Un mort est bien, mais deux c'est mieux

Il fait déjà noir. C'est tôt. Ce n'est pas grave, je vais juste avoir plus de plaisir à être avec dans le cimetière. Il est vrai que la tombe où je me suis assis n'est pas confortable. L'ambiance naturelle du cimetière est là au moins. Qu'un seul son, celui du hibou, se fait entendre dance lieu, quelque peu, charmant. Une odeur désagréable se fait sentir, le seul petite désavantage à y être... Mais bon, ce n'est pas la fin du monde, je suis capable de supporter. J'ai déjà connu pire. Par exemple, une amie à ma "mère" avait un parfum qui sentait tellement mauvais que je restais dans ma chambre tout le long de sa visite. À par ça, quelques arbres se font aller avec le vent qui sifflote dans leurs branches. Quel douce musique que ça fait... J'aime venir ici, tout seul, sans personne pour me déranger. Je pourrais presque m'endormir, ou non. Je vais rester éveiller. Comma ça, si jamais il y a, par malheur, une personne se pointe, je pourrai peut-être m'amuser...

Je sors. Où vais-je me demanderez vous. Et bien, cela ne vous regarde pas vraiment. J’avance juste dans la pénombre puisqu’il fait noir. Les étoiles ont déjà montré le bout de leur nez tandis que des nuages passent, cachant la lune. Des satellites aussi passent parfois par-dessus ma tête ! Que c’est jolie je trouve ! Mais il fait noir… Très noir… Pourquoi je suis là à cet heure là ? Je suis dans le cimetière… Pourtant, c’est beaucoup plus rassurant quand le soleil est là ! Mais non, j’ai envie de voir ma mère avant la rentrée et les cours. Il fait froid alors que nous sommes en été…

Avec ma petite veste, mon T-shirt blanc où il est écrit « I love you mother », mon jean noir, j’ai l’air d’une adolescente comme les autres. Si quelqu’un me surprend ici, on se posera sûrement des questions sur moi… Pourtant, tout le monde le sait… Que ma mère se trouve entre ces quatre murs. Je lève ma tête vers le ciel : que c’est glauque comme endroit en pleine nuit ! J’ai l’impression de me trouver dans un film d’horreur qui est préparé à la dernière minute.

J’avance péniblement, regardant les tombes jonchant les chemins. Le terrain est si grand. Avec toutes ces pierres tombales, on a dut mal à se dire que sous ces grosses roches, il puisse se trouver des tas et des tas de squelettes ! Brrr ! Rien que de me dire ceci, les frissons s’emparent de mes poils de bras… Et oui, des morts, des cadavres, des chaires purulentes... Des bestioles qui grouillent en dessous de ces terres et… Hm ! Moi qui avait faim ne serait-ce qu’il y a quelques minutes, l’envie est partit.

Rha, et qu’est-ce que j’ai froid ! Maman, j’aimerai tant que tu sois là pour me tenir dans tes bras… Je continue d’avancer dans le petit chemin fait à cette effet. J’aurai pensée qu’en soirée je serais seule, ou alors que je rencontrerai deux ou trois groupes de gothiques mais non : il y a un homme aux cheveux blanc, je crois, qui se tient devant une tombe. Pourquoi est-il là ? Que fait-il dans cet endroit ? Il vient enterrer quelqu’un ?! Alors que je suis là, je m’arrête.

Des milliers de scénarios se passent dans ma tête alors que moi aussi je suis ici, pour une raison toute bête… Alors pourquoi cette personne… Me fais autant peur ?... Je continue d’avancer et il a dut entendre mes pas, ils e retourne vers moi.

-Euh…Bon-bonjour !

Bégaye-je, le rouge montant à mes joues. Quel plaie de sentir ce rouge montait à mes joues mais je n‘y peux rien… je tremble. Maman aide moi !

Moi qui regardait la tombe. Une petite tombe, à mes yeux, ne représentait rien. Ce n'était qu'un morceau de roche que du monde avait sculpté dessus pour dire qui est enterré mort ici. En fait, cette personne n'est peut-être pas morte. C'est étrange, mais on dirait que j'ai déjà entendu ça! Une personne se fait enterré vivante et quand un garçon passait par là, il a entendu ses petits cris et commença à déterrer. Même pour moi, je n'aimerais pas que l'on me mette dans une tombe quand je suis encore vivant. C,est vrai que la mort n'est qu'une étape de notre vie, mais notre place dans un cercueil va quand nous sommes morts, pas lorsque nous sommes encore en vie!

Des petits pas se firent entendre dans tout le cimetière, peut-être quelqu'un. En fin de compte, ça ne me tente pas de m'amuser. J'aime mieux rester devant cette tombe... Si elle me voit, je répondrai, mais sinon non. Je n'ai pas la tête à ça. Les petits bruits se rapprochèrent de plus en plus. Moi qui n'aurait voulu de la compagnie allait surement en avoir. Dommage... j'aurais voulu être seul encore un peu. Pas grave, je me reprendrai. Je me retournai lentement. Un mouvement brusque pourrait l’effrayer. En fait, je ne sais même pas encore si c'est une fille ou un garçon... Si c'est un homme, il n'aura pas peur. Une , j'en suis pas sûr... On verra rendu là.

-Euh...Bon-bonjour !

Tiens, elle sait parler. C'est un bon début. Il y avait un peu de bégaiement. Elle est surement stressé de voir quelqu'un comme moi. Il est vrai que me voir dans un tel endroit pourrait faire flipper n'importe quel jeune fille, mais elle resta là. Elle ne bougeait pas, elle me scrutait, je le sentais. Bon, voyons voir si elle peut encore parler.

-Bonjour, que fais-tu ici? Tu es perdue? As-tu besoin d'aide?

C'est vraiment étrange qu'elle soit là. Je n'avais pas encore remarqué son chandail. «I love you mother», c'est peut-être pour ça qu'elle est venue en fin de compte. Sa mère est morte... Moi, je ne sais pas qui est ma mère. Je ne sais même pas si ceux qui m'ont élevé durant 1 an sont mes vrais parents... Peut-être allait me le dire! Je l'espère bien. Pour l'instant, je suis tout seul avec cette fille. Tant qu'à y être, je devrais peut-être me présenter... Elle sera surement plus ouverte, ou non.

-J'ai oublié de me présenter. Je m'appelle Kimyo Nikko. Je suis un étudiant au pensionnat Hina

Le jeune homme me scrute ! Qu’est-ce que j’aimerai que mes jambes me laisse courir pour partir de cet endroit ! Mais je evux voir maman, je ne veux pas reculer… Ni même m’avancer !

-Bonjour, que fais-tu ici? Tu es perdue? As-tu besoin d'aide?

J’ai envie de me taire. A quoi lui servirait-il de savoir tout ceci sur moi ? A rien ! Je n’ai pas envie de lui répondre, le rouge montant toujours plus intensément dans mes joues. Mais qu’est-ce que je fous ici ! Et surtout, pourquoi est-il ici, lui ?

-J'ai oublié de me présenter. Je m'appelle Kimyo Nikko. Je suis un étudiant au pensionnat Hina

Tiens, il vient du même pensionna d’où je suis inscrite… C’set étrange de faire une rencontre ainsi avec un élève, en pleine nuit alors que l’on devrait être déjà dans nos chambres. Mais je préfère me taire. Après tout, c’est un garçon, il a ses raisons d’être ici et j’ai surtout peur qu’il me fasse du mal. Je tremble encore. Quand est-ce que ces maudits tremblements cesseront-ils enfin ?... je me le demande.

-Je-Je suis Na-Naoko…Shizuru…Et je-je suis aussi pensionnaire à Hina...

J’ai l’impression d’être un robot vu comment je parle… Ah, je m’exaspère toute seule. Mes membres se frottent les uns contre les autres. J’avance d’un pas. Youhou j’ai réussis ! Encore un s’il vous plait ! Mon pied se décolle de l’herbe et atterrit un peu plus loin de mon corps. Qu’est-ce que je suis heureuse ! C’est comme si je venais de rapporter une bonne note de l’école !

-Que-Que fais-tu ici ?

Encore ces bégaiements… Envie de me tuer sur ce coup… D’ailleurs c’est le meilleur endroit pour mourir… Ironiquement dit bien évidement ! Je tremble de moins en moins. En même temps je m’habitue à la froideur de la nuit et à ce jeune homme, que je scrute, toujours plus intensément. Je laisse une sorte de barrière entre lui et moi : on ne sait jamais après tout ! Le monde est tellement fait d’enflures qu’on ne sait pas sur qui on peut tomber dans ce bas monde !

Mais j’avance encore d’un pas. Mes dents ne claquent plus mais les frissons dominent encore mon corps. Alors que l’on se tient à quelques mètres, j’ai l’impression qu’il est si loin. Étrange sensation je trouve. Mais passons, il fait tellement froid que mon cerveau a dut mal à ne pas se faire congeler ! Je divague toute seule alors que lui ne doit pas se poser autant de questions que moi !

Je soupire et referme un peu plus ma veste, cachant mon T-shirt qui montrait la venue de ma visite dans cet endroit lugubre. Encore un pas, il n’est qu’à quelques centimètres de moi. Tout ça se passe en quelques secondes.

C’est vraiment incroyable, elle est stressée. Je crois que c’est moi. Ça pourrait aussi être l’environnement. À moins que ça soit les deux. Ça serait possible aussi. Comment savoir. Je pourrais lui demander, mais je crois qu’elle serait gênée de répondre. Bon, peut-être que je devrais le découvrir tout seul… Elle bégaie et ça sentent beaucoup. Bon, je crois que je peux conclure qu’elle est stressée à cause de moi et de l’environnement dans lequel nous sommes. C’est vrai que pour ce genre de fille, moi qui en a connu beaucoup, c’est assez normal.

-Que-Que fais-tu ici ?

Tiens, une question que je m’attendais. Tout le monde demanderait ce type de question s’ils seraient dans le même genre de situation. Mais tout à coup, elle avança. Je ne m’y attendais vraiment pas. Je n’aurais jamais pensé qu’elle se serait avancée devant. Peut-être que je la bloque pour aller à quelque part derrière moi. Surement que la tombe à sa mère est derrière. C’est peut-être même celle qui est derrière moi. J’aurais regardé la tombe de sa mère, cette petite tombe. Je trouve ça dommage pour elle, perdre un être cher. Je ne pense pas que je le vivrai. Je ne connais même pas mes parents.

-À vrai dire, j’aime bien être ici. C’est calme et peu de personne vienne ici pour parler, surtout pas la nuit. C’est pour cela que je suis ici.

Je ne voulais pas lui dire ma vraie raison, celle où j’essayais de retrouver, peut-être, des souvenirs de mon enfance. C’est assez normal que je n’y dise pas, non? De toute façon, je ne pense pas que ça soit de ses affaires de savoir que je ne connais pas mon passé. C’est quand même ma vie privée. De plus, elle est encore un inconnu pour moi. C’est juste une raison de plus pour ne pas lui dire mes vraies raisons de ma venue.

Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’attire… On dirait que son corps essaye de me dire quelque chose. Je ne dois pas l’effrayer. Elle va partir sinon. Je dois me contrôler. Je dois… contrôler… mes… mouvement!

Je m’avançai rapidement vers elle, dans la même position qu’un vampire sucerait le sang de ses victimes. Moi, je ne fais que sentir. Je sentais… le sang! C’est le sang qui a cette si bonne odeur. Je me rappelle de la lettre du gouvernement. Elle disait que je n’avais pas le droit, sauf sous autorisation. Pour l’instant, je ne l’ai pas… Mais je veux! Je voudrais goûter à son sang… Pas pour la tuer, mais pour me souvenir du goût. J’aimerais me souvenir de la texture sur ma langue…

-Tu sais que tu sens bon… En fait, ton sang sent bon… Je le sens d’ici…

Je respirais fort. Respirant proche de son cou, je sentais toujours le sang. Vous savez, on m’a dit que le sang veut du sang!

Il ne me répondait pas tout de suite… Qu’est-ce que j’ai peur mentalement ! Mon corps s’est stabilisé complètement. Je n’ai plu à m’inquiéter de trembler ou autre. Et puis, si je tremble, je pourrai mettre ceci sur le dos du froid de dehors ! Enfin bon ! Il ne veut pas se pousser pour que je puisse voir maman ? Non ? Je n’ai vraiment pas de chance quoi ! Une multitude de secondes se passent avant qu’il ne me dise.

-À vrai dire, j’aime bien être ici. C’est calme et peu de personne vienne ici pour parler, surtout pas la nuit. C’est pour cela que je suis ici.

Ah. Donc si je comprends bien, je le dérange ? Je n’avais pas prévu non plus que quelqu’un serait ici, avec moi dans cet endroit lugubre. Mais on fait avec n’est-ce pas ? Tout d’un coup, il s’approche de moi. Qu’est-ce qu’il me veut ? Alors que je commençais enfin à me dire que je pouvais avoir confiance, il me scrute, renifle. Il avance, tel un de ces nombreux vampire que l’on voit dans le cinéma américain. Je fais un pas en arrière. Il me fait peur de nouveau, encore plus… Sa bouche etst maintenant proche de mon cou. Je me sens tétanisé.

-Qu’est-ce que tu…fais ?

Ma respiration devient haletante. Garder son calme ! Il ne faut pas qu’il sache que j’ai peu de lui. Sinon il en profitera et je le regretterai amèrement ! Je recule d’un pas, puis un deuxième assez rapidement. Il me fait penser à un tueur en série qui serait sortie de prison il y a de ça que quelques heures !

-Tu sais que tu sens bon… En fait, ton sang sent bon… Je le sens d’ici…

Dans quel situation je me suis mise ?... Moi, je voulais SIMPLEMENT voir la tombe de ma mère, au lieu de ça, j’atterris sur un apprenti vampire. Je n’ai vraiment pas de bol depuis que maman est morte et que je suis dans cet interna. D’ailleurs, quand j’y pense, je n’ai même pas un seul ami sur le campus. Mes idées s’embrouillent avec ce froid ! Je recule encore d’un pas, puis un autre, ainsi de suite.

-Comment peux-tu sentir l’odeur de mon sang ? Tu n’as pas trop regardé des films d’horreur toi ?

Je gardai un espace de sécurité. Je n’avais même pas mon petit couteau sur moi, ni même mon portable pour m’aider : il était déchargé au complet. En gros, j’avais vraiment le profil idéal de ces filles dans les films d’horreur dont le méchant essaye de s’accaparer. Je vous l’avais dis, je n’ai vraiment pas de chance ! Maman, je veux te voir ! Pourquoi cet homme ne veut-il pas me laisser en paix ?... Je soupire sans quitter mon regard de celui de l’homme.

C'est bizarre, je pensais l'avoir dans mes bras. Mais elle n'est plus là. Bon, je regarde autour de moi. Eh bien, elle est devant moi, encore plus méfiante que jamais.

-Comment peux-tu sentir l’odeur de mon sang ? Tu n’as pas trop regardé des films d’horreur toi ?

J'y pense... mais je ne trouve pas. Je la sens, tout simplement. Elle me donner des frissons juste en la sentant. Son sang a l'air si bon. J'aimerais tellement y goûter, mais je n'ai pas le droit. Le gouvernement m,avait bien averti.

-Je le sens... C'est tout...

Je m'approchai lentement d'elle. J'aimerais tellement juste là sentir. Ça me ferait tellement du bien.

-Je veux juste te sentir, s'il te plait... Je ne te mordrai pas! Je ne suis pas un vampire, c'est juste que... j'aime la senteur et le goût du sang. Quelque chose m'empêche de te faire mal. Je veux juste te sentir...

Olalala ! J’ai de plus en plus peur… Il s’approche encore de moi. Comme on dit : lentement mais sûrement ! Dans quoi je m’embarque… Maman… Je vais mourir ?.. Mourir dans cet endroit où il fait si froid que réfléchir y est impossible ? Cet endroit lugubre, dénué d’humanité, dont les roches froides t’encerclent ?

Tu penses que je dois mourir, comme toi, sauf que moi, je ne serai pas frappé et que je n’aurai pas une hémorragie interne ? Moi, qui vais mourir car on m’aura sucé le sang. C’est une drôle de mort. Digne des films comiques ou bien d’un film d’horreur vus les frissons qui parcourent mon corps.

Je veux bouger, mais ça y est, je suis de nouveau tétanisée. Pourquoi le corps d’un humain est-il si faible ? Si j’avais été l’un de ces petits animaux dont le prédateur s’approchait, je serais en train de courir à plusieurs kilomètres heures ! Mais non. Je ne suis qu’une simple humaine, un simple grain de sel dans ce monde avare et froid. Rha ! Je ne vais pas recommencer à parler de ce monde pourri, si ?

-Je veux juste te sentir, s'il te plait... Je ne te mordrai pas! Je ne suis pas un vampire, c'est juste que... j'aime la senteur et le goût du sang. Quelque chose m'empêche de te faire mal. Je veux juste te sentir...

Il est malade ! Oh putain mais il est malade ce type ! Sentir mon sang ? Et puis quoi encore ?! C’est MON sang à ce que je sache ! Je n’ai pas envie qu’un inconnu le touche ou le sente ! Et s’il avait le SIDA hein ? Vous y avez pensé vous ?! Nan mais voyez-vous ça ! Les gens de nos jours sont vraiment…étranges ! Plus étrange que lui, tu meurs !

-Ne m’approche pas ! Laisse donc mon sang tranquille ! Il m’appartient ! Je ne veux pas qu’un autre le touche ! Il est en moi, donc à moi !

Je tremble, encore et encore. J’en ai marre ! Je veux aller voir maman ! POUSSE-TOI LE MALADE DEVANT MOI PURÉE !!!!! Mais nan… Il ne m’entendra malheureusement pas. Si l’on pouvait parler par télépathie, ça se saurait depuis des années et on aurait même plu besoin d’utiliser des mots ! Pour une fois, j’aimerai savoir ce que ça fait, pour faire comme dans les films et savoir à l’avance ce qu’il va me faire… La peur me ronge, mais mon regard se fait toujours doux. Maman m’a donné ce caractère mais pas le cœur qui va avec cette tête d’insouciance et mignonne.

-Pars ! Et laisse-moi !

Allait-il m’obéir ? Je ne pense pas…

Je m'approchai, toujours en sachant qu'elle ne voudrait pas... mais ce n'était plus moi. La raison qui me poussait était cette bonne odeur. Sa bonne odeur, son sang me donnait des frisson à n'en plus finir. Puis, en m'approchant, je trébucha sur une racine pour tomber sur Naoko et être sur elle. À ce moment, je repris mes esprits, qui sont encore flou, et je me relevai. Comme si mon attirance pour le sang avait tout à coup disparu... C'était peut-être le fait que de me cogner la tête m'a fait raisonner. Tout ça pour dire que j'avais mal à la tête et que je me sentais mal... Elle semblait encore en vie, même après notre chute. Par contre, comme elle avait les yeux fermé, je me dis qu'un petit examen ne lui ferait pas de mal. Je regardai ses bras, sa tête, son ventre et ses jambes, sans aller dans les parties intimes... elle ne m'aurait jamais pardonné. Bon, je crois que tout est beau...

-Naoko... tu es là... pas trop sonné... je suis vraiment désolé... je ne voulais pas vraiment te faire peur... c'est juste que... j'aime, depuis que je suis tout jeune,... le sang. De sa senteur jusqu'à son goût, mais ne t'inkiète pas, je ne te veux aucun mal... je crsois que m'en aller serait le mieux pour toi...

Alors, j'allai prendre mes choses sur le bord de la tombe...

Sujet: Re: Un mort est bien, mais deux c'est mieux

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