Aujourd'hui, c'était un jour « normal ». Un jour à peu près comme les autres. À la base, les jours où elle ratait les cours étaient des jours anormaux, rares. Ces jours-là étaient des jours spéciaux et qui sortait de cette normalité quotidienne qu'avait battit Rubis. Cela ramène à la réflexion qu'elle eut faite quelques jours auparavant. Mais au final, avec le temps, avec tout le temps qu'elle avait passé ici et dans les hôpitaux, elle avait pris l'habitude de rater les cours. Les journées auparavant anormales étaient devenues des journées banales et inversement. Les journées dites anciennement « normales » étaient devenues si rare qu'elles étaient inexistantes. Rubis cherchait sa seringue pour se faire une injection de morphine sans rompre sa longue réflexion. Elle s'injectait de la morphine si souvent que c'était devenu aussi banal que les journées où elle allait mal pour elle et ses camarades de chambre. Une fois que cela fut fait, une fois que l'aiguille entra en elle et sortit par la suite, libérant le précieux liquide dont elle était accroc dans son sang.

Rubis allait un peu plus mal que d'habitude ; habituellement, la morphine avait un effet positif sur son corps et sur son esprit, l'aidant à aller mieux... Mais, aujourd'hui, il était bas, son moral. Terriblement bas et elle n'acceptait pas cela. Néanmoins, Rubis n'avait jamais rien fait pour changer cela.

Depuis sa rencontre – quelques jours auparavant – avec Constantine Meyer ; surveillant à Hina, elle ne s'était pas réellement amusée. Elle espérait sincèrement que la virée au parc d'attraction qu'elle prévoyait depuis un petit moment la rendrait un peu plus heureuse. Que cela augmenterait un tant soit peu son moral. Rubis sortit de sa chambre en douce, elle prit soin de refermer la porte à clef derrière elle afin qu'on pense qu'elle avait voulu dormir au calme. Elle pouvait donc partir, sans un bruit et surtout sans éveiller les soupçons des surveillant. Par chance, ces derniers parlaient entre eux assez loin du portail et ne remarquèrent pas sa présence ; elle sortit dans aucun mal de l'établissement, toute souriante : elle n'était pas heureuse, juste fière d'elle.

Par chance, ce jour-là, il n'y avait qu'un centimètre – ou deux – de neige sur le sol - elle restait bien accroché malgré les roues des voitures qui passaient repassaient - chose qui ne l'empêchait absolument pas de profiter du parc d'attraction. Les rues étaient peu peuplés : rare étaient les gens qui ne travaillaient pas ou n'étudiait pas au moment où Rubis marchait dans ces dernières. Les rues, les ruelles et les boutiques s'enchaînait, des travaux avaient commencer au centre-ville et l'air était presque irrespirable ; Rubis n'avait pas pris de masque avec elle et avait beaucoup de mal à respirer... Mais elle faisait avec. Bientôt, la jeune femme arriva tout près d'une rue qui la mènerait vers son « château ». Le parc d'attraction.

« Richard Rainer. » Voici le nom qui vint en tête à notre demoiselle lorsqu'elle vit l'homme, de dos, plutôt imposant. Cet homme-là, c'était le seul qui faisait complètement craquer Rubis. Pas seulement parce qu'il était terriblement mignon – chose qu'elle ne s'avouait pas – mais également par son caractère. Il ne la faisait pas craquer dans un sens « amoureux » mais dans le sens où elle était fan de cet homme. Cet homme là avait un caractère pas commun du tout. Elle avait longuement entendu parler de lui durant les conversations qu'avaient eut les filles dans la cour. Après l'avoir suivis sur une dizaine de mètre et s'être rapprocher de lui lentement, Rubis pu remarquer qu'il avait avec lui un couteau papillon, chose qui attira la curiosité de Rubis.

Après s'être approcher de quelques nouveau pas, curieuse comme une enfant, Rubis posa deux doigts sur le couteau, très habilement, retirant le couteau de l'endroit où il se trouvait sans presque aucun mal. La réaction de Richard fut des plus.. surprenantes.

Un jour de neige, sa me rappelait ma bonne vielle Russie. Un jour de neige, mais bien sur sans le froid mordant de la tempête. J'assistais a un cours de Physique. Enfin si ont appel sa de la physique, juste de banal équations. Tous ses minables, hommes et femmes dans leurs habits grotesque d'étudiant. Tous le monde me connaissait pour ma froideur, ma violence et surtout pas un peu sympathie pour les autres. Je me leva sous les grands yeux des autres étudiants mais surtout sous les yeux du professeur. Je pris la brosse et effaça les quatre pauvres petite équations. Le professeur essaya de s'interposer mais il lui mis un coup de poing dans la mâchoire. Une fille hurlât sur le spectacle infligeant. Richard regarda la classe et sourit cruellement. Quand il partit une équation était écrit au tableau, avec ses dernier mots *sa c'est une équation !" Il reprit son sac et sortit en maniant mon couteau avec grâce et délicatesse.

Il sortit du bâtiment avec mes habits habituel. Sa parka, en sweet noire, un tee-shirt noir, un jeans assez serré de couleur noir et ses indestructible Rangers type armée Russe récupérer a la fin de son service. Les surveillants le laisser passer, trop peureux de se prendre un coup de couteau dans le ventre ou une blessure superficielle sur les bras ou les jambes. Arrivée dans la cour les groupes se formaient pour parler derrière son dos. Arrivé a son véhicule, enfin si ont peux appeler sa une voiture. Un 4X4 type armée criblé de balles de Ak47. Il monta dedans en jetant a l'arrière son sac de cours. Il démarra et se dirigea vers le parc d'attraction. Il avait vraiment besoin de se détendre. Il se gara avant l'entrée du parc pour marcher un peu dans la neige, puis il sortit de son 4X4. Il se dirigea ensuite vers l'entrée du parc. Il rangea son couteau dans sa poche arrière pour se tourner et regarder le paysage enneigé de sa nouvelle ville "Tokyo".

Il respira longuement, l'air frais lui faisait du bien, sa le calmait. Mais se calme n'était pas de très longue durée. Une personne essaya de toucher son couteau papillon. L'inconnue n'a pas eu le temps de le prendre que je me suis retourné pour lui mettre une gifle puissante. Il se retourna avec des yeux plein de haine, mon regard se déposa sur une jeune fille toute frêle. Pas très couverte pour le climat hivernal. Je compris alors son geste, était-ce cette fille cloîtrée le plus souvent dans sa chambre ? Sûrement, il sortit mon couteau et l'ouvris, richard prit la main de la jeune fille et lui fit caresser doucement le manche, la lame ciselé puis le rangea. Il prit sa voie froide, grave avec mon fort accent Russe.

Excuse moi de t'avoir frappé, tu es la première a toucher du bout de tes doigts encore intacte mon précieux couteau papillon. J'allais me détendre au parc d'attraction, puis-je t'offrir l'entrée en dédommagement ?

Il lui souris tendrement et regarda a nouveau ses habits. Il enlèva sa parka, puis mon sweet noir et remis ma parka. Il plaça mon sweet noir sur la épaules de la jeune fille. Il lui pris la main et paya nos entrée a l'aide d'un des billets Japonnais qui se trouvais dans mon portefeuille. Richard lui sourit et entra dans le parc.