Le grand blond aime ce qui vient au monde pour troubler, déranger, exciter, tirailler, déranger, modifier cette banalité du quotidien. Il est un homme qui ne s’ennuie jamais. Mais lorsqu’il fait plus que ne pas s’ennuyer et trouve une source d’intérêt, un individu qu’il ne laissera pas filer et dont il apprendra à se servir avec une alliance de tact et de défiance, il sera tel un dieu.
Alexander von Gewalt n’est pas du genre à se laisser démonter facilement par les évènements. Adepte des arts, admirateur d’un tas de choses et notamment du langage et de toutes les formes d’expression, il aime avoir le contrôle et surpasser ceux qu’il rencontre. Il est quelqu’un qui prend l’avantage ou le donne, mais en gardant constamment à porter de main le droit de choisir. C’est un être libre, tout simplement. Peut-être trop libre, même. Il n’est probablement pas rare de voir chez lui l’envie de posséder, d’asservir et d’être le maître. En fait, il est un incorrigible dominant. Se jouant de tout, prenant la vie avec dérision et sachant parfaitement l’impression qu’il peut laisser chez ceux et celles qu’il fréquente, il passe aisément de la sincérité ô combien sérieuse à une dérision ridiculisant l’absurde de manière absolue. L'allemand n’a peur de rien et le fait aisément savoir. Lorsque le jeu commence, il est difficile d’en sortir, et lui seul sera sûrement apte à décider de l’exutoire le plus approprié. Mais le jeu en vaut la chandelle. Très certainement…

Physique.
Un bel homme. Un être à l'allure si pure, rude et puissante, qu'un indicible mystère fini forcément par planer autour de lui. Grand, avec son mètre quatre-vingt six, et puissant de part sa carrure loin d’être ridicule, il est assurément imposant. Sa peau est assez mate. Son teint est légèrement hâlé. Son corps, gracieusement musclé, est aussi brut qu’il peut être tendre. On irait presque jusqu’à penser à la perfection, en l’admirant et cherchant à le détailler. Peut-être ne serions-nous pas si loin de la vérité en s’attachant à cette idée…
Son visage fin, quelque peu carré et fermement masculin, est caressé par sa longue chevelure blonde. Celle-ci lui glisse jusque dans le bas du dos, flottant allègrement au vent pour encadrer ses traits qui ne laissent paraître aucun doute, sinon un amusement bien fréquent. Ses yeux perçant sont d’un bleu profond. Ils mènent l’inquisition pour ne permettre à aucun détail de lui échapper. Jusqu’à ce que ses fines lèvres exprimant un mélange de sadisme et de perversion, sinon au moins d’une provocation. On s’attache donc certainement à ce regard qui scrute indéfiniment. Il est synonyme de patiente. Alexander est inévitablement une force tranquille.
De part sa fonction, cela convient plutôt bien, finalement. Parce qu’il est capable de porter n’importe quoi, mais qu’il lui faut néanmoins s’en tenir à une certaine rigueur, cet homme sortant de la jeunesse revêt fréquemment ce qui ressemble le plus à un costume. Veste sombre, pantalon sombre, chemise. Bien souvent, son apparence impeccable peut permettre de penser de lui le plus grand bien ou d'imposer un certain respect. Notons-le, ce n'est évidemment qu'un visuel qu'il donne et sait avoir son utilité. Il s'en amuse donc et comprend tout à fait l'importance que peut avoir une tenue. Parce qu'entre être tiré à quatre épingles et être débraillé, il n'y a qu'un pas. L'allemand se complaît à trouver la dose la plus juste, et il n'est pas dit que ce soit sans incidence...

Histoire.
Alexander est né à Berlin, en République Démocratique d'Allemagne. En R.D.A. En Allemagne de l'Est, quoi. Jusqu'à la réunification, du moins, c'est plutôt sous l'influence soviétique qu'il vécut.
Le grand blond est un allemand de l'Est, donc. Il ne sera plus à l'Est encore que bien des années plus tard. Mais ses origines sont certaines, quoi qu'il en soit. À part un peu de sang polonais ou ukrainien qui coulerait dans ses veines. Ce détail peut sembler dérisoire, finalement, bien que ce soit de ce soupçon de vie qu’il tienne sa chevelure d’or. Blond comme les blés. Blond comme ce pays qu’il ne verra jamais. Qu’importe. Il aura bien l’occasion de voir des ukrainiennes, durant sa courte vie. Et ces épisodes, plus orientaux encore qu’il ne l’est lui-même, lui apporteront un réconfort bien plus grand que celui de retrouver les traces de ses ancêtres à Tchernobyl.
Pour tout dire, Alexander a grandi tranquillement. Ses parents étaient des intellectuels et aristocrates traqués par le régime communiste quelques années avant sa naissance, mais le gouvernement s’assouplissant avec le temps et rompant finalement avec la politique soviétique, il n’eut pas à souffrir des mêmes privations et persécutions qu’eux. Au contraire, il bénéficia du renouveau du pays. Ce fut tout bénef’. Elevé dans un cadre presque idéal, il démontra très tôt une intelligence au-dessus de la moyenne, tant par ses résultats scolaires que par sa facilité d’expression, de réaction et de dialogue. Le jeune garçon était promis à un brillant avenir auquel il n’échapperait pas. Sa volonté d’acier, mêlée à son sens de l’empathie et de la répartie faisait déjà de lui un petit être fort intéressant, à l’âge de sept ans seulement.
Ses résultats continuaient d’être aussi bon avec le temps, mais ce fut autre chose qui n’alla pas. On put très vite remarquer qu’il ne s’entendait pas avec ses camarades. Il les dominait, en tant que leader d’on ne sait quelle collectivité. Il se voulait être le chef d’une petite bande, voire de son école. Dans le cas où son autorité et son importance se trouvait refusée, il méprisait les jeunes élèves ou les toisait avec un semblant d’indifférence. Ceux qui se retrouvaient face à lui n’avaient d’autre alternative que d’essayer de se construire sans avoir aucun lien avec sa personne. Alexander ne supportait pas que l’on lui manque de respect. Avec le temps, il apprendrait à maîtriser ce petit travers. Plus ou moins.
L’adolescence est une période assez pourrie dans la vie d’un être humain. Crise de culture. Crise de conscience. Il se heurta au monde qui ne voulait l’accepter tel qu’il était. Changer ? Bien entendu, qu’il changeait, mais pas selon les attentes d’un univers trop égoïste et centré sur lui-même. Lui, n’était pas fermé, et ne le serait jamais. Il resterait un nombril altruiste, ouvert aux autres et favorisant le langage. Ses abus ne devaient pas l’handicaper ni le restreindre à quoi que ce soit. Au contraire, il se mit à en jouer pour imposer sa présence. Alexander, approchant des quinze ans, apprit à devenir quelqu’un sur qui on peut compter, même quand on ne compte pas sur lui. Il sait être là, et personne ne doit l’ignorer.
Nouveau défaut. Nouvelle philosophe. Nouvelle tendance. C’est à l’âge de seize que cela arriva. Une histoire de viol, ou quelque chose du genre. Non, ce n’est pas vraiment ça. La jeune fille ne s’était pas débattue. Il l’avait un peu forcée, au début, pour finir par la faire céder. Ils forment un couple très libéré. Très sain. Ou très malsain, selon la vision de certains. Alexander aime Lenka. Il est passionné par celle-ci. Il est prêt à tout pour elle, et espère que cela sera réciproque. Il n’aime se faire abuser, mais abuse en retour. Il est violent, peut-être. Il s’occupe d’elle comme il s’occuperait d’une poupée, la bafouant, l’humiliant, la maltraitant presque. Mais elle aime ça. Elle se soumet à lui. Alexander aime la déviance. Il aime la jeune fille plus que tout. Il ne lui reste qu'à espérer que c'est réciproque. Mais peut-être n'est-ce pas le cas. Elle s'en va. Leur relation ne durera pas. Un beau matin, qui s’avérera finalement être le pire qu'il ait jamais vécu, ou presque, elle ne devait plus être là. Jamais plus il ne devrait avoir de nouvelles d'elle. Toute sa vie lui serait à cachée, dorénavant. Tout comme ce petit quelque chose, grandissant au sein de son ventre. Une fille. Il l'ignorera longtemps. Trop longtemps. Durant les quinze prochaines années qui suivront, Alexander vivra dans l'ignorance.
Pourtant, il ne lui faut pas très longtemps pour soigner sa peine. Sa méthode ? Faire n'importe quoi. Il va à droite, à gauche. Il s'emporte. Plus rien n'importe. Et c'est une jeune nippone qui finit par avoir raison de lui. Bien qu'elle ait deux ans de moins, lorsqu'il approche des dix-huit printemps, il la trouvera fantastique. Elle sera son avenir, pour les années qui viendront. Aussi brune qu'il est blond, d’une intelligence redoutable, provocante et je m’en foutiste, elle est adorable. Ils ne se préoccupent de rien d’autre que d'eux-mêmes, ces deux jeunes gens. Ils vivent leur vie loin du reste. Jusqu’à ce que tout s’écroule.
Oh, il se sera passé bien des choses, entre temps. Le jeune Von Gewalt suit des études et réussi le mieux du monde. Il entre à l’université de Munich, pour partir avec sa copine. Il devient un jeune professeur. Elle s'en sort merveilleusement dans le domaine du mannequinat. Malheureusement, il est des choses qui ne sont pas faites pour durer.
Lenka décède d’un accident de voiture. Ridicule. Il ne s’en remettra pourtant jamais. Lui, n’est pas mort. Il n’était pas là. Elle devait aller assister à une scène de photographie, en Ukraine. C'est le seul souvenir qu'il gardera de ce pays qui tua sa compagne. Un souvenir de mort. Il ne sait plus quoi faire. Pleurer ? Non, c’est trop difficile. Continuer comme avant ? Certainement pas. Sa passion semble morte. Il quitte Munich et décide de voyager. Pas pour oublier. Juste pour fuir. Pour fuir la solitude. Mais elle est comme son ombre et ne le lâche pas. Ses tourments sont de plus en plus grands. Alors il va falloir trouver quelque chose. Prendre un nouveau départ. Ce sera ardu. Il ne peut s’empêcher de serrer les poings, en voyant de nouveau des jeunes filles se dévoiler. Elles n’ont aucune saveur. Il se montre méchant avec elle. Il les provoque, les insulte, les violente. Cela passe pour de l’exigence. Après avoir enseigné dans bien des régions du monde, mais surtout en Europe de l’est, en passant par la Russie pour se diriger vers l’Extrême-Orient, il se décide à rejoindre un nouvel établissement. Il en a marre de rôder partout. Il a vu trop de choses le dégoûtant. Personne ne pourra remplacer Lenka.
Le Japon. Voilà ce qu’il lui fallait. C'est le pays qui l'a appelé, très certainement. À l'université, il avait choisi cette langue pendant plusieurs années. Alors il connait ce dialecte presque parfaitement. Il le maîtrise. Dire le contraire reviendrait à dire une bêtise. Après quelques temps à rester trop calme et silencieux, Alexander se réveille. Il ne peut pas laisser la morosité détruire sa vie. Trois ans ont passé. Presque quatre. Une seule année depuis qu’il travaille au pays. Donner des cours ne l'amène plus beaucoup, mais il préfère se contenter de se servir de son expérience comme un motif. Il veut se venger du monde. Les femmes sont trop fortes, avec leurs émotions ridicules. Elles soumettent les hommes. Mais il ne se laissera pas faire. Il se venge auprès de chacune d’elle. Alexander n’est pas du genre à jouer les gentils garçons. Vingt-cinq ans, il intègre un pensionnat. Il se plait à être cru, sinon cruel. Le pouvoir et l'influence qu'il peut avoir le satisfont. C’est une satisfaction silencieuse. Il reste beaucoup à faire pour aller mieux. Oui, beaucoup. Et nombreux sont ceux qui en pâtissent. Lui, a donné assez donné. Il est tant de prendre.
Les jours passent, quoi qu'il en soit. Les mois et saisons aussi. La trentaine atteint Alexander qui n'en laisse rien paraître. Il est dans la force de l'âge. Le temps n'a pas vraiment raison de lui. Les années le rendent plus mûr. S'il s'est amusé à être quelque peu agressif par le passé, c'est fini maintenant. Enfin, c'est ce qu'il semblerait. Quoique non. Rien ne prends jamais fin, tant qu'une vie ne se termine pas. Il est juste plus réfléchi encore qu'il ne l'était. Ses décisions sont calculées. Ses observations minutieuses. Sa passion mise à rude épreuve. Mais la nouvelle tombe. Une lettre. Avis de décès. Il figure sur le testament d'une jeune femme : une Allemande. Lenka Hartlova. Sans doute n'en croit-il pas ses yeux. Pourtant, tout est écrit noir sur blanc. Calligraphié aussi bien en allemand qu'en japonais. C'est à n'y rien comprendre. Il a une fille. Elle répond au nom de Anna Von Gewalt. Une gamine de quinze ans. Le calcul est vite fait. Ce n'est pas en déglutissant que l'on change le monde. Si les mains de l'homme tremblent un peu, et qu'il ne peut s'empêcher d'en vouloir à cette femme qu'il n'a jamais oublié, la peur le saisit presque. Ce n'est pas tous les jours le cas, loin de là. Sa vie prend un nouveau tournant. Les temps risquent de devenir difficiles. Il faudra moins d'une dizaine de jours pour qu'elle le rejoigne sur le continent asiatique. L'archipel nippone accueillera bientôt une nouvel petite allemande : la descendante directe de ce professeur. Les dieux doivent être dans une forme exceptionnelle, aujourd'hui, pour lui jouer de tels tours. Il va être temps de remonter ses manches. Après tout, jamais Alexander n'a baissé les bras face au destin. Vous m'entendez ? Jamais...

Toi, là, derrière l'écran !
" Citation / Chanson / Phrase / Etc. "

ÂGE : La vingtaine bien tassée
PRÉNOM / PSEUDO : Alex'
SEXE : Masculin
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Presque par hasard
PRÉSENCE : Je viens quand le besoin se fait sentir
AUTRE CHOSE ? Non
CODE DU REGLEMENT : Validé par Akito



Dernière édition par Alexander von Gewalt le Dim 30 Déc - 18:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyVen 28 Déc - 16:03

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Bienvenue ^^
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyVen 28 Déc - 18:13

Caden Minagawa

Caden Minagawa

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Bienvenue.
J'aime bien le personnage.
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptySam 29 Déc - 4:21

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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptySam 29 Déc - 6:18

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Merci à vous.
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptySam 29 Déc - 8:08

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Bienvenue~
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyDim 30 Déc - 11:01

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    Bienvenue, j'aime bien le mental de ton personnage.
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyDim 30 Déc - 11:24

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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyDim 30 Déc - 12:33

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Thanks o_ô
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyDim 30 Déc - 12:54

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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] EmptyDim 30 Déc - 22:04

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Alexander von Gewalt [Terminé] 332574valid
La bonne nouvelle est tombée !



Bon jeu et bienvenue parmi nous Vegas... EUH ! Alex ! ;)
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MessageSujet: Re: Alexander von Gewalt [Terminé]   Alexander von Gewalt [Terminé] Empty

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