| | | Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ |  |
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 Sujet: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Sam 20 Oct - 17:26 | |
| Tsabaku Rainboweug MORE ? Messages : 55
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Friendlist: ::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::: Belle damoiselle, dites vite, dites quand
Embarquerez-vous dans ma barque-rez-vous dans mon camp
Dites quand
Belle damoiselle, dites vite, dites quand
Car il est temps, plus que temps, de choisir son camp.
::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::: Le réveil avait été brutal ce matin là, pour Tsabaku. La sonnerie stridente et agaçante de son cadran se répercutant dans toute la chambre. Elle s’était levée, très lentement pour une fille aussi énergique qu’elle, avait attrapé quelques vêtements et s’était précipité dans le couloir pour pouvoir se rendre jusqu’aux douches des filles. Elle avait l’air ridicule avec ses cheveux noirs en batailles, ses yeux à demis clos, ses lunettes de travers et son pyjama tout froissé. Mais le physique n’était pas une chose qui préoccupait vraiment l’esprit de Tsabaku. Bien sûr qu’elle aimait se faire belle, mais pas pour les autres. Sa trousse de toilette sous le bras, l’adolescente poussa la porte qui menait aux douches et se choisi un lavabo pour y déposer ses effets personnel. Juste en arrière se trouvait une série de douche, inutilisée car la majorité des autres étudiantes dormaient encore. Tsabaku se déshabilla lentement, prenant bien soins de déposer son pyjama sur les crochets. Alors qu’elle enlevait ses pantalons, la porte s’ouvrit pour laisser entrer une adolescente d’environs son âge. Ses longs cheveux blonds se balançaient à ses côté, ses yeux bleus reflétant son égoïsme (ce que Tsabaku ne vit pas vraiment). Elle s’arrêta un instant pour l’observer, Tsabaku s’affairant devant son lavabo. La jeune fille fut, en un instant, installé devant le miroir à la droite de Tsabaku, qui la remarqua enfin.
-Bonjour petite étoile aux cheveux blonds. Dit-elle avec un sourire.
Dernière édition par Tsabaku Rainboweug le Lun 5 Nov - 2:39, édité 1 fois |
| | | | | Sujet: Re: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Mer 24 Oct - 11:29 | |
| Invité Mais qu’elle soirée d’ouf ! Ah ouais putain mais des soirées comme ça j’en veux tout les jours. Hier je suis allée en boite, un pote a réussis à me faire entrer avec une fausse carte d’identité. C’est vrai que je n’utilise pas souvent cette méthode, à vrai dire je ne veux pas de problèmes c’est surtout ça. Mais de temps en temps pour pouvoir entrer dans des fêtes pareilles je ne crache pas dessus. Enfin pour dire, cette soirée étaient remplis de beaux mecs, ils y avaient pas mal de connasses bien roulé, mais j’étais certainement la plus belles de toutes. J’étais bien maquillée, j’avais un beau gloss rose, et une belle robe noire, évidemment j’avais des talons blancs, il faisait froid dehors mais je ne voulais pas mettre de collant, ça retirait toute l’allure et la beauté de mes jambes nues.
- Spoiler:
J’ai juste pris une petite veste pour éviter de tomber de nouveau malade. Je m’étais pas mal bourrée à cette soirée mais je m’en souviens de tout, malheureusement je n’ai couché avec personne, mais j’ai eu quelques numéros de téléphone, putain c’est trop le pied ! C’est ainsi que ce matin je me réveille, la tête totalement dans le cul. C’était samedi, et j’avais toute la journée pour moi ! Je m’étais levée de bonne heure car je voulais profiter à fond de mon week-end et pas dormir comme une marmotte. J’étais entrée tard hier et heureusement je ne me suis pas faite choppée dans les couloirs. De toute façon je faisais ce que je veux, rien à foutre. Je me suis étirée, comme ça faisait du bien, j’avais encore le goût de l’alcool dans la bouche, le crayon noire coulait sous mes yeux, ce qui était encore plus drôle… J’étais encore en robe de soirée dans mon lit, mais j’avais pris le soin de retirer mes talons. Je voyais un peu flou, en même temps hier j’étais complètement claqué, j’ai dansé toute la nuit, et ça me saoulait royalement de retirer mes vêtements ainsi qu’aller prendre une douche à quatre heure du matin. J’ai pris un petit sac en réfléchissant quels habits j’allais mettre pour la journée. Aujourd’hui il n’y avait pas de soleil mais il ne faisait pas moche pour autant, j’ai réfléchissais en regardant par la fenêtre. Puis j’ai pris de mon armoire un jeans, une petite culotte rose, ainsi qu’un haut brun à longues manches et moulant. J’ai pris mes affaires de soin. J’étais prête pour me rendre dans les douches, je descendais les escaliers à pieds nues, ça m’embêtait de mettre des chaussures juste pour quelques pas.
Quand enfin j’étais en face de la porte des douches, j’ai regardé sur les côtés, il n’y avait personne. C’était un bien pour un mal, je n’aurais pas dis non qu’un beau mec passe par là, et me voir avec des vêtements pareilles il serait tombé par terre à mes pieds, mais en même temps j’étais démaquillé et je ressemblais presque à une sorcière avec mes cheveux. J’ai ouvert la porte et je me suis directement rendu vers un lavabo libre, il y avait bien une fille mais je ne lui ai pas prêté attention. Mes choses passaient avant. J’ai fouillé dans ma trousse de beauté des petites lingettes pour démaquiller, j’étais en train de l’approcher vers mon œil quand une voix plutôt agaçante interrompu mon action. Mon corps était mis sur pause, c’était qui cette pauvre fille pour m’adresser la parole ainsi ? Heureusement que nous n’étions pas dans un lieu publique, j’aurais eu la honte de ma vie. J’ai tourné la tête dans sa direction pour voir à quoi elle ressemblait. De visage elle faisait jeune, et encore plus avec son petit corps qui n’était pas encore formé telle une femme fatale. Mais ce qui était marrant, elle était bien plus grande que moi. Mais elle ne pouvait pas me rivaliser, et comment pouvait- on comparé ce truc à moi ! Elle avait une petite poitrine, comme moi.
« Pardon ?! Tu veux que je te la foute où je pense ta petite étoile ? Putain mais y a des gens trop zarbes ici… »
Petite étoile, c’était une première comme surnom, et en plus je n’avais jamais entendu ce surnom ignoble. Et je n’avais encore jamais vu cette meuf qui n’avait pas de style et pas d’élégance. Elle se trouvait en petite culotte en face de moi, j’ai ris sous son nez en baissant mes yeux sur ses petites jambes ridicules. Je remis mon regard sur le miroir en me regardant avec un plaisir irrésistible. Bordel si j’étais un mec je me violerai ! J’ai repris ma lingette humide pour retirer le maquillage de ma figure. Je me trouvais aussi canon sans maquillage, ça m’arrivait aussi des fois de rester naturelle. Mais j’étais mise plus en valeur avec une petite touche. Regardant dans les yeux de cette miss que je ne connaissais pas, j’ai retiré ma robe depuis le bas, j’étais en string et en soutif face à elle, il n’y avait pas à dire, j’étais peut-être plus petite, mais elle ne pouvait rien dire face à mon corps. J’étais peut-être un peu irrité à cause du reste de l’alcool qui coulait dans mon sang. C’est vrai que je ne suis pas allée doucement avec les alcools et les mélanges. J’ai plié délicatement ma robe en la mettant dans mon sac, j’ai retiré du sac mes shampoos. Le pire, c’est que j’allais me doucher avec elle, mais qu’elle poisse ! Elle n’aura pas intérêt à me mater sous la douche, sinon elle va voir ma main de près. J’ai lâché un regard méprisant sur elle, étant toujours à côté du lavabo.
« Qu’est-ce que t’as à me regarder ainsi la moche ? »
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| | | | | Sujet: Ah, ces surnoms. Mer 24 Oct - 21:09 | |
| Tsabaku RainboweugMORE ? Messages : 55
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« Pardon ?! Tu veux que je te la foute où je pense ta petite étoile ? Putain mais y a des gens trop zarbes ici… »
Tsabaku haussa un sourcil, étant habituée à ce genre de réaction de la part des gens. Mais cette fille semblait bien plus stupide que les autres, ce qui tira un sourire à la jeune fille alors qu’elle observait l’inconnue qui se démaquillait. Tsabaku trouvait ses manières plutôt étranges (tu peux bien parler). Elle n’en montra rien mais ce genre de personne l’irritait un peu, c’est à croire qu’ils ne voyaient que le côté pervers de la vie. En l’observant se déshabiller, Tsabaku pencha sa tête vers la gauche. C’est vrai qu’elle était plutôt belle, mais pas autant qu’une vrai princesse du ciel. Elle avait beau se trouver la plus belle du monde, cette fille resterait toujours la plus grosse des météores aux yeux de Tsabaku. Elle ne dit rien, la blonde se retournant vers elle une seconde fois.
« Qu’est-ce que t’as à me regarder ainsi la moche ? »
L’insulte n’atteint pas Tsabaku le moins du monde, ce qui l’affecta le plus fut le ton agressif de la jeune fille. Comment ne pouvait-on pas être de mauvaise humeur un samedi matin comme celui-ci? Son sourire s’élargi, comme si elle pensait pouvoir rendre le moral à l’adolescente en étant gentille avec elle.
-Toi, qui d’autre?
Elle enleva son chandail de pyjama, bien trop large pour elle. Puis, ses bracelets qu’elle portait au bras droit en permanence et ses trois montres au bras gauche. Les déposant délicatement sur la pile de vêtement, Tsabaku se dirigea vers les douches pour ensuite hésiter. Peut-être que, si la blonde était de mauvaise humeur, c’était parce qu’elle n’avait pas aimé son surnom, que ça l’avait irrité ou quelque chose comme ça! L’adolescente se retourna pour faire face à sa camarade.
-En fait, je me demandais pourquoi tu étais de mauvaise humeur. Si c’est à cause du surnom que je t’ai donné, c’est pas grave. J’en ai plein d’autres, tu sais? Tu peux même choisir le tiens. Si tu veux j’ai grande météore, trou noir, ciel d’orage…
Tsabaku commença à énumérer des surnoms, tous différents les uns des autres. Mais ce qu’elle ne remarqua pas fut l’effet qu’avaient ses paroles sur la pensionnaire.
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| | | | | Sujet: Re: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Jeu 25 Oct - 12:03 | |
| Invité J'avais tout simplement l'impression qu'elle se foutait de ma gueule. Avec son petit sourire à la con, je voulais juste lui donner une bonne gifle bien placé pour lui remettre les idées en place. Et quand j'ai entendu de la manière et du son de sa voix naturel comme elle m'a répondu, j'étais hors de moi. J'allais passer effectivement une bonne journée, mais avec des mioches pareilles qui viennent foutre en l'air toute votre bonne humeur, c'est foutu d'avance, alors on allait changer les rôles. C'est pas moi, mais elle qui va passer une journée merdique, la plus merdique qu'elle n'ait connu. Et là elle va pouvoir me dire qu'elle voit des étoiles partout, car je vais pas la laisser s'échapper. J'ai laissé échapper un long soupire. Je n'allais pas lui répondre cette fois-ci, elle allait en ramasser, en pleurer, et rien comprendre avec moi dans la pièce, et surtout, je n'allais pas la louper dans les couloirs, ou dans les salles de classes, ou encore à la cafétéria. J'allais lui faire la vie noire, au point qu'elle en ait tellement marre et qu'elle se casse d'ici en chialant. J'ai rangé toutes mes affaires dans un coin, gardant toujours un petit regard sur l'autre meuf, j'ai retiré mon string et mon soutient-gorge, j'étais nue. Il ne manquait plus qu'un beau mec, et que cette miss écervelée ne soit pas là. Mais je n'étais pas pudique, loin de là, il est vrai que je n'ai pas une forte poitrine, mais ce n'était pas la chose qui me gênais le plus, en fait, j'aime tout mon corps, je suis parfaite. Et au pire, plus tard j'irais faire une chirurgie esthétique pour corriger ceci, mais les mecs ne s'en plaignaient pas. Ou ils avaient peur de le faire... Passons !
J'étais en train de rentrer dans les douches, il y avait une rangée de cinq de chaque côté, je me suis mise juste deux douches à côté de l'autre que je ne connaissais pas encore son prénom. J'ai allumé l'eau en réglant la chaleur, puis j'ai posé les shampoos par terre le temps que je me mouille. Je mouillais toujours d'abord le corps et après les cheveux. Il y avait un silence délicieux dans la salle, aucuns bruits, juste les gouttes du jet de la douche qui venaient s'écraser sur le carrelage blanc. Et... Bien sûre une imbécile à réussis à briser ce beau silence, je crois qu'elle voulait sa raclé tout de suite et pas plus tard. Je me suis retournée en la regardant dans les yeux, j'ai laissé pour finir le jet d'eau sous ma tête, c'était agréable, et peut-être que ça pouvait me calmer un peu, car j'étais pas mal tendue avec une fille pareille en face de moi.
« Je veux pas de tes surnoms à la con moi, je me nomme Kairi, la BELLE Kairi, et tu vas me nommer ainsi ! Ok sale tête ? Ou tête de pleine lune pour rester dans ton tripe !»
J'ai croisé les bras, l'eau s'était arrêtée, j'ai appuyé une nouvelle fois sur le bouton pour redémarrer la douche. Je me demandais comment j'allais me servir d'elle, c'était claire, elle allait être mon nouveau souffre douleur à moi, et rien qu'à moi. Je vais pouvoir rire d'elle devant les autres, me moquer d'elle, lui faire des crasses, j'avais le sourire jusqu'aux oreilles de penser à tout ça, je m'en souviens encore, dans mon ancien collège, j'avais une fille que je n'aimais pas, je lui ai fait la vie noire toute l'année, et l'année suivante, elle a fait une demande pour changer d'établissement, j'étais géniale et méchante, et j'aimais ça. Et ce que j'adore en plus en moi, c'est que je sais changer mon caractère par rapport aux gens que je côtoie. Et si par le plus grand des malheurs elle ose me faire une réputation merdique, de méchante ou autres, elle aurait très vite des nouvelles de ma part. Je dois garder une bonne image vers les autres mecs, et je sais m'y prendre, contrairement à cette pauvre gamine qui n'a certainement jamais fait un petit bisou sur les lèvres d'un garçon.
« Et tu as pas un prénom ? Je dois savoir tout de même comment se nomme mon nouveau souffre douleur à moi ! Et tu as pas intérêt à me faire chier, car c'est toi qui à foutu en l'air mon samedi.» |
| | | | | Sujet: Re: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Ven 26 Oct - 1:15 | |
| Tsabaku RainboweugMORE ? Messages : 55
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Friendlist: Tsabaku, de l’eau et du savon plein les yeux, écoutait attentivement ce que sa camarade disait. Elle fredonnait doucement une chanson en se rinçant les cheveux, plein de shampoing.
« Je veux pas de tes surnoms à la con moi, je me nomme Kairi, la BELLE Kairi, et tu vas me nommer ainsi ! Ok sale tête ? Ou tête de pleine lune pour rester dans ton tripe !»
Pleine lune, pas mal pour une prétentieuse. L’adolescente poussa un léger soupir, à peine perceptible. Toutes ces insultes commençaient à l’exaspérer, mais elle n’en montrait toujours rien. Cette Kairi était bien étrange avec ces mots grossiers.
-Des mots grossiers rendent une fille très laide, tu sais, Kairi? Pensa-t-elle.
Tsabaku en avait rencontré et fréquenter des personnes dans sa vie. Mais des filles comme Kairi, il n’y en avait pas tant que ça. Bien sûr qu’elle en avait affronté des capricieuses comme celle-là, mais cette blondasse aux airs angélique était bien pire que ça. Tsabaku était nouvelle au pensionnat et n’avait pas encore entendu parler de la très fameuse réputation de sa camarade. Kairi allait devenir un mur pour elle, un très, très grand mur à surmonter.
« Et tu as pas un prénom ? Je dois savoir tout de même comment se nomme mon nouveau souffre douleur à moi ! Et tu as pas intérêt à me faire chier, car c'est toi qui à foutu en l'air mon samedi.»
Tirant le bouton de la douche avec un mouvement brusque pour l’arrêter, elle se retourna vers Kairi, ses cheveux noirs ruisselant d’eau. Elle avait l’air calme, mais dans sa tête, Tsabaku n’avait pas aimé ça. Comment pouvait penser du mal d’elle? Faire chier? Comment ça, elle avait gâché son samedi matin? Jamais de la vie elle n’aurait fait ça. Non, elle n’avait pas prêté une minute d’attention au mot souffre douleur.
-Tsabaku Rainboweug. Et que la force de l’arc-en-ciel soit avec toi, pleine lune.
Son sourire se faisait presque baveux. Elle avait répondu avec un peu trop de rudesse. Ça ne lui ressemblait pas, mais, soudainement, Kairi la mettait très mal à l’aise. Attrapant sa serviette blanche pour se sécher, Tsabaku retourna en face du miroir pour retourner à ses affaires.
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| | | | | Sujet: Re: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Lun 29 Oct - 22:51 | |
| Invité Mais je t'en foutrais des filles laides, mais de quoi je me mêle. Elle était en train de m'énerver de plus en plus, j'étais à la limite de lui foutre une gifle. La regardant droit dans les yeux, j'ai pris mon shampoing, j'ai vidé le tube dans la main puis j'ai commencé à masser mes cheveux, j'ai laissé la mousse venir petit à petit, mes cheveux était longs des fois très chiant à coiffer, j'ai vite rincé et j'ai mis une crème pour rendre les cheveux doux, je fais trois shampoing en tout, un pour laver, un autre pour les rendre doux et le dernier pour les nœuds. En suite j'ai pris mon savon rose et j'ai commencé à me le passer sur tout le corps. J'allais sentir bon la fraise aujourd'hui, mais il y avait comme un odeur de merde dans les parages. Ah, évidemment j'avais carrément oublier la présence de cette pauvre fille. Elle me saoulait, enfin, elle s'était présentée. Mais cette pauvre Tsabaku me narguait totalement. C'était l'impression qu'elle donnait, elle n'allait pas m'échapper. Oh non pas du tout, j'avais le sourire aux lèvres, j'étais dos à elle et je regardais le mur en face moi. Elle n'allait pas s'en aller tout de suite. Elle devait encore s'habiller et peut-être se sécher les cheveux. Je me suis vite rincée et retirée toute la mousse qui parcourait mon corps humide. Quelques secondes qu'elle soit parti, j'ai éteins la douche et j'ai pris ma serviette que j'avais posé pas très loin de moi, je me suis séchée sur place le corps, et un peu les cheveux, et j'ai mis ma serviette autour de ma poitrine pour cacher mes parties intimes. Je me suis rendue près d'elle et je lui ai attrapé les cheveux en tirant derrière.
« Mademoiselle Tsabaku, on va être claire d'accord ? Moi je plaisante pas, je joue plus à la gamine là, tu pousses mes limites tu ne crois pas ? »
J'ai tiré bien fort pour qu'elle me comprenne. J'ai lâché d'un coup en poussant sa tête en avant, et je suis retournée sur le lavabo à coté ou il y avait mes habits et toutes mes affaires de toilettes. Elle m'a réellement gonflée cette gamine, la prochaine fois je vais me faire entendre à ma manière, je suis vraiment trop gentille là. J'ai pris ma culotte propre ainsi que mon soutif, j'étais en sous vêtement, j'ai mis ma serviette sur mes cheveux pour les sécher un peu le temps que je me maquille. - Spoiler:
Pas trop d'inspiration désolée ! ~
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| | | | | Sujet: Re: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Mar 30 Oct - 0:48 | |
| Tsabaku RainboweugMORE ? Messages : 55
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Friendlist: Tsabaku commença à se sécher tranquillement et, une fois qu’elle n’avait plus d’eau sur le corps, enfila ses sous vêtement. Après avoir mit ses culottes bouffantes, elle commença à sortir de sa trousse de toilette son maquillage. C’est à ce moment qu’elle poussa un cri de surprise, mélangé à de la douleur. Ses longs cheveux noirs venaient d’être tirés par en arrière par cette cinglée de tête de pleine lune, pleine de bosse et de trou. Tsabaku se mit à paniqué en voyant le regard meurtrier que lui jetait Kairi, l’apercevant dans le reflet du miroir en face d’elle. Quand les gens réagissaient de manière PARTICULIÈREMENT excessive, Tsabaku savait bien qu’elle avait dépassé les bornes. Mais Kairi, elle faisait vraiment peur, plus que quand certains élèves lui poussaient des beuglantes.
« Mademoiselle Tsabaku, on va être claire d'accord ? Moi je plaisante pas, je joue plus à la gamine là, tu pousses mes limites tu ne crois pas ? »
La jeune fille hocha la tête, prise de panique. C’était la première fois qu’elle avait aussi peur de quelqu’un, qu’on la frappe, qu’on la pende à un arbre. Bon, c’était peut-être un peu exagéré dans sa tête mais c’est pour vous donnez une idée de comment elle avait peur. Soudainement, Kairi lâcha ses mèches. Sous le coup, Tsabaku tomba au sol. Non, non, non, non, pas maintenant. Il ne fallait pas pleurer. Elle avait déjà montré sa peur, elle ne devait pas montrer sa faiblesse. Pas avec Kairi, ça allait être encore pire. Mais ça faisait mal, ça faisait peur. Doucement, elle se releva et prit d’une main tremblante son maquillage pour pouvoir continuer à se préparer.
-Je m’excuse…
Sa frange encore humide cachait une partie de ses yeux. Tsabaku renifla et réussi enfin à appliquer sa crème hydratante, son mascara, son ombre à paupière et toutes ces autres choses de filles. Elle hésita avant de dire quelque chose d’autre, sa voix était complètement nouée.
-Je sais que j’ai été soulante, désolée, pleine lune….
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| | | | | Sujet: Re: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Mer 31 Oct - 10:35 | |
| Invité Je ne faisais plus trop attention à elle, je me demandais même si elle chialait, mais je n’en avais rien à foutre. Pauvre fille quand même, j’avais mes raisons d’agir ainsi, et je suis sûre que je n’étais pas en tord. Je suis encore très gentille avec elle, car si ce n’était pas samedi et que j’étais encore plus de mauvais poil, je crois que j’aurais déjà fracassé sa tête contre le miroir pour qu’elle se refasse une beauté express. Elle n’avait aucune forme en plus en sous-vêtements, j’avais même l’impression qu’elle faisait légèrement gamine sur les bords, même si je ne savais pas son âge, je lui donnais six ans d’âge mental et encore. Son petit regard avec ses yeux marrons me saoulait, et encore plus sa manière de communiquer, elle devrait descendre sur terre, nous sommes au Japon, pas sur la lune. J’avais terminé mon beau maquillage, aujourd’hui je n’allais pas mettre mes faux cils, j’en avais vraiment pas envie, en fait, cette Tsabaku m’a donné envie de rien faire de la journée. J’ai serré le poing très fort, je voulais lui fracassé la tête, mais en même temps je ne voulais pas être renvoyée du pensionnat, je n’avais pas terminé de m’amuser. J’ai entendu de nouveau sa petite voix, une voix qui m’énervait de plus en plus. J’en avais rien à foutre de ses excuses, elle pouvait se les foutre où je pense. J’ai enfilé mon jeans, ainsi que mon petit pull brun. Je ne savais même pas si j’allais sortir pour finir, je pouvais faire ma grosse et rester tranquillement au pensionnat et rôder dans les couloirs. Ou au pire, je pouvais encore m’amuser avec la petite gamine de service. De tout de façon c’était officiel, elle était à moi. Ça allait être mon centre d’amusement, de divertissement je dirais même. J’ai pris ma petite brosse rose en rangeant ma serviette dans le sac, puis j’ai commencé à brosser mes cheveux encore humide en chantonnant doucement. Mais j’ai été coupé dans mon élan par cette morveuse. Encore une fois.
« Marie, Jésus, Joseph ! Tu n’es pas si conne au final ! Tu es soulante et tu le resteras, rentres toi bien ça dans ta petite tête. Tu vas faire tout se que je te demande, c’est un ordre ! Sinon, je te fais chialer ! Ouais pleurer comme tu n’as jamais pleuré auparavant ! »
Je me suis avancée vers elle en prenant mes affaires d’une main, je voulais bien frapper un coup, mais je ne voulais pas la voir pleurer ici, non pas ici. Mais un lieu public c’est bien plus drôle. Je n’allais pas la louper c’est sûr et certain. D’un geste j’ai balancé toutes ses affaires par terre faisant tomber tout son maquillage par terre, puis j’ai pris sa main en la serrant.
« Eh, au fait, ma chambre c’est la numéro 206, passes de temps en temps m’apporter de la bouffe ou des jus d’orange, j’adore ça, tu serais gentille. Et m’appelle plus de tes surnoms à la con bordel ! »
J’ai lâché sa main lui laissant une marque rouge. Je me suis dirigée à pieds nues encore direction la porte, j’avais oublié que je n’avais pas pris de chaussures. J’ai posé ma main sur la porte pour la pousser, je me suis retournée regardant la mioche.
« Tu as un truc à me dire avant que je me casse d’ici ? »
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| | | | | Sujet: Re: Ce n'est pas un ange, c'est une manipulatrice. (Pv Kairi Fuji) TERMINÉ Mer 31 Oct - 12:23 | |
| Tsabaku RainboweugMORE ? Messages : 55
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« Marie, Jésus, Joseph ! Tu n’es pas si conne au final ! Tu es soulante et tu le resteras, rentres toi bien ça dans ta petite tête. Tu vas faire tout se que je te demande, c’est un ordre ! Sinon, je te fais chialer ! Ouais pleurer comme tu n’as jamais pleuré auparavant ! »
Tsabaku acquiesça, il ne fallait pas dire non, pas à Kairi. L’adolescente craignait le pire, elle n’aurait pas dû se lever se matin, n’y même d’être de si bonne humeur. Tout ce qu’elle avait voulu c’est engagé la conversation avec une camarade qu’elle n’avait jamais vu. De plus, Tsabaku ne voulait pas pleurer, elle était bien plus forte que ça. Mais oui, elle était BIEN PLUS FORTE QUE ÇA, mais ça ne marchait pas aujourd’hui. Ses jambes ne faisaient que trembler et son cœur battait la chamade. Le message de la blonde avait été bien trop direct. Il le fut encore plus alors qu’elle balançait tout son maquillage et son linge par terre. Non mais qu’elle enfant celle-là. Tsabaku aurait dû le lui dire en pleine face, mais ce n’était pas la meilleure des idées. Mieux fallait obéir à cette furie plutôt que de s’opposer à elle. Laissons là se calmer, on verra par après.
« Eh, au fait, ma chambre c’est la numéro 206, passes de temps en temps m’apporter de la bouffe ou des jus d’orange, j’adore ça, tu serais gentille. Et m’appelle plus de tes surnoms à la con bordel ! »
-Oui, oui…
Kairi rangea ses affaires et se dirigea vers la porte, Tsabaku se détendit un peu à l’idée qu’elle s’en aille et la laisse tranquille. Mais quelques secondes après, elle se retourna vers elle et la jeune fille se raidit à nouveau.
« Tu as un truc à me dire avant que je me casse d’ici ? »
Profiteuse, démone, grosse lune, manipulatrice! Hurlait le petit démon intérieur de l’adolescente. Mais elle refusait de l’écouter. Elle dédaigna d’un signe de tête avant de se mettre à genoux pour ramasser son maquillage à son tour. Kairi était déjà partie, enfin. Sa journée ne commençait pas vraiment bien. Elle se leva, enfila sa jupe et partie à son tour, courant jusqu’à sa chambre pour s’y enfermer. Espérons que Jack et Light ne lui pose pas de question. De toute façon, ils s’en rendront bien compte en temps et en lieux.
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Belle demoiselle, dites vite, dites quand?
Car il est temps, plus que temps,
de choisir son camp.
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